(Communiqué) Les États-Unis et le royaume des Pays-Bas, sous les auspices du GCTF (le Forum mondial contre le terrorisme) organisent le premier atelier régional de l’Initiative de prise en charge du défi que présente le retour des familles de combattants terroristes étrangers. L’atelier se tiendra à Tunis (Tunisie) les 8 et 9 février 2018.
Il s’agit du premier des trois ateliers qui élaboreront les nouvelles bonnes pratiques du GCTF dont le but est d’orienter l’engagement, l’assistance et la formation au niveau international pour la prise en charge de défis potentiels et de risques sécuritaires que présentent les membres de la famille des combattants terroristes étrangers.
Avec l’accélération des pertes de Daech sur le champ de bataille, les combattants terroristes étrangers partis en Syrie et en Iraq ont commencé à rentrer dans leur pays d’origine ou à se rendre dans des pays tiers. Ces personnes présentent des défis particuliers là où elles s’établissent, surtout celles qui se sont déplacées avec une partie de leur famille.
Certains membres sont susceptibles d’avoir commis des actes de terrorisme lors de leur séjour en Syrie et en Iraq ou peuvent présenter une menace pour les communautés d’accueil. D’autres sont susceptibles d’avoir été victimes de Daech, particulièrement les enfants en bas âge qui ont été témoins d’actes de violence indicibles, ont été endoctrinés par des idéologies extrémistes violentes ou ont été désensibilisés à la brutalité de Daech.
Afin de prendre en charge cette question complexe, cette initiative d’une année réunira des autorités nationales et locales, des organisations internationales, des prestataires de soins médicaux et psychologiques et des organisations de soutien des familles dans le cadre d’une série de trois ateliers régionaux.
Les participants au premier atelier régional, qui se tient en Tunisie, évaluent la menace que présente le retour des familles dans la région sahélo-maghrébine, en explorant les outils existants et les lacunes actuelles pour les femmes, les jeunes enfants et les adolescents, en passant en revue les possibilités de réinsertion et de réintégration pour les membres de la famille susceptibles d’être incarcérés à leur retour.
Les discussions de l’atelier de deux jours mèneront à la création d’un ensemble de bonnes pratiques non contraignantes sur la question qui seront présentées par les membres du GCTF pour approbation à la Réunion ministérielle de 2018. (Département d’Etat des Usa)
Il s’agit du premier des trois ateliers qui élaboreront les nouvelles bonnes pratiques du GCTF dont le but est d’orienter l’engagement, l’assistance et la formation au niveau international pour la prise en charge de défis potentiels et de risques sécuritaires que présentent les membres de la famille des combattants terroristes étrangers.
Avec l’accélération des pertes de Daech sur le champ de bataille, les combattants terroristes étrangers partis en Syrie et en Iraq ont commencé à rentrer dans leur pays d’origine ou à se rendre dans des pays tiers. Ces personnes présentent des défis particuliers là où elles s’établissent, surtout celles qui se sont déplacées avec une partie de leur famille.
Certains membres sont susceptibles d’avoir commis des actes de terrorisme lors de leur séjour en Syrie et en Iraq ou peuvent présenter une menace pour les communautés d’accueil. D’autres sont susceptibles d’avoir été victimes de Daech, particulièrement les enfants en bas âge qui ont été témoins d’actes de violence indicibles, ont été endoctrinés par des idéologies extrémistes violentes ou ont été désensibilisés à la brutalité de Daech.
Afin de prendre en charge cette question complexe, cette initiative d’une année réunira des autorités nationales et locales, des organisations internationales, des prestataires de soins médicaux et psychologiques et des organisations de soutien des familles dans le cadre d’une série de trois ateliers régionaux.
Les participants au premier atelier régional, qui se tient en Tunisie, évaluent la menace que présente le retour des familles dans la région sahélo-maghrébine, en explorant les outils existants et les lacunes actuelles pour les femmes, les jeunes enfants et les adolescents, en passant en revue les possibilités de réinsertion et de réintégration pour les membres de la famille susceptibles d’être incarcérés à leur retour.
Les discussions de l’atelier de deux jours mèneront à la création d’un ensemble de bonnes pratiques non contraignantes sur la question qui seront présentées par les membres du GCTF pour approbation à la Réunion ministérielle de 2018. (Département d’Etat des Usa)






FRANCE


