Deux ex-Saint-Cyriens présentés comme les « cerveaux » d’un renversement avorté du président Rajoelina, une demande de financement d’un coup d’État adressée par courriel à un exploitant pétrolier, un pays en plein marasme économique… Ces ingrédients dignes d’un polar sont au cœur d’une affaire qui défraie la chronique à Madagascar.
Tout a commencé – officiellement – le 21 juillet dernier. Le parquet annonce alors avoir déjoué une tentative d’assassinat du président malgache Andry Rajoelina. Et il n’aurait pas été le seul visé selon la procureure générale Berthine Razafiarivony. « Ces individus ont échafaudé un plan d’élimination et de neutralisation des diverses personnalités malgaches, dont le chef de l’État », a-t-elle déclaré à la presse.
Sur les six personnes alors interpellées par les autorités, deux individus sont d’emblée présentés comme les instigateurs de ce coup d’État déjoué. (Le Point)
Tout a commencé – officiellement – le 21 juillet dernier. Le parquet annonce alors avoir déjoué une tentative d’assassinat du président malgache Andry Rajoelina. Et il n’aurait pas été le seul visé selon la procureure générale Berthine Razafiarivony. « Ces individus ont échafaudé un plan d’élimination et de neutralisation des diverses personnalités malgaches, dont le chef de l’État », a-t-elle déclaré à la presse.
Sur les six personnes alors interpellées par les autorités, deux individus sont d’emblée présentés comme les instigateurs de ce coup d’État déjoué. (Le Point)