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Le swahili : la langue passée du statut de "dialecte obscur" à celui de langue africaine la plus parlée au monde  02/06/2022

Il y a plusieurs siècles, elle était considérée comme une langue "obscure" ; aujourd'hui, elle est devenue la langue la plus parlée sur le continent, dont la croissance démographique est la plus rapide. Le swahili est une langue africaine qui a été fortement influencée au fil des ans par d'autres langues telles que l'arabe, l'anglais et le portugais.
 
Originaire de la côte est du continent, elle fait partie de la famille bantoue, une gamme de langues parlées par les peuples bantous de la moitié sud de l'Afrique. (BBC)
 

Israël se relance sur le continent africain  01/06/2022

Politique, sécurité, économie, l'heure est au réchauffement des relations entre les pays africains et Israël. En témoigne une conférence organisée le mardi 31 mai à l’ambassade d’Israël à Paris qui vise à promouvoir le renforcement de l’État hébreu en Afrique avec la participation du chef de la diplomatie israélienne Yaïr Lapid en visioconférence. (TV5Monde)

Le Soudan lève l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire  30/05/2022

Le président du Conseil souverain de transition du Soudan, Abdel Fattah Al-Burhan, a décrété la levée de l'état d'urgence dans l'ensemble du pays.
 
Ce décret a été émis pour "préparer l'atmosphère pour un dialogue fructueux qui parvient à la stabilité pour la période de transition", a expliqué le Conseil dans un communiqué.
 
Le Soudan traverse une crise politique après que le commandant général des Forces armées soudanaises Abdel Fattah Al-Burhan a déclaré l'état d'urgence le 25 octobre 2021 et dissous le Conseil souverain ainsi que le gouvernement.
 
Depuis lors, la capitale soudanaise Khartoum et d'autres villes ont sans cesse été le théâtre de manifestations réclamant un retour au régime civil. (Xinhua)
 

Soudan: les manifestations continuent et des interrogations émergent face à l'impasse actuelle  28/05/2022

Sept mois après le coup d’État du général Abdel Fattah al-Burhan au Soudan, la rue continue de se mobiliser, malgré la répression. Des milliers de personnes ont défilé, jeudi 26 mai, dans les rues de plusieurs villes du pays. Certains estiment qu’il est nécessaire de faire des compromis avec la junte pour sortir de l’impasse. Mais dans la rue, cette position est fermement rejetée. Lacrymogènes, charges de police, tirs à balles réelles...
 
 Chaque semaine, c’est le même scénario qui se répète, sans qu’aucune solution ne se dessine, reconnaît Majda, une étudiante. « Nos demandes n’ont pas changé et malheureusement ça n’avance pas. Toutes les tentatives de dialogues ne pourront pas aboutir, car la rue refuse un pouvoir tenu par les militaires. Tant qu’ils ne se rendent pas pour être jugés comme n’importe quel criminel, il n’y aura pas de solution ».
 
Tarek vient des quartiers populaires du sud de Khartoum. Il rappelle la position des comités de résistance. « Nous voulons un pouvoir 100% civil. Pas de partenariat, pas de concession. Nous ne nous asseyons pas à une table de l’armée. Nous n’avons plus confiance en elle. Ce sont eux qui ont mis fin à la transition démocratique, affirme Tarek. Et maintenant, ils veulent négocier ? Si un accord est signé avec eux, nous lancerons une escalade révolutionnaire. » (RFI)

Afrique : la relance reste inégale  28/05/2022

La reprise économique reste inégale et fragile, même si l’assouplissement des restrictions imposées par le Covid-19 a remis de nombreuses régions du continent sur une trajectoire de croissance, relève la Banque africaine de développement (BAD). « Les vulnérabilités persistantes et les nouvelles mesures sanitaires ont fait basculer 30 millions d’Africains supplémentaires dans l’extrême pauvreté en 2021 », selon la Revue annuelle de l’efficacité du développement, publiée par la BAD, en marge des assemblées annuelles du groupe panafricain, qui se tiennent du 23 au 27 mai à Accra (Ghana).
 
À la fin de l’année écoulée, la BAD avait dépensé 4 milliards de dollars pour soutenir les efforts déployés par les pays afin d’intensifier rapidement les tests Covid, de former le personnel de santé, de fournir un soutien social aux ménages et de financer les entreprises, fait savoir cette revue intitulée « Remettre l’Afrique sur la voie du développement ».

Niger: l'armée à l'offensive contre les groupes jihadistes dans le Gourma  26/05/2022

Au Niger, l'armée a annoncé mardi avoir tué une soixantaine de jihadistes dans les zones de Torodi et Gotheye lors d'opérations qu'elle a menées au cours de la semaine dans l'ouest du pays, près de la frontière avec le Burkina Faso. Dans son communiqué, l'armée nigérienne déclare avoir détruit des campements et du matériel.
 
 Les ratissages des forces spéciales se poursuivent afin de permettre aux populations déplacées du fait de l’insécurité de regagner leurs villages abandonnés. (RFI)

RDC: le forum pour la paix et la cohésion sociale au Kasaï a débuté à Kinshasa  25/05/2022

En RDC, au lendemain de la réconciliation entre les originaires des provinces du Grand Katanga, le forum pour la paix et la cohésion sociale au Kasaï et au Kasaï central a débuté mardi à Kinshasa.
 
Ce forum est organisé par l’ONG suédoise Inter Peace et financé par l’ambassade de Suède. Des élus nationaux et des autorités coutumières et d’autres acteurs concernés prennent part à cette rencontre. (RFI)

Centrafrique: peur et inquiétude à Nzacko après une attaque de l'UPC contre les FACA  25/05/2022

L'information n'a commencé qu'à circuler mardi : plusieurs dizaines de rebelles du groupe armé de l'UPC, l'Unité pour la paix en Centrafrique, ont attaqué samedi à l'aube la base des Forces armées centrafricaines, les FACA, dans la ville de Nzacko, préfecture de Mbamou, dans l'extrême sud-est du pays. Huit soldats ont été tués selon l'administration locale.
 
Les soldats ont fui et ce sont les rebelles qui circulaient dans la ville de quelque 15 000 âmes jusqu'à mardi matin. Une partie de la population se cache désormais dans la forêt. (RFI)

Nord-Kivu : le M23 attaque des positions des FARDC à Buhuma  24/05/2022

Des tirs nourris sont entendus, depuis 3 heures du matin de ce mardi 24 mai, dans le groupement de Buhumba, dans le territoire de Nyiragongo au Nord-Kivu. Selon les sources sur place, ce serait une attaque des rebelles M23 qui proviendraient de la frontière avec le Rwanda pour déboucher à Buhumba.
 
Une position FARDC située sur la colline Nyundo, à moins d'un kilomètre de la route Goma-Rutshuru, a été prise pour cible, avant que ces rebelles n’attaquent la zone de Kibaya. Mais la riposte de l’armée est en cours, indiquent les sources militaires dans la région. Cette situation crée déjà une panique dans le milieu poussant certains habitants de Buhumba et Kibumba à fuir le milieu. (Radio Okapi)

Soudan : les militaires au pouvoir toujours à l'épreuve de la rue  24/05/2022

Les forces de sécurité soudanaises ont fait usage de gaz lacrymogène lundi pour tenter de disperser des opposants au régime militaire qui manifestaient à Khartoum, la capitale. Des heurts ont eu lieu aussi dans la ville d’Omdurman. Principal mot d’ordre des manifestants, le retour dans les casernes des militaires au pouvoir dans le pays depuis le coup d’Etat d’octobre 2021. Coup de force perpétré par le général Abdel Fattha al- Burhan.
 
"Nous continuerons à descendre dans la rue jusqu'à ce que nous ayons un gouvernement civil total. Il n'y aura pas de partage du pouvoir, pas de compromis et pas de légitimité pour ce coup d'État qui cherche toujours le soutien du peuple et ne l'obtiendra jamais.", explique Hassan Abdullah, un manifestant. La contestation est donc loin de prendre fin alors qu’elle toujours réprimée par les auteirs du coup d'Etat d'octobre 2021.
 
Samedi déjà, un manifestant a été tué et 90 autres blessés selon le comité central des médecins soudanais. "Les autorités issues du coup d'État et les chefs militaires semblent avoir une autre opinion et sont déterminés à continuer à tuer et à verser le sang des manifestants pacifiques soudanais.", souligne Alaa al-Deen Awad, chirurgien. (AfricaNews)

L’Afrique du Sud de nouveau frappée par de sévères inondations  23/05/2022

L’Afrique du Sud, touchée par des inondations meurtrières sans précédent en avril, a une nouvelle fois été frappée par de fortes intempéries sur la côte est, forçant quelques centaines de personnes à quitter leur foyer dimanche 22 mai, selon les autorités. Aucune victime n’a été signalée pour l’instant mais d’importantes destructions ont été constatées, principalement dans l’agglomération de Durban, capitale de la province du Kwazulu-Natal.
 
« Au fur et à mesure que les informations nous parviennent, un constat inquiétant se dessine », a déclaré le ministre en chef de la province, Sihle Zikalala, lors d’une conférence de presse. Des pluies diluviennes avaient tué fin avril près de 450 personnes dans des crues et des glissements de terrain. Des survivants étaient restés une dizaine de jours sans accès à l’eau potable. Le président Cyril Ramaphosa avait déclaré l’état de catastrophe nationale. (Le Monde)

Les rebelles du M23 accusés d'avoir attaqué des Casques bleus en RDC  23/05/2022

Les Nations unies ont accusé dimanche les rebelles du M23 d'avoir "délibérément" attaqué des Casques bleus dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), où les combats entre cette rébellion et l'armée congolaise avaient repris jeudi.
 
La représentante spéciale du secrétaire général de l'ONU en RDC, Bintou Keita, "condamne avec la plus grande fermeté les attaques du Mouvement du 23 mars (M23) contre les Forces armées de la RDC (FARDC) et contre les Casques bleus de la Monusco ce matin dans la zone de Shangi", dans le territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu, indique dans un communiqué la Monusco, force des Nations unies en RDC. …
 
Le M23 est une ancienne rébellion tutsi vaincue en 2013 par les forces armées de RDC et réapparue en fin d'année dernière, qui reproche aux autorités de Kinshasa de ne pas avoir respecté des engagements sur la démobilisation de ses combattants.

Un cas de poliovirus sauvage confirmé au Mozambique (OMS)  23/05/2022

Les autorités sanitaires du Mozambique ont déclaré cette semaine une épidémie de poliovirus sauvage de type 1 après avoir confirmé qu'un enfant de la province de Tete, dans le nord-est du pays, avait contracté la maladie. Il s'agit du deuxième cas importé de poliovirus sauvage en Afrique australe cette année, après une épidémie au Malawi à la mi-février. « La détection d'un autre cas de poliovirus sauvage en Afrique est très préoccupante, même si elle n'est pas surprenante compte tenu de la récente épidémie au Malawi.
 
Cependant, elle montre à quel point ce virus est dangereux et la rapidité avec laquelle il peut se propager », a déclaré la Directrice régionale de l'Organisation mondiale de la Santé pour l'Afrique, Dre Matshidiso Moeti. Jusqu'à présent, un seul cas a été détecté au Mozambique, le premier du pays depuis 1992.
 
Le virus a été découvert chez un enfant qui a commencé à présenter des signes de paralysie à la fin du mois de mars. L'analyse du séquençage génomique indique que le cas nouvellement confirmé est lié à une souche qui avait circulé au Pakistan en 2019, similaire au cas signalé au Malawi plus tôt cette année. (ONU)

Nord-Kivu : reprise des combats entre M23 et FARDC à Nyarubara et Runyoni  21/05/2022

Les combats ont repris ce jeudi 19 mai en milieu de la journée entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et la rébellion du M23, à Nyarubara et Runyoni, dans le groupement de Jomba au Sud de Bunagana, dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu). Selon des sources de la société civile locale, des tirs nourris sont entendus dans cette zone qui reste quasiment vidée de sa population civile.
 
Dans la matinée, le mouvement du M23 avait déjà émis un communiqué accusant les FARDC de se déployer sur la ligne de front, depuis hier mercredi. Ces rebelles arguent, notamment que l’armé aurait renforcé ses rangs avec des éléments membres des groupes armés insérés au sein de ses unités. Le porte-parole de Sokola 2 a promis de réagir plus tard, vu les urgences militaires, en sa possession. (Radio Okapi)

L'Égypte lance un programme de lutte contre le changement climatique  21/05/2022

Le Premier ministre égyptien a lancé jeudi une nouvelle stratégie nationale de lutte contre le changement climatique. Lors de la présentation de la stratégie nationale sur le changement climatique (NCCS) 2050, le Premier ministre Mustafa Madbouly a déclaré que l'Égypte était l'un des pays les plus vulnérables au changement climatique. Le chef du gouvernement a souligné l'importance de s'attaquer au changement climatique et l'a décrit comme une menace pour la sécurité nationale.
 
"Le changement climatique est considéré comme l'une des questions les plus importantes qui nous concernent, nous et le monde entier, en raison des menaces qu'il fait peser sur le développement durable, ce qui affectera le plan de développement, la sécurité alimentaire et la disponibilité de l'eau. Il aura donc un impact sur la sécurité nationale, car le monde souffrira d'une augmentation des taux de pauvreté et d'autres défis", a-t-il déclaré. L'Égypte accueillera la 27e conférence des Nations unies sur le changement climatique dans la station balnéaire de Sharm el-Sheikh, sur la mer Rouge, en novembre. (AfricaNews/AFP)

Crise du changement climatique : le système alimentaire en voie d'être transformé  21/05/2022

Les systèmes alimentaires sont « inséparablement liés » à la crise du changement climatique et transforment - à la fois par l’adaptation et l’atténuation - la façon dont le monde cultive, transporte et mange sa nourriture, selon le rapport 2022 de la politique alimentaire mondiale. Le rapport appelle à une augmentation des investissements dans la recherche, le développement et la réappropriation des subventions agricoles. Il est un résumé des preuves qu’il existe des liens entre l’alimentation et le climat et formule des recommandations sur les raisons pour lesquelles un changement de politique est nécessaire immédiatement.
 
« Nous craignons évidemment depuis longtemps qu’il fasse plus chaud et plus incertain dans les endroits où ils ont déjà du mal à produire suffisamment de nourriture. Et cela pourrait être un vrai problème », a déclaré le directeur de la division environnement et technologie de production de l’IFPRI, Channing Arndt, et rédacteur en chef du rapport. Ce document est censé être axé sur les politiques et décrit six domaines prioritaires.
 
Il appelle à davantage d’investissements dans la recherche et le développement pour les innovations technologiques « perturbatrices », telles que les systèmes d’irrigation et la chaîne du froid, qui « pourraient accélérer la transformation des systèmes alimentaires durables ». L’investissement public dans ces innovations devrait être doublé par rapport aux niveaux actuels, en veillant à ce qu’au moins quinze milliards de dollars soient consacrés aux systèmes alimentaires des pays à revenu faible et intermédiaire. (Adiac-Congo)

Une personne meurt de faim toutes les 48 secondes dans la Corne de l'Afrique  19/05/2022

Une personne meurt de faim toutes les 48 secondes en Éthiopie, au Kenya et en Somalie, où une grave sécheresse sévit à l'heure actuelle, selon les estimations présentées par Oxfam et Save the Children dans un rapport publié mercredi. Le nombre de personnes en situation de faim extrême dans ces trois pays a plus que doublé depuis l'année dernière, passant de plus de 10 millions à plus de 23 millions aujourd'hui, s'alarment les deux organisations humanitaires alors que les fonds recueillis par les appels d'urgence sont largement insuffisants.
 
"Malgré l'aggravation des signes avant-coureurs, les dirigeants du monde ont réagi lamentablement, de manière trop tardive et trop timorée, laissant des millions de personnes dans une situation de faim catastrophique. La famine est un échec politique", affirme Gabriela Bucher, directrice générale d'Oxfam International. (RTBF)
 

Combats à Tripoli : Le PM libyen par intérim se rend auprès de la population  19/05/2022

Le Premier ministre intérimaire libyen Abdelhamid Dbeibah est allé à la rencontre des habitants de Tripoli après des affrontements violents dans la matinée du mardi 17 mai. Les partisans de Fathi Bachagha, chef du gouvernement élu par le Parlement, ont tenté d'investir la capitale libyenne avant d'être repoussés par les forces en présence. Malgré les dégâts matériels bien visibles, aucune victime n'a pour le moment été déclarée.
 
L'actuel chef de l'exécutif a été nommé en mars 2021, au terme d'un processus encadré par l'ONU. Il devait veiller à l'organisation d'élections présidentielles et législatives initialement prévues en décembre, mais repoussées indéfiniment. Arguant que le mandat d'Abdelhamid Dbeibah avait pris fin avec ce report, le Parlement libyen situé à l'est du pays, avait ensuite désigné Fathi Bachagha pour lui succéder. Une démarche non reconnue par Abdelhamid Dbeibah, qui souhaite conserver son poste, jusqu'à ce qu'une nouvelle administration soit élue démocratiquement. (AfricaNews)
 
 

Washington rétablit une présence militaire en Somalie  17/05/2022

Ce sont plusieurs centaines de soldats des forces spéciales qui vont être redéployés en Somalie, à partir de pays de la région. Le chiffre exact n’est pas précisé, mais le New York Times croit savoir que ce sera autour de 450. Au moment du retrait décidé par Donald Trump, ils étaient environ 700. Depuis, des soldats américains faisaient des aller-retours pour entraîner et conseiller des soldats somaliens et de l’Union africaine.
 
Ce nouveau dispositif est de nature à renforcer l’efficacité de l’action américaine. Selon un haut responsable de l’administration, la stratégie de la Maison Blanche est de limiter la menace des shebabs en supprimant leurs capacités à planifier et à mener des opérations lourdes. En plus de cette décision, le président américain donne aussi son accord pour cibler une douzaine de responsables shebabs. C’est aussi un changement important. (RFI)

Libye: vers une reprise des exportations de pétrole  14/05/2022

Près d'un mois après la fermeture des principaux terminaux pétroliers situées à l'est et dans le sud du pays, Fathi Bachagha, le Premier ministre désigné par le Parlement, a annoncé que la production et l'exportation pourront reprendre. Ce blocus imposé par des tribus locales coûtait à la Libye 60 millions de dollars par jour. La production devrait reprendre dès que les infrastructures affectées par le blocage seront à nouveau en état de marche.
 
Aucune raison officielle n'a été fournie pour expliquer la fin de la crise, mis à part la déclaration du Premier ministre Fathi Bachagha qui l'associe : « aux efforts réussis du Parlement et du gouvernement pour la répartition des recettes » pétrolières. Le dénouement intervient toutefois, quelques heures après la rencontre au Caire de l'envoyé spécial américain en Libye Richard Norland et du chef du Parlement Aguila Saleh.

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