«Nous allons vers un rendez-vous important, nous devons choisir celui qui va présider au destin du Sénégal. Durant ces cinq années à venir, c'est à lui que nous confierons des milliers de milliards en guise de budget, l'administration, la diplomatie, un avion pour ses déplacements etc. », a dit Ousmane Sonko à l'entame de son propos sur la télévision nationale.
A ce titre, il a rappelé que « les critères qui devront guider ce choix ne doivent pas se fonder sur l'appartenance ethnique, religieuse, confrérique ou autres, mais sur l’honnêteté, la compétence et le patriotisme, au point de se sacrifier pour son pays. Si le choix se fonde sur ces critères, nous aurons un président de la République qui pourra construire le Sénégal. »
Dans la même veine, le leader de Pastef les Patriotes a interpellé les Sénégalais sur l’impossibilité de continuer « dans les erreurs et les recommencements » qui retardent notre pays. D’où l’urgence de procéder au meilleur choix possible concernant le prochain président de la République, mais en insistant sur l’absolue harmonie qui doit prévaloir.
« Nous faisons partie de ceux qui croient que le Sénégal a besoin que l'on rassemble tous ses fils, (…) parce que nous sommes une nation forte, (…)une grande nation admirée dans le monde entier pour notre unité… », a souligné le benjamin des candidats. « Mais durant ces sept ans, nous avons constaté que certains problèmes commencent à se faire jour et des propos jamais entendus sont agités. » Une situation qui serait le résultat d’une instrumentalisation « des attributs de l’Etat (…) pour gâcher cette harmonie et semer le trouble dans les esprits. »
Après cette alerte, Ousmane Sonko a promis de développer pour l’opinion son « ambitieux programme » qu’il a qualifié « de rupture » avec une place déterminante au profit du « patriotisme économique », de la lutte contre la corruption et la mal gouvernance, dans une économie extirpée du diktat des puissances et entreprises étrangères.
Invitant les Sénégalais, notamment la jeunesse, à aller retirer leurs cartes, Ousmane Sonko a appelé la diaspora à s’investir physiquement et financièrement » dans la campagne électorale en vue de la victoire au soir du scrutin. « Nous n'attendons pas le changement, nous sommes le changement. »
PAR EL HASSANE SALL
A ce titre, il a rappelé que « les critères qui devront guider ce choix ne doivent pas se fonder sur l'appartenance ethnique, religieuse, confrérique ou autres, mais sur l’honnêteté, la compétence et le patriotisme, au point de se sacrifier pour son pays. Si le choix se fonde sur ces critères, nous aurons un président de la République qui pourra construire le Sénégal. »
Dans la même veine, le leader de Pastef les Patriotes a interpellé les Sénégalais sur l’impossibilité de continuer « dans les erreurs et les recommencements » qui retardent notre pays. D’où l’urgence de procéder au meilleur choix possible concernant le prochain président de la République, mais en insistant sur l’absolue harmonie qui doit prévaloir.
« Nous faisons partie de ceux qui croient que le Sénégal a besoin que l'on rassemble tous ses fils, (…) parce que nous sommes une nation forte, (…)une grande nation admirée dans le monde entier pour notre unité… », a souligné le benjamin des candidats. « Mais durant ces sept ans, nous avons constaté que certains problèmes commencent à se faire jour et des propos jamais entendus sont agités. » Une situation qui serait le résultat d’une instrumentalisation « des attributs de l’Etat (…) pour gâcher cette harmonie et semer le trouble dans les esprits. »
Après cette alerte, Ousmane Sonko a promis de développer pour l’opinion son « ambitieux programme » qu’il a qualifié « de rupture » avec une place déterminante au profit du « patriotisme économique », de la lutte contre la corruption et la mal gouvernance, dans une économie extirpée du diktat des puissances et entreprises étrangères.
Invitant les Sénégalais, notamment la jeunesse, à aller retirer leurs cartes, Ousmane Sonko a appelé la diaspora à s’investir physiquement et financièrement » dans la campagne électorale en vue de la victoire au soir du scrutin. « Nous n'attendons pas le changement, nous sommes le changement. »
PAR EL HASSANE SALL
PRÉSIDENTIELLE 2024
FRANCE
