| 05/11/2025 | 581 vues
La France annonce avoir tué Yahia Djouadi, haut cadre d’Al-Qaïda au Mali 08/03/2022
Le ministère français des Armées a annoncé, lundi, la mort de Yahia Djouadi, un haut cadre historique d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, dans le nord du Mali, neutralisé lors d’une opération au sol des forces françaises de Barkhane.
Dans la nuit du 25 au 26 février 2022, les soldats de Barkhane ont conduit une opération à environ 100 km au nord de Tombouctou, au Mali, durant laquelle le jihadiste a été neutralisé. … Cette annonce intervient dans un contexte de fortes tensions entre la France et les autorités maliennes, qui ont conduit à l'annonce du départ des troupes françaises du pays, le 17 février. (France24)
Dans la nuit du 25 au 26 février 2022, les soldats de Barkhane ont conduit une opération à environ 100 km au nord de Tombouctou, au Mali, durant laquelle le jihadiste a été neutralisé. … Cette annonce intervient dans un contexte de fortes tensions entre la France et les autorités maliennes, qui ont conduit à l'annonce du départ des troupes françaises du pays, le 17 février. (France24)
L'opposant tanzanien Freeman Mbowe a été libéré 04/03/2022
La Tanzanie a libéré le chef du principal parti d'opposition, Freeman Mbowe, après que les procureurs ont abandonné les accusations de terrorisme portées contre lui l'année dernière, a déclaré son parti vendredi. M. Mbowe, qui est le président du parti Chadema, a été arrêté en juillet dernier dans la ville de Mwanza, alors qu'il devait assister à une conférence sur les propositions relatives à une nouvelle constitution. Il a été inculpé devant le tribunal le 26 juillet, malgré les protestations de son parti qui estimait que les accusations portées contre lui étaient politiquement motivées.
"Le directeur des poursuites a abandonné les charges de crimes économiques et de terrorisme", a déclaré le parti Chadema sur son compte Twitter. Trois co-accusés ont également été libérés, a indiqué le parti. Les partisans de Freeman Mbowe, qui s'étaient massés devant le tribunal pour suivre le procès, ont applaudi après l'annonce de la décision d'abandonner les poursuites, tandis que ses avocats se sont réjouis.
La détention de l'opposant avait soulevé des questions quant à l'engagement de la présidente Samia Suluhu Hassan en faveur d'une plus grande tolérance à l'égard de la dissidence politique. Mme Hassan, qui a pris le pouvoir après le décès de son prédécesseur John Magufuli en mars de l'année dernière, a levé l'interdiction de quatre journaux et a rencontré le principal dirigeant de l'opposition en exil à Bruxelles le mois dernier, suscitant ainsi l'espoir d'une plus grande tolérance à l'égard de la dissidence politique. (Reuters/VOA)
"Le directeur des poursuites a abandonné les charges de crimes économiques et de terrorisme", a déclaré le parti Chadema sur son compte Twitter. Trois co-accusés ont également été libérés, a indiqué le parti. Les partisans de Freeman Mbowe, qui s'étaient massés devant le tribunal pour suivre le procès, ont applaudi après l'annonce de la décision d'abandonner les poursuites, tandis que ses avocats se sont réjouis.
La détention de l'opposant avait soulevé des questions quant à l'engagement de la présidente Samia Suluhu Hassan en faveur d'une plus grande tolérance à l'égard de la dissidence politique. Mme Hassan, qui a pris le pouvoir après le décès de son prédécesseur John Magufuli en mars de l'année dernière, a levé l'interdiction de quatre journaux et a rencontré le principal dirigeant de l'opposition en exil à Bruxelles le mois dernier, suscitant ainsi l'espoir d'une plus grande tolérance à l'égard de la dissidence politique. (Reuters/VOA)
Maroc: arrestation d'un membre présumé de l'EI qui préparait des attentats 04/03/2022
La police antiterroriste marocaine a annoncé avoir arrêté mercredi un "extrémiste" affilié à l'organisation jihadiste Etat islamique (EI) soupçonné de préparer des attentats visant des étrangers et des responsables sécuritaires au Maroc. L'homme, âgé de 27 ans, a été placé en garde à vue après son interpellation tôt mercredi près de Tata (sud-est du pays) pour "son implication présumée dans la préparation de l'exécution de plans terroristes aux ramifications transfrontalières", a indiqué le Bureau central d'investigations judiciaires (BCIJ) dans un communiqué.
Le suspect avait "collecté plusieurs contenus numériques de sites extrémistes en vue de s'informer (...) sur la conception d'engins explosifs afin de les utiliser dans des opérations terroristes à l'aide d'une voiture piégée", a précisé le BCIJ. Parmi ses cibles, des ressortissants étrangers au Maroc, certains hauts responsables de la sécurité et du gouvernement et des bâtiments officiels sensibles, selon la même source. (AFP)
Le suspect avait "collecté plusieurs contenus numériques de sites extrémistes en vue de s'informer (...) sur la conception d'engins explosifs afin de les utiliser dans des opérations terroristes à l'aide d'une voiture piégée", a précisé le BCIJ. Parmi ses cibles, des ressortissants étrangers au Maroc, certains hauts responsables de la sécurité et du gouvernement et des bâtiments officiels sensibles, selon la même source. (AFP)
Des réfugiés camerounais racontent cinq ans d'une guerre oubliée 04/03/2022
Depuis cinq ans, l'armée camerounaise combat des groupes séparatistes qui veulent créer un État indépendant pour les anglophones du pays qui s'estiment marginalisés dans ce pays majoritairement francophone. … Mis bout à bout, les effroyables récits de dizaines de ces réfugiés, interrogés fin janvier par l'AFP, dessinent les contours d'un conflit meurtrier qui s'enlise depuis cinq ans dans l'indifférence.
Qu'ils soient partis en 2017, ou il y a quelques mois seulement, tous racontent quasiment la même histoire. D'abord, les arrestations. Les voisins ou les proches, partisans de la sécession, embarqués dans des fourgons, et qu'on n'a plus revus. "Dans mon village, personne n'a jamais jeté de pierre aux militaires, mais tellement de jeunes ont été arrêtés", témoigne Gerard Tiko'Or Akenji, depuis la ferme qu'il a fondée dans l'un des camps établis par le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), à Ogoja, dans l'est du Nigeria. Arrêté quatre fois entre 2017 et 2019, "j'ai été torturé", affirme ce Camerounais de 45 ans, qui a fui "au Nigeria en mars 2019 par peur de mourir". (AFP)
Qu'ils soient partis en 2017, ou il y a quelques mois seulement, tous racontent quasiment la même histoire. D'abord, les arrestations. Les voisins ou les proches, partisans de la sécession, embarqués dans des fourgons, et qu'on n'a plus revus. "Dans mon village, personne n'a jamais jeté de pierre aux militaires, mais tellement de jeunes ont été arrêtés", témoigne Gerard Tiko'Or Akenji, depuis la ferme qu'il a fondée dans l'un des camps établis par le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), à Ogoja, dans l'est du Nigeria. Arrêté quatre fois entre 2017 et 2019, "j'ai été torturé", affirme ce Camerounais de 45 ans, qui a fui "au Nigeria en mars 2019 par peur de mourir". (AFP)
Espagne: entrée massive de migrants dans l'enclave de Melilla 03/03/2022
Près de 500 migrants sont parvenus ce mercredi à pénétrer dans l'enclave espagnole de Melilla, située sur la côte nord du Maroc, lors de la tentative de passage la plus massive jamais enregistrée dans cette enclave, selon les autorités locales.
« Vers 9h30 (8h30 GMT), un groupe de quelque 2 500 personnes originaires d'Afrique subsaharienne a tenté un franchissement massif de la clôture frontalière de Melilla », a indiqué dans un communiqué la préfecture de Melilla, avant d'ajouter que 491 migrants étaient parvenus à entrer dans l'enclave. « Il s'agit de la tentative d'entrée la plus importante (jamais) enregistrée » à Melilla, a assuré la préfecture.
« La grande violence employée par les migrants » -- équipés « de crochets » pour escalader la clôture grillagée et de « bâtons » et qui « jetaient des pierres » -- leur a permis de « déborder les forces de sécurité marocaines qui tentaient de les empêcher d'atteindre la clôture », a-t-elle expliqué. De son côté, l'Association marocaine des droits de l'Homme (AMDH) a fait état d'une trentaine de migrants blessés, dont trois ou quatre grièvement, qui ont été admis à l'hôpital Hassani à Nador, ville marocaine frontalière de Melilla. (RFI)
« Vers 9h30 (8h30 GMT), un groupe de quelque 2 500 personnes originaires d'Afrique subsaharienne a tenté un franchissement massif de la clôture frontalière de Melilla », a indiqué dans un communiqué la préfecture de Melilla, avant d'ajouter que 491 migrants étaient parvenus à entrer dans l'enclave. « Il s'agit de la tentative d'entrée la plus importante (jamais) enregistrée » à Melilla, a assuré la préfecture.
« La grande violence employée par les migrants » -- équipés « de crochets » pour escalader la clôture grillagée et de « bâtons » et qui « jetaient des pierres » -- leur a permis de « déborder les forces de sécurité marocaines qui tentaient de les empêcher d'atteindre la clôture », a-t-elle expliqué. De son côté, l'Association marocaine des droits de l'Homme (AMDH) a fait état d'une trentaine de migrants blessés, dont trois ou quatre grièvement, qui ont été admis à l'hôpital Hassani à Nador, ville marocaine frontalière de Melilla. (RFI)
Guerre Ukraine - Russie : des Africains piégés au milieu de l'offensive russe en Ukraine 03/03/2022
Un étudiant camerounais a décrit comment lui et ses amis ont été contraints de se cacher dans un sous-sol de la ville de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, pour échapper aux raids aériens. Christophe a déclaré que "toutes les cinq minutes, nous entendons des bombardements". "Parfois on entend des avions qui passent dans le ciel, surtout des bombardements parce qu'on le sent au sol. C'est principalement ce que nous entendons, ils ne sont vraiment pas très loin de nous, ils sont autour de la ville", a-t-il déclaré à la BBC.
Des coups de feu ont également été entendus. "Nous ne savons pas quoi faire. Nous sommes désespérés", a déclaré Christophe. "Nous sommes soit dans le sous-sol, soit dans notre maison. Genre une heure au sous-sol, cinq minutes à la maison". Il a précisé qu'une quinzaine d'entre eux étaient bloqués à Kherson - des compatriotes camerounais, nigérians, sénégalais et ghanéens. Il a dit qu'ils n'ont pas d'électricité et qu'ils dépendent des réserves d'eau. "On dit que la ville a été encerclée par l'armée russe. Il n'y a donc pas d'issue. Nous nous trouvons dans cette situation où nous ne pouvons rien faire", a-t-il ajouté. (BBC)
Des coups de feu ont également été entendus. "Nous ne savons pas quoi faire. Nous sommes désespérés", a déclaré Christophe. "Nous sommes soit dans le sous-sol, soit dans notre maison. Genre une heure au sous-sol, cinq minutes à la maison". Il a précisé qu'une quinzaine d'entre eux étaient bloqués à Kherson - des compatriotes camerounais, nigérians, sénégalais et ghanéens. Il a dit qu'ils n'ont pas d'électricité et qu'ils dépendent des réserves d'eau. "On dit que la ville a été encerclée par l'armée russe. Il n'y a donc pas d'issue. Nous nous trouvons dans cette situation où nous ne pouvons rien faire", a-t-il ajouté. (BBC)
Le “mouvement Dudula”, cette fièvre xénophobe qui a saisi l’Afrique du Sud 03/03/2022
Avec une histoire intimement liée à l’apartheid, la majorité des Sud-Africains réprouve les violences xénophobes. Mais ils sont désormais de plus en plus nombreux à en commettre. Le Daily Maverick a enquêté sur le mouvement antiétranger “Operation Dudula”, désormais adoubé par des hommes politiques sud-africains.
En juillet 2021, à Soweto, en banlieue de Johannesburg, Nhlanhla Lux et un groupe d’habitants en armes et treillis militaire ont campé pendant plusieurs jours devant le grand centre commercial Maponya Mall. Ils ont essuyé les tirs de pilleurs et contre-attaqué jusqu’à ce que l’armée et la police arrivent enfin en renfort. Depuis, Lux est un héros. Quelques semaines avant d’avoir ainsi défendu Maponya Mall, le mouvement de Lux, “Operation Dudula”, est descendu dans la rue pour chasser les “clandestins” hors du pays. (Courrier International)
En juillet 2021, à Soweto, en banlieue de Johannesburg, Nhlanhla Lux et un groupe d’habitants en armes et treillis militaire ont campé pendant plusieurs jours devant le grand centre commercial Maponya Mall. Ils ont essuyé les tirs de pilleurs et contre-attaqué jusqu’à ce que l’armée et la police arrivent enfin en renfort. Depuis, Lux est un héros. Quelques semaines avant d’avoir ainsi défendu Maponya Mall, le mouvement de Lux, “Operation Dudula”, est descendu dans la rue pour chasser les “clandestins” hors du pays. (Courrier International)
Guinée : Mamadi Doumbouya prévoit-il une présidentielle en 2025 ? 03/03/2022
Selon un document non authentifié qui pourrait émaner de la junte au pouvoir, celle-ci voudrait prolonger la transition de plus de trois ans. D’où vient le document qui circule sur les réseaux sociaux guinéens ? Qui pourrait avoir intérêt à le diffuser ? Depuis quelques jours, un « chronogramme de la transition » est détaillé dans huit pages datées du 3 février 2022. Si ce chronogramme est bien le fruit du travail du Comité national du rassemblement pour la démocratie (CNRD), ce serait la première fois qu’un délai de transition serait communiqué.
Selon ce qui est indiqué sur le document, le texte est destiné à une « diffusion restreinte ». Outre Mamadi Doumbouya lui-même, ses destinataires sont tous des proches du président de la transition : le chef du Conseil national de transition (CNT), Dansa Kourouma, le chef d’état-major des armées, Sidiba Koulibaly, le ministre secrétaire général de la présidence Amara Camara, le ministre de la Défense nationale, Idi Amin, et le haut commandant de la gendarmerie, Balla Samoura. (Jeune Afrique)
Selon ce qui est indiqué sur le document, le texte est destiné à une « diffusion restreinte ». Outre Mamadi Doumbouya lui-même, ses destinataires sont tous des proches du président de la transition : le chef du Conseil national de transition (CNT), Dansa Kourouma, le chef d’état-major des armées, Sidiba Koulibaly, le ministre secrétaire général de la présidence Amara Camara, le ministre de la Défense nationale, Idi Amin, et le haut commandant de la gendarmerie, Balla Samoura. (Jeune Afrique)
Soudan: les comités de résistance proposent une charte de transition 01/03/2022
Au Soudan, une nouvelle « marche du million » pour restitution du pouvoir aux civils est prévue ce lundi 28 février à Khartoum et dans plusieurs villes du pays. Les manifestants défilent pacifiquement depuis des mois pour demander le départ du pouvoir des militaires. Mais dimanche 27 février, les Comités de résistance de l'État de Khartoum ont en plus proposé une Charte de transition commune.
Dimanche soir, devant une foule de micros, c'est à tour de rôle que de jeunes porte-paroles des Comités de résistance de l'État de Khartoum sont venus présenter la « Charte pour l'instauration de l'autorité du peuple ». Une charte politique décrivant une transition de deux ans, au cours desquels le Soudan serait dirigé par un Premier ministre, chef de l'État et chef de l'armée, nommé par les signataires de la Charte. Celui-ci gouvernerait avec une Assemblée qui, au terme de la transition, serait chargée de ratifier une nouvelle Constitution, après quoi des élections libres seraient tenues, ouvertes à tous, sauf aux alliés du président déchu Omar el-Béchir et aux soutiens du coup d'État du 25 octobre. (RFI)
Dimanche soir, devant une foule de micros, c'est à tour de rôle que de jeunes porte-paroles des Comités de résistance de l'État de Khartoum sont venus présenter la « Charte pour l'instauration de l'autorité du peuple ». Une charte politique décrivant une transition de deux ans, au cours desquels le Soudan serait dirigé par un Premier ministre, chef de l'État et chef de l'armée, nommé par les signataires de la Charte. Celui-ci gouvernerait avec une Assemblée qui, au terme de la transition, serait chargée de ratifier une nouvelle Constitution, après quoi des élections libres seraient tenues, ouvertes à tous, sauf aux alliés du président déchu Omar el-Béchir et aux soutiens du coup d'État du 25 octobre. (RFI)
Ukraine: le réveil brutal des étudiants africains de Kiev 26/02/2022
Au petit matin du jeudi 24 février, ce sont les effrayants bombardements qui ont réveillé Daniel en sursaut. Dans la panique, ce Congolais de 28 ans, à Kiev depuis deux années, s’est réfugié dans la cave : « Je suis un peu stressé parce que j’ai été réveillé par des bruits de bombardements. Et avec la panique et la tension, j’ai couru directement sous l’escalier et dans la cave pour me cacher. Je suis remonté au bout d’une heure à ma chambre. »
Elie est également natif de Kinshasa, il étudie les relations internationales à Kiev depuis deux ans. Lui pensait possible une issue diplomatique. Choqué par les bombardements, il ne souhaite désormais qu’une chose, rentrer en RDC : « La journée est vraiment remplie de beaucoup de frayeur. On arrête tout. L’aéroport n’est plus opérationnel, il n’y a plus de vol. Je ne pense plus rester longtemps en Ukraine, avec déjà tout ce qu’on a enduré, tout ce qu’on a vécu ici. Je rêve d’étudier encore ici en Ukraine, mais là, c’est cassé. » (RFI)
Elie est également natif de Kinshasa, il étudie les relations internationales à Kiev depuis deux ans. Lui pensait possible une issue diplomatique. Choqué par les bombardements, il ne souhaite désormais qu’une chose, rentrer en RDC : « La journée est vraiment remplie de beaucoup de frayeur. On arrête tout. L’aéroport n’est plus opérationnel, il n’y a plus de vol. Je ne pense plus rester longtemps en Ukraine, avec déjà tout ce qu’on a enduré, tout ce qu’on a vécu ici. Je rêve d’étudier encore ici en Ukraine, mais là, c’est cassé. » (RFI)
Maroc-Algérie : Le royaume se dote d’une zone militaire à sa frontière orientale 26/02/2022
Dans un contexte de fortes tensions avec Alger, les Forces armées royales (FAR) ont récemment inauguré la « zone Est », à la frontière orientale du royaume. Confiée au général de division Mohammed Miqdad, qui bénéficie de la confiance du Palais, cette nouvelle région militaire est censée offrir plus de fluidité et de liberté d’action à l’armée.
Le 5 janvier a eu lieu à Errachidia la cérémonie d’investiture du premier commandant de la Zone Est, le général de division Mohammed Miqdad. L’événement a été présidé par le général de corps d’armée Belkhir El Farouk, lui-même nommé le 13 septembre 2021 au poste d’Inspecteur général des Forces armées royales (FAR), une désignation qui s’est accompagnée de l’annonce par les FAR de la création d’une nouvelle zone militaire, située près de la frontière algérienne.
A priori, rien ne prédestinait ce Doukkali originaire d’El Jadida, issu d’une famille sans tradition militaire spécifique, à un tel parcours. Pour Abdelhamid Harifi, chercheur dans le domaine de la défense, cette nomination est le couronnement d’une « brillante carrière militaire ». Diplômé de l’Académie militaire de Meknès, Mohammed Miqdad a rejoint les rangs des FAR dans les années 1980. (Jeune Afrique)
Le 5 janvier a eu lieu à Errachidia la cérémonie d’investiture du premier commandant de la Zone Est, le général de division Mohammed Miqdad. L’événement a été présidé par le général de corps d’armée Belkhir El Farouk, lui-même nommé le 13 septembre 2021 au poste d’Inspecteur général des Forces armées royales (FAR), une désignation qui s’est accompagnée de l’annonce par les FAR de la création d’une nouvelle zone militaire, située près de la frontière algérienne.
A priori, rien ne prédestinait ce Doukkali originaire d’El Jadida, issu d’une famille sans tradition militaire spécifique, à un tel parcours. Pour Abdelhamid Harifi, chercheur dans le domaine de la défense, cette nomination est le couronnement d’une « brillante carrière militaire ». Diplômé de l’Académie militaire de Meknès, Mohammed Miqdad a rejoint les rangs des FAR dans les années 1980. (Jeune Afrique)
Algérie: un défenseur des droits humains pro-Hirak écroué 26/02/2022
Le défenseur des droits humains, Zaki Hannache, connu pour son engagement en faveur du mouvement de protestation du Hirak, a été écroué jeudi en Algérie pour "apologie d'actes terroristes" et "diffusion de fausses informations", a indiqué une association de défense des détenus. Zaki Hannache a été "placé sous mandat de dépôt" par un juge d'instruction du tribunal de Sidi Mhamed à Alger, selon le Comité national pour la libération des détenus (CNLD).
Son placement en détention provisoire intervient deux jours après le troisième anniversaire du soulèvement populaire du Hirak, déclenché le 22 février 2019 et qui avait poussé le président Abdelaziz Bouteflika à la démission deux mois plus tard. … Près de 300 personnes sont actuellement emprisonnées en Algérie en lien avec le Hirak, mouvement à l'arrêt depuis la mi-mai 2021, ou avec des revendications concernant les libertés individuelles, selon cette association. (AFP)
Son placement en détention provisoire intervient deux jours après le troisième anniversaire du soulèvement populaire du Hirak, déclenché le 22 février 2019 et qui avait poussé le président Abdelaziz Bouteflika à la démission deux mois plus tard. … Près de 300 personnes sont actuellement emprisonnées en Algérie en lien avec le Hirak, mouvement à l'arrêt depuis la mi-mai 2021, ou avec des revendications concernant les libertés individuelles, selon cette association. (AFP)
Libye: le Premier ministre en exercice annonce des législatives d'ici l'été prochain 23/02/2022
Le Premier ministre libyen Abdel Hamid Dbeibah a réaffirmé, lundi 21 février, qu'il ne cédera le pouvoir qu'à un gouvernement élu. Il a lancé une initiative pour organiser des élections parlementaires d'ici l'été prochain en reportant la présidentielle à une période ultérieure. Une sorte de fuite en avant, alors que le Parlement s'apprête à voter, la semaine prochaine, sa confiance au gouvernement Bachagha.
En lançant son initiative pour l'élection, Abdel Hamid Dbeibah veut montrer qu'il est capable d'organiser le scrutin alors que le Parlement l'estime responsable de l'échec des élections prévues le 24 décembre dernier. Pour essayer de convaincre, il a aussi renoncé à être candidat à la présidentielle. Il impute la responsabilité de l'échec aux députés, et considère que le Parlement élu il y a huit ans est lui aussi illégal.
A l'heure où la lutte pour la légalité s'intensifie, faisant craindre le pire à la population libyenne, Dbeibah a averti que « la désignation d'un nouveau gouvernement de transition pourrait conduire à une guerre ». Cette décision est « une mascarade », « une imprudence » s'est-il emporté. Le mot « guerre » est d'ailleurs revenu huit fois dans son discours, lui qui avait promis - après sa désignation - qu'il n’y en aurait plus. (RFI)
En lançant son initiative pour l'élection, Abdel Hamid Dbeibah veut montrer qu'il est capable d'organiser le scrutin alors que le Parlement l'estime responsable de l'échec des élections prévues le 24 décembre dernier. Pour essayer de convaincre, il a aussi renoncé à être candidat à la présidentielle. Il impute la responsabilité de l'échec aux députés, et considère que le Parlement élu il y a huit ans est lui aussi illégal.
A l'heure où la lutte pour la légalité s'intensifie, faisant craindre le pire à la population libyenne, Dbeibah a averti que « la désignation d'un nouveau gouvernement de transition pourrait conduire à une guerre ». Cette décision est « une mascarade », « une imprudence » s'est-il emporté. Le mot « guerre » est d'ailleurs revenu huit fois dans son discours, lui qui avait promis - après sa désignation - qu'il n’y en aurait plus. (RFI)
A Baidoa, en Somalie, où « la sécheresse a tout tué », convergent des centaines de milliers d’affamés 23/02/2022
Agriculteurs et éleveurs prennent la route de l’exil et quittent le sud du pays accablé depuis trois ans par le manque de pluie, les invasions de criquets et la pandémie. … Depuis plusieurs semaines, les organisations humanitaires multiplient les alertes sur la dégradation de la situation dans la Corne de l’Afrique, qui fait craindre un drame similaire à celui de 2011, la dernière famine qui avait fait 260 000 morts en Somalie.
Le manque de pluie depuis fin 2020 est venu porter un coup fatal à des populations déjà éprouvées par une invasion de criquets entre 2019 et 2021 et la pandémie de Covid-19. « On avait nos réserves habituelles de sorgho, mais on les a mangées ces trois dernières années. Elles sont terminées », explique Ibrahim Mohamed Hassan, sexagénaire aveugle qui a marché une soixantaine de kilomètres avec sa famille jusqu’au camp de Garas Goof. Dans son village, 30 des 50 familles sont parties. « Les autres vont suivre », prédit le vieil homme en réajustant ses lunettes de soleil rafistolées avec un élastique. (Le Monde avec AFP)
Le manque de pluie depuis fin 2020 est venu porter un coup fatal à des populations déjà éprouvées par une invasion de criquets entre 2019 et 2021 et la pandémie de Covid-19. « On avait nos réserves habituelles de sorgho, mais on les a mangées ces trois dernières années. Elles sont terminées », explique Ibrahim Mohamed Hassan, sexagénaire aveugle qui a marché une soixantaine de kilomètres avec sa famille jusqu’au camp de Garas Goof. Dans son village, 30 des 50 familles sont parties. « Les autres vont suivre », prédit le vieil homme en réajustant ses lunettes de soleil rafistolées avec un élastique. (Le Monde avec AFP)
Le Sénégal champion d’Afrique se dote d’un stade aux normes internationales 23/02/2022
Le Sénégal, vainqueur de la dernière Coupe d’Afrique des nations (CAN) et premier au classement FIFA sur le continent, a désormais un stade aux normes internationales, inauguré mardi 22 février dans la liesse à Diamniadio, la ville nouvelle à une trentaine de kilomètres de Dakar.
Des milliers de Sénégalais se sont déplacés en bus ou en train pour rallier le stade de 50 000 places, qui a reçu le nom de l’ancien président du pays Abdoulaye Wade. Le choix du nom de l’ancien chef de l’Etat est un « hommage à son parcours multidimensionnel, intellectuel, panafricaniste, homme politique et ancien président du Sénégal », a déclaré l’actuel président sénégalais Macky Sall lors de la cérémonie d’inauguration.
« Cette belle infrastructure dédiée à la jeunesse est une invite à poursuivre notre chemin vers l’excellence », a estimé M. Sall. L’enceinte est la seule homologuée par les instances internationales, la Confédération africaine de football (CAF) ayant retiré son homologation au stade Lat Dior, dans la région de Thiès (70 kilomètres de Dakar), en mai 2021. (Le Monde avec AFP)
Des milliers de Sénégalais se sont déplacés en bus ou en train pour rallier le stade de 50 000 places, qui a reçu le nom de l’ancien président du pays Abdoulaye Wade. Le choix du nom de l’ancien chef de l’Etat est un « hommage à son parcours multidimensionnel, intellectuel, panafricaniste, homme politique et ancien président du Sénégal », a déclaré l’actuel président sénégalais Macky Sall lors de la cérémonie d’inauguration.
« Cette belle infrastructure dédiée à la jeunesse est une invite à poursuivre notre chemin vers l’excellence », a estimé M. Sall. L’enceinte est la seule homologuée par les instances internationales, la Confédération africaine de football (CAF) ayant retiré son homologation au stade Lat Dior, dans la région de Thiès (70 kilomètres de Dakar), en mai 2021. (Le Monde avec AFP)
En Afrique du Sud, nouvelle poussée de fièvre contre les travailleurs étrangers 18/02/2022
Agnès Malatje l’assure, elle n’est pas xénophobe. Simplement, dit-elle, « on a besoin de respirer ». Porte-voix en main ce dimanche 13 février, le petit bout de femme chauffe une foule d’une centaine de personnes en promettant de « passer un coup de balai » à Alexandra. Le flyer qui appelait au rassemblement a promis de chasser « pacifiquement » les vendeurs de rue illégaux alignés le long des principales artères du township le plus peuplé de Johannesburg, capitale économique de l’Afrique du Sud.
En ligne de mire, des étals de fruits, de légumes, de vêtements tenus le plus souvent par des Zimbabwéens et autres Mozambicains. En vrac, la foule leur reproche de « prendre les emplois des Sud-Africains », d’« empêcher les gens de marcher sur le trottoir », d’« être partout ». De nourrir la corruption et le crime également. Tous les maux de cette Afrique du Sud qui a vu exploser le chômage avec la pandémie y passent. Sur le bord du trottoir, les habitants approuvent. (Le Monde)
En ligne de mire, des étals de fruits, de légumes, de vêtements tenus le plus souvent par des Zimbabwéens et autres Mozambicains. En vrac, la foule leur reproche de « prendre les emplois des Sud-Africains », d’« empêcher les gens de marcher sur le trottoir », d’« être partout ». De nourrir la corruption et le crime également. Tous les maux de cette Afrique du Sud qui a vu exploser le chômage avec la pandémie y passent. Sur le bord du trottoir, les habitants approuvent. (Le Monde)
Les Libyens marquent le 11e anniversaire de la révolte contre Kadhafi 18/02/2022
Les Libyens célèbrent jeudi le onzième anniversaire du début de la révolution qui a renversé Mouammar Kadhafi en 2011, au moment où la transition vers la démocratie connaît de nouveaux écueils qui font craindre une reprise des hostilités. Cet anniversaire tombe en effet alors que le pays, déjà miné par les divisions entre institutions concurrentes à l'Est et à l'Ouest, se retrouve depuis le 10 février avec deux Premiers ministres rivaux à Tripoli, après avoir manqué l'échéance électorale cruciale de décembre.
Le Parlement siégeant à l'Est a désigné l'influent ex-ministre de l'Intérieur Fathi Bachagha pour remplacer Abdelhamid Dbeibah --tous deux originaires de l'Ouest-- à la tête du gouvernement intérimaire, mais ce dernier assure qu'il ne cèdera la place qu'à un pouvoir élu, un imbroglio politico-institutionnel qui fait craindre la résurgence d'un conflit armé. A l'occasion de l'anniversaire de la révolte déclenchée en plein Printemps arabe, les principales avenues de Tripoli ont été pavoisées de rouge, noir et vert, couleurs de l'emblème national adopté après la chute de l'ancien régime. (AFP)
Le Parlement siégeant à l'Est a désigné l'influent ex-ministre de l'Intérieur Fathi Bachagha pour remplacer Abdelhamid Dbeibah --tous deux originaires de l'Ouest-- à la tête du gouvernement intérimaire, mais ce dernier assure qu'il ne cèdera la place qu'à un pouvoir élu, un imbroglio politico-institutionnel qui fait craindre la résurgence d'un conflit armé. A l'occasion de l'anniversaire de la révolte déclenchée en plein Printemps arabe, les principales avenues de Tripoli ont été pavoisées de rouge, noir et vert, couleurs de l'emblème national adopté après la chute de l'ancien régime. (AFP)
Congo-Kinshasa: 7 humanitaires tués en 2021 dans l'Est du pays 17/02/2022
Plus de deux cents quatre-vingt-douze incidents sécuritaires affectant les humanitaires ont été enregistrés dans les provinces de l'Est de la RDC durant l'année 2021, a indiqué OCHA dans un rapport annuel publié le mardi 15 février. De janvier à décembre 2021, 292 incidents touchant les humanitaires ont été enregistrés principalement dans quatre provinces de l'Est : Ituri, Nord-Kivu, Sud-Kivu et la province du Tanganyika. Sept humanitaires ont été tués l'année dernière dont 3 au Nord-Kivu, 2 en Ituri, 1 au Sud-Kivu et 1 au Tanganyika, rapporte OCHA.
OCHA note également 29 humanitaires blessés et 25 autres enlevés. Le rapport note que 91% de ces incidents touchent principalement les ONG alors que les agences des Nations Unies ont été touchées à 9%. OCHA précise que les incidents observés incluent des actes de violence armée avec 248 cas de violences enregistrés, les actes de nature criminelle, tels que des vols à mains armées ou des braquages de véhicules et convois humanitaires, commis par divers types d'acteurs. (Radio Okapi)
OCHA note également 29 humanitaires blessés et 25 autres enlevés. Le rapport note que 91% de ces incidents touchent principalement les ONG alors que les agences des Nations Unies ont été touchées à 9%. OCHA précise que les incidents observés incluent des actes de violence armée avec 248 cas de violences enregistrés, les actes de nature criminelle, tels que des vols à mains armées ou des braquages de véhicules et convois humanitaires, commis par divers types d'acteurs. (Radio Okapi)
Somalie: Modagiscio ciblée par des attaques simultanées revendiquées par les shebabs 16/02/2022
Des coups de feu et des explosions ont été entendues la nuit dernière à Mogasdicio, la capitale somalienne. Ce sont des attaques simultanées qui ont été menées par le groupe jihadiste des shebabs. Un commissariat a notamment été pris pour cible et détruit. Les assaillants ont fini par être repoussés mais ces attentats surviennent alors que la situation politique en Somalie est toujours fragile.
En plus de la crise politique et du processus électoral laborieux que traverse le pays, les habitants de Mogadiscio doivent donc aussi compter avec la violence terroriste. Durant la nuit de mardi à mercredi, vers 1h du matin, c'est une attaque d'une envergure inédite qui a frappé la capitale. Des commandos ont attaqué simultanément au moins deux quartiers du nord et du sud de la ville, Kahda et Dar-el-Salam. (RFI)
En plus de la crise politique et du processus électoral laborieux que traverse le pays, les habitants de Mogadiscio doivent donc aussi compter avec la violence terroriste. Durant la nuit de mardi à mercredi, vers 1h du matin, c'est une attaque d'une envergure inédite qui a frappé la capitale. Des commandos ont attaqué simultanément au moins deux quartiers du nord et du sud de la ville, Kahda et Dar-el-Salam. (RFI)
La guerre continue dans le nord de l’Éthiopie, en région Afar 16/02/2022
L’armée fédérale du Premier ministre Abiy Ahmed n’y intervient pas, laissant les rebelles tigréens du TPLF affronter des miliciens Afar. L’avancée des troupes tigréennes a forcé environ 300 000 personnes à fuir les combats. Les blessés arrivent à Semera, la capitale provinciale de l’Afar. … Pendant ce temps, les efforts diplomatiques s’accentuent pour trouver une issue au conflit. Vendredi, le représentant de l’Union européenne pour la Corne de l’Afrique a pointé quelques signaux encourageants.
Mais dans cette phase délicate, de nombreux observateurs s’inquiètent du rôle de sape que pourrait jouer l’Érythrée, engagée aux côtés d’Abyi Ahmed dans ce conflit. Les derniers signaux envoyés par Asmara inquiètent en effet dans les milieux diplomatiques. Malgré la promesse faite par le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed de ne pas poursuivre le TPFL à l’intérieur des frontières du Tigré, l’Érythrée poursuit sa rhétorique belliqueuse. Il y a une semaine encore le président Afeworki a affirmé dans une interview sa volonté « d’anéantir le fauteur de troubles » que constitue le TPLF selon lui. (RFI)
Mais dans cette phase délicate, de nombreux observateurs s’inquiètent du rôle de sape que pourrait jouer l’Érythrée, engagée aux côtés d’Abyi Ahmed dans ce conflit. Les derniers signaux envoyés par Asmara inquiètent en effet dans les milieux diplomatiques. Malgré la promesse faite par le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed de ne pas poursuivre le TPFL à l’intérieur des frontières du Tigré, l’Érythrée poursuit sa rhétorique belliqueuse. Il y a une semaine encore le président Afeworki a affirmé dans une interview sa volonté « d’anéantir le fauteur de troubles » que constitue le TPLF selon lui. (RFI)
Brèves
RESSOURCES...MARCHES...MONNAIES... - 03/12/2025
Wall Street termine en hausse, prévoit une baisse des taux
La Bourse de Paris atone, l'attention sur la Fed et l'Ukraine
La Bourse de Paris dans l'attente de nouvelles sur l'Ukraine et l'économie américaine
Les Bourses mondiales dans le vert après Thanksgiving
Vidéo à la Une
Vidéos
Eurovision 2026 : vive condamnation de la Türkiye, quatre pays se retirent après le maintien d’Israël
RDC et Rwanda: Trump préside une cérémonie de paix sur fond d'intenses combats
04/12/2025
Pays « pourri » Trump indigne les Somaliens
04/12/2025
Soupçons de Fraude : L’ancienne chef de la diplomatie européenne Mogherini relâchée après notification des charges
03/12/2025
La Türkiye vend pour la première fois des navires de guerre à un pays membre de l'OTAN et de l'UE
03/12/2025
Les derniers articles
Malgré les pressions américaines, Poutine entend bien continuer à livrer du pétrole à l'Inde
05/12/2025
-
Eurovision 2026 : vive condamnation de la Türkiye, quatre pays se retirent après le maintien d’Israël
05/12/2025
-
Alioune Sall annonce le déploiement d’antennes satellitaires pour connecter un million de Sénégalais à Internet
05/12/2025
-
RDC–Rwanda : Tshisekedi et Kagame scellent à Washington un accord « historique » pour la paix
04/12/2025
-
Dette cachée - Le FMI avance sur un nouveau prêt au Sénégal tout en enquêtant sur ses propres procédures de contrôle
04/12/2025
-
RDC: les combats se poursuivent au Sud-Kivu avant la rencontre entre les présidents congolais et rwandais
04/12/2025
-
OPINIONS & IDEES - 21/11/2025
2029 : l’unique obsession des frères siamois du pouvoir
Lettre ouverte à Pastef, au Président de la République et au Premier ministre (Par Diagne Fodé Roland)
21/11/2025
Il y a 108 ans, la Révolution communiste d'octobre 1917 : 10 jours ébranlèrent le monde
16/11/2025
Lettre ouverte : A M. El Malick Ndiaye, responsable politique au PASTEF, par ailleurs président de l’Assemblée Nationale (Par Me Wagane Faye)
16/11/2025
Du présidentialisme néocolonial au parlementarisme souverainiste populaire !
12/11/2025
Inscription à la newsletter






FRANCE


