«Les États-Unis sont profondément inquiets de l’« auto-investiture » du dirigeant de l’opposition kenyane, Raila Odinga, qui a eu lieu le 30 janvier. Nous rejetons tout ce qui sape la constitution du Kenya et l’état de droit. Uhuru Kenyatta a été élu à la présidence de la république du Kenya le 26 octobre 2017 lors d’un scrutin dont les résultats ont été confirmés par la Cour suprême. Les doléances doivent être résolues par le biais des mécanismes juridiques qui conviennent.
Nous félicitons les forces de sécurité de la retenue dont elles ont fait preuve et les encourageons vivement à continuer d’éviter tout recours à la force de manière injustifiée ou excessive. Toutes les arrestations et poursuites judiciaires doivent se faire en pleine conformité avec l’état de droit et par le biais d’une procédure judiciaire transparente et en bonne et due forme. Nous encourageons tous les Kenyans à rejeter la violence et la haine. Les manifestants ont le droit de se réunir de manière pacifique, d’exprimer leurs points de vue librement et d’avoir leurs propres opinions sans interférence.
Le fait que le gouvernement ait fermé, intimidé et restreint les médias nous inquiète profondément. La liberté d’expression, y compris pour les médias, est essentielle à la démocratie et est inscrite dans la constitution du Kenya. Nous encourageons le gouvernement et tous les Kenyans à respecter la liberté d’expression et à appliquer les ordonnances judiciaires appelant à la restauration des diffusions télévisuelles.
Encore une fois, nous encourageons les dirigeants et citoyens kenyans à entamer une conversation nationale de manière à instaurer la cohésion et à prendre en charge les problèmes de longue date. Les États-Unis continuent de soutenir les efforts des responsables religieux, des affaires et de la société civile visant le démarrage de cette conversation dans un avenir proche et appellent tout un chacun à participer à cette initiative. Les États-Unis se tiennent fermement aux côtés des Kenyans. Seuls les Kenyans eux-mêmes seront à même de trouver un moyen de résoudre leurs différends et de tracer le destin de ce grand pays.»
Nous félicitons les forces de sécurité de la retenue dont elles ont fait preuve et les encourageons vivement à continuer d’éviter tout recours à la force de manière injustifiée ou excessive. Toutes les arrestations et poursuites judiciaires doivent se faire en pleine conformité avec l’état de droit et par le biais d’une procédure judiciaire transparente et en bonne et due forme. Nous encourageons tous les Kenyans à rejeter la violence et la haine. Les manifestants ont le droit de se réunir de manière pacifique, d’exprimer leurs points de vue librement et d’avoir leurs propres opinions sans interférence.
Le fait que le gouvernement ait fermé, intimidé et restreint les médias nous inquiète profondément. La liberté d’expression, y compris pour les médias, est essentielle à la démocratie et est inscrite dans la constitution du Kenya. Nous encourageons le gouvernement et tous les Kenyans à respecter la liberté d’expression et à appliquer les ordonnances judiciaires appelant à la restauration des diffusions télévisuelles.
Encore une fois, nous encourageons les dirigeants et citoyens kenyans à entamer une conversation nationale de manière à instaurer la cohésion et à prendre en charge les problèmes de longue date. Les États-Unis continuent de soutenir les efforts des responsables religieux, des affaires et de la société civile visant le démarrage de cette conversation dans un avenir proche et appellent tout un chacun à participer à cette initiative. Les États-Unis se tiennent fermement aux côtés des Kenyans. Seuls les Kenyans eux-mêmes seront à même de trouver un moyen de résoudre leurs différends et de tracer le destin de ce grand pays.»






FRANCE


