| 05/11/2025 | 575 vues
EDITORIAL
Personnes politiquement exposées dans cette affaire qui défraie la chronique, Mamour Diallo et Seydou Sarr restent inaudibles et invisibles dans la tempête. A leur place, eux les accusés, ce sont des personnes extérieures au « scandale » qui sont montées au front. Pourquoi le procureur de la République – parti en croisade contre Khalifa Sall et ses co-condamnés au nom de la sauvegarde des deniers publics – se montre-t-il si indifférent à ce qui se passe sous ses yeux ? Est-il retenu par sa hiérarchie politique ?
Dans cette baroque affaire foncière qui secoue les médias avec « 94 milliards» de francs Cfa qui seraient tombés dans des poches baladeuses, les choses semblent plus simples que toute la littérature qui est en train d’être déroulée. Ousmane Sonko, homme politique et candidat à l’élection présidentielle du 24 février prochain, accuse publiquement une haute personnalité de la République, en l’occurrence Mamour Diallo, lui aussi homme politique, mais surtout Directeur national des Domaines à la Direction générale des impôts et domaines (DGID) de s’être rendu complice d’un détournement de la somme de 94 milliards de francs Cfa avec un complice présumé dénommé Seydou Sarr.
Au moment de faire la révélation, Ousmane Sonko précise avoir déposé plainte devant le procureur de la République, avoir saisi l’Inspection générale d’Etat, et avoir porté l’affaire devant l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC).
Pendant plusieurs jours ou semaines, les personnes accusées d’avoir commis cette forfaiture ne donnent point signe de vie. La plus exposée d’entre elles, Mamour Diallo, opte pour le silence au moment où les effluves du « scandale » de haute intensité criminelle (si les faits sont avérés bien sûr) balaient les réseaux sociaux sénégalais.
L’indignation y est totalement partagée face à un tel carnage foncier opéré sur le dos des intérêts de l’Etat et de la collectivité nationale. Tout le monde s’étonne que le directeur national des Domaines ne daigne pas se faire entendre. Mais comme le silence devient intenable, des missi dominici non identifiés font circuler sur ces mêmes réseaux sociaux l’idée que M. Diallo aurait porté plainte contre son accusateur, mais aucune confirmation par la suite. Et cela interroge !
On est sidéré de constater qu’aucune des personnes citées comme parties du scandale ne daigne sortir du bois et parler en public. Au contraire, ce sont des gens totalement extérieures à l’affaire qui montent au front munis d'éléments qui ont été contredits par ailleurs. A la fin, cela donne ceci: Mamour Diallo et Seydou Sarr ont été nommément accusés par Ousmane Sonko de détournement d'un montant de 94 milliards de francs Cfa; mais lui Sonko se retrouve attaqué pour on ne sait quel motif valable! Qui veut protéger Mamour Diallo et Seydou Sarr?
On ne présage rien de la réalité des faits et on se refuse à incriminer quiconque, mais il y a une constante irréfragable qui prospère sous nos yeux : c’est l’incapacité chronique des institutions judiciaires de la République à prendre en charge, avec équité et autorité, une affaire comme celle-là, alors que Ousmane Sonko affirme avoir déposé une plainte.
Dans une démocratie aux institutions crédibles – ce qui n’est pas encore le cas du Sénégal - le Parquet aurait déjà ouvert une information judiciaire et interrogé les personnes présumées impliquées car il n’appartient pas aux citoyens de régler eux-mêmes des divergences qui demandent l’intervention de l’Autorité judiciaire. Si cela devait être ainsi, que deviendrait ce pays ?
Plus que jamais donc, le cordon ombilical qui relie l’Exécutif au Parquet doit être raisonnablement coupé afin de laisser des marges de manœuvre raisonnables aux magistrats et juges d’instruction dans la mission que leur assigne le «peuple souverain». Mais personne n’est dupe : le glaive de la justice en cours au Sénégal n’est pas prêt de s’abattre sur des politiciens encartés au parti présidentiel. C’est l’une des nombreuses leçons que les citoyens ont quand même apprises en un septennat !
Commentaires (0)
L’air gêné, le chef de l’Etat n’a pas affronté le regard de notre confrère Cheikh Yérim Seck. Et c’était pour lui rétorquer n’avoir jamais exigé l’éviction de Me Ousmane Ngom du ministère de l’Intérieur à l’occasion de la présidentielle de 2012. C’était lors d’un «Grand entretien» avec des journalistes sélectionnés par le Palais pour meubler la soirée présidentielle après le discours traditionnel de fin d’année.
L’opinion en est restée bouche bée, le peuple des réseaux sociaux en a rigolé, triste et dépité, enragé et moqueur, tout en revoyant et en partageant l’archive vidéo qui établit la vérité des faits. Peut-on tout nier au nom de ses amitiés mises à jour ? La politique doit-elle tout permettre ? L’amnésie volontaire qui confine au mensonge peut-elle être une qualité en politique ?
L’enjeu de la question de notre confrère est très actuel : le Sénégal va vers une élection majeure avec un ministre de l’Intérieur totalement discrédité. Pour le même enjeu, Macky Sall et ses alliés de 2012 avaient réclamé la tête du…ministre de l’Intérieur d’Abdoulaye Wade, Me Ousmane Ngom en l‘occurrence, sans obtenir gain de cause. Par les vicissitudes de la transhumance, Me Ngom est devenu un vrai «talibé» de…Macky Sall qui, par retour d’ascenseur, ne se souvient donc de rien… Difficile de faire plus clair et net.
Où allons-nous quand le premier magistrat de ce pays se montre incapable - par contraintes politiques - d'assumer des propos publiquement tenus six ou sept ans auparavant ?
L’opinion en est restée bouche bée, le peuple des réseaux sociaux en a rigolé, triste et dépité, enragé et moqueur, tout en revoyant et en partageant l’archive vidéo qui établit la vérité des faits. Peut-on tout nier au nom de ses amitiés mises à jour ? La politique doit-elle tout permettre ? L’amnésie volontaire qui confine au mensonge peut-elle être une qualité en politique ?
L’enjeu de la question de notre confrère est très actuel : le Sénégal va vers une élection majeure avec un ministre de l’Intérieur totalement discrédité. Pour le même enjeu, Macky Sall et ses alliés de 2012 avaient réclamé la tête du…ministre de l’Intérieur d’Abdoulaye Wade, Me Ousmane Ngom en l‘occurrence, sans obtenir gain de cause. Par les vicissitudes de la transhumance, Me Ngom est devenu un vrai «talibé» de…Macky Sall qui, par retour d’ascenseur, ne se souvient donc de rien… Difficile de faire plus clair et net.
Où allons-nous quand le premier magistrat de ce pays se montre incapable - par contraintes politiques - d'assumer des propos publiquement tenus six ou sept ans auparavant ?
Gagner une élection présidentielle à deux tours dès le…premier tour relève d’un tour de force peu commun, surtout au Sénégal. Pour y arriver, il faut avoir été proprement irréprochable pendant un septennat dans la gouvernance publique, dans ses rapports avec les citoyens électeurs, dans la lutte contre les inégalités de toutes sortes, dans le fonctionnement des services sociaux de base, dans l’Education et l’Enseignement supérieur, dans les secteurs vitaux de l’économie nationale, etc.
Des investissements massifs mais souvent désordonnés ont été réalisés dans l’Agriculture – en dépit des manipulations des statistiques relevées par nombre d’experts du domaine ; l’électricité s’est améliorée en termes de distribution notamment ; des pistes rurales et semi-urbaines sortent de terre…
Mais cela suffit-il quand des milliers de travailleurs ont perdu leur jobs à travers la déliquescence du tissu économique des Pme/Pmi ; quand le capital étranger, impitoyable et cynique, capte des centaines de milliards de francs en marchés publics avec l’aide intéressée des gouvernants ; quand les hôpitaux peinent à s’approvisionner en produits de base faute de ressources ; quand la pauvreté envahit les rues et ruelles des centres urbains ; quand les acteurs socio-éducatifs exigent le respect de la parole donnée trop souvent bafouée de l’Etat ; quand le Prince tout-puissant – d’aucuns indexent la princesse – protège de manière grotesque des ouailles qui méritent de faire face à la justice pendant que d’autres sont victimes d’harcèlement sans fin…
Résumer une élection présidentielle à deux tours en une seule manche dans le contexte d’un mécontentement populaire audible et visible jusque chez les morts n’est alors possible que par la technique. Comme aux législatives de juillet 2017…
J'ai lu "Le Sénégal au cœur". Chacun peut avoir son idée là-dessus. Moi je le trouve intéressant dans plusieurs de ses parties, si on met de côté les éléments déjà connus. Le style est agréable, accessible parce que simple. Le volontarisme social est omniprésent : celui d'un Sénégalais ordinaire qui a su tirer profit du principe égalitariste qui fonde de l'école républicaine pour franchir les strates qui mènent à l'élite; celui d'un président de la République qui veut rendre aux citoyens ordinaires d'aujourd'hui et de demain ce que leurs devanciers ont fait pour lui à travers l'école et l'administration d'Etat.
Au delà de l'objectif officiel visé par sa publication, il faut prendre le livre comme il est: destiné à bien vendre l'image du chef de l'Etat candidat à sa succession dans moins de trois mois. En cela, il aura et il fera son "Syndrome de Stockholm" auprès de plusieurs compatriotes. Il aura et fera des effets sur un public étranger dont on sent qu'il fait partie des cibles visées.
Mais au fond, ce que j'en retiens de concret, c'est une chose simple: Macky Sall n'est pas ce pour quoi il veut se faire passer. C'est un homme à deux visages. Celui de l'ouvrage, qui s'arroge toutes les qualités humaines: de la théorie. Celui qu'il nous est donné de voir à la pratique depuis un septennat qui n'aurait dû avoir lieu: réfractaire à la démocratie, adversaire infatigable d'une existence réelle 'individuelle et collective) des droits et devoirs des citoyens, partisan de la confusion des pouvoirs, autoritaire, allergique à l'expression des libertés publiques non conforme à son agenda politique, autoritaire, sectaire, impitoyable avec ses adversaires, complaisant et protecteur avec les gens de son clan et apparentés, destructeur des initiatives liées à la reddition des comptes. A la page 112, le président de la République: "Si le moindre de mes partisans, un membre du gouvernement ou même de ma famille devait rendre des comptes, je laisserais évidemment la justice faire son travail." Que répondre devant cette formidable et (disons-le) cynique duplicité en regard des nombreux dossiers que lui-même reconnaît avoir mis sous son "coude" magistral?
Il aurait été bien inspiré de mettre en œuvre - dans l’Etat et la République que le peuple sénégalais lui a confiés en 2012 – les principes de gouvernance de l’Almamya sous l’impulsion de Thierno Souleymane Baal et «dont la modernité étonne…» aujourd’hui encore, selon ses propres termes (page 132) : «égalité de tous devant la justice».
Après cela, que peuvent valoir les anecdotes autour de Sandrine dont d'ailleurs l'histoire ne semble pas avoir été racontée jusqu'au bout... Mais cela est une autre histoire.
Au delà de l'objectif officiel visé par sa publication, il faut prendre le livre comme il est: destiné à bien vendre l'image du chef de l'Etat candidat à sa succession dans moins de trois mois. En cela, il aura et il fera son "Syndrome de Stockholm" auprès de plusieurs compatriotes. Il aura et fera des effets sur un public étranger dont on sent qu'il fait partie des cibles visées.
Mais au fond, ce que j'en retiens de concret, c'est une chose simple: Macky Sall n'est pas ce pour quoi il veut se faire passer. C'est un homme à deux visages. Celui de l'ouvrage, qui s'arroge toutes les qualités humaines: de la théorie. Celui qu'il nous est donné de voir à la pratique depuis un septennat qui n'aurait dû avoir lieu: réfractaire à la démocratie, adversaire infatigable d'une existence réelle 'individuelle et collective) des droits et devoirs des citoyens, partisan de la confusion des pouvoirs, autoritaire, allergique à l'expression des libertés publiques non conforme à son agenda politique, autoritaire, sectaire, impitoyable avec ses adversaires, complaisant et protecteur avec les gens de son clan et apparentés, destructeur des initiatives liées à la reddition des comptes. A la page 112, le président de la République: "Si le moindre de mes partisans, un membre du gouvernement ou même de ma famille devait rendre des comptes, je laisserais évidemment la justice faire son travail." Que répondre devant cette formidable et (disons-le) cynique duplicité en regard des nombreux dossiers que lui-même reconnaît avoir mis sous son "coude" magistral?
Il aurait été bien inspiré de mettre en œuvre - dans l’Etat et la République que le peuple sénégalais lui a confiés en 2012 – les principes de gouvernance de l’Almamya sous l’impulsion de Thierno Souleymane Baal et «dont la modernité étonne…» aujourd’hui encore, selon ses propres termes (page 132) : «égalité de tous devant la justice».
Après cela, que peuvent valoir les anecdotes autour de Sandrine dont d'ailleurs l'histoire ne semble pas avoir été racontée jusqu'au bout... Mais cela est une autre histoire.
L’idée funeste dite de patrimonialisation du pouvoir qui a fait florès sous le règne des Wade semble être en fin de compte une constante chez les politiciens gâteux de la République. Le candidat Macky Sall qui avait fait mille et une promesses autour des biens publics est lui aussi passé à la trappe, un peu plus vite qu’on ne l’aurait imaginé. Des textes de loi sur la transparence ont certes été votés par l’assemblée nationale sur instigation du palais de la République, mais une cohérence globale fait défaut aux intentions annoncées. Le sabordage volontaire et impitoyable de l’Ofnac, juste 4 ans après sa mise sur pied, est le symbole vivant de cette boulimie destructrice des espoirs de bonne gouvernance entrevus.
La patrimonialisation des biens publics s’est donc institutionnalisée dans nos mœurs gouvernantes, incrustée quelque part dans cet espace complexe qu’est le cerveau humain. Le dernier exemple en date concerne bien évidemment le chef de l’Etat sénégalais dans sa façon curieuse de «gérer» le «cas» Karim Wade. Le 23 mars 2015, ce dernier a été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) à six ans de prison et à une amende de 138 milliards de francs Cfa pour le délit d’enrichissement illicite.
Quinze mois plus tard, en juin 2016, l’ex ministre d’Etat est exfiltré de la prison de Rebeuss, nuitamment, pour être déposé au Qatar. La présidence sénégalaise indique que Karim Wade a demandé et obtenu la grâce du chef de l’Etat. Une grâce dont les termes non encore rendus publics semblent avoir imposé l’exil au fils de l’ancien chef de l’Etat, sous la supervision de l’Emirat gazier du Golfe. Novembre 2018, le dossier est devenu une patate chaude pour le président de la République, englué dans ses réflexes politiciens d’enfer, à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle.
La grâce présidentielle «offerte» à Karim Wade dans cette affaire est objet de divergences. Mais c’est l’autre versant de la sentence prononcée par la Crei qui interpelle : l’amende de 138 milliards de francs Cfa. Elle est devenue l’arme de chantage contre Karim Wade auquel des autorités centrales et périphériques promettent l’application rigoureuse de la contrainte par corps. Le message à l’endroit du fils Wade ne comporte aucune ambiguïté : ne remettez pas les pieds au Sénégal et on passera l’éponge sur votre dette.
C’est donc d’un bien public (l’amende en question) dont le président de la République se sert pour combattre un adversaire politique transformé en exilé de luxe. Macky Sall peut-il mettre en gage des deniers supposément publics en échange de sa propre tranquillité, pour ses ambitions personnelles ? Si tant est que Karim Wade a été justement condamné par la Crei, si tant est que son procès n’a pas été une parodie judiciaire, pourquoi la plus haute autorité politique se permet-il une si grande légèreté dans la gestion de ce dossier ? Dans aucun pays démocratique respectable, une telle confusion des genres ne saurait être admise par les institutions de contre-pouvoir. Mais quand un système de patrimonialisation est en vigueur, rien n’est impossible.
La patrimonialisation des biens publics s’est donc institutionnalisée dans nos mœurs gouvernantes, incrustée quelque part dans cet espace complexe qu’est le cerveau humain. Le dernier exemple en date concerne bien évidemment le chef de l’Etat sénégalais dans sa façon curieuse de «gérer» le «cas» Karim Wade. Le 23 mars 2015, ce dernier a été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) à six ans de prison et à une amende de 138 milliards de francs Cfa pour le délit d’enrichissement illicite.
Quinze mois plus tard, en juin 2016, l’ex ministre d’Etat est exfiltré de la prison de Rebeuss, nuitamment, pour être déposé au Qatar. La présidence sénégalaise indique que Karim Wade a demandé et obtenu la grâce du chef de l’Etat. Une grâce dont les termes non encore rendus publics semblent avoir imposé l’exil au fils de l’ancien chef de l’Etat, sous la supervision de l’Emirat gazier du Golfe. Novembre 2018, le dossier est devenu une patate chaude pour le président de la République, englué dans ses réflexes politiciens d’enfer, à quelques semaines du premier tour de l’élection présidentielle.
La grâce présidentielle «offerte» à Karim Wade dans cette affaire est objet de divergences. Mais c’est l’autre versant de la sentence prononcée par la Crei qui interpelle : l’amende de 138 milliards de francs Cfa. Elle est devenue l’arme de chantage contre Karim Wade auquel des autorités centrales et périphériques promettent l’application rigoureuse de la contrainte par corps. Le message à l’endroit du fils Wade ne comporte aucune ambiguïté : ne remettez pas les pieds au Sénégal et on passera l’éponge sur votre dette.
C’est donc d’un bien public (l’amende en question) dont le président de la République se sert pour combattre un adversaire politique transformé en exilé de luxe. Macky Sall peut-il mettre en gage des deniers supposément publics en échange de sa propre tranquillité, pour ses ambitions personnelles ? Si tant est que Karim Wade a été justement condamné par la Crei, si tant est que son procès n’a pas été une parodie judiciaire, pourquoi la plus haute autorité politique se permet-il une si grande légèreté dans la gestion de ce dossier ? Dans aucun pays démocratique respectable, une telle confusion des genres ne saurait être admise par les institutions de contre-pouvoir. Mais quand un système de patrimonialisation est en vigueur, rien n’est impossible.
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