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IMPACT - La revue de presse du 8 mars

Vendredi 8 Mars 2024

La presse quotidienne est globalement attirée par la Journée internationale de célébration des femmes de ce 8 mars. Mais la politique y conserve encore de nombreuses entrées. 

 

« La présidentielle en mode 16 jours chrono ! », titre Vox Populi qui annonce, comme d’autres confrères, le lancement de la campagne électorale pour l’élection présidentielle du 24 mars. Après un bref flottement sur la date de la tenue du scrutin, la présidence et le Conseil constitutionnel ont convenu de retenir le jour choisi par Macky Sall. Ce que les juges ont expliqué dans une note rendue publique jeudi.

Pour Le Soleil, « Les 7 Sages et le Président s’accordent » sur la date de la présidentielle, la photo de Mamadou Badio Camara, patron du Conseil constitutionnel, en Une.  

 

« Ça s’emballe pour de bon », note L’AS avec l’image d’une manifestation politique qui renvoie à ce que les Sénégalais peuvent s’attendre pendant les deux prochaines semaines sur l’étendue du territoire national.

Libération en rappelle les éléments factuels: La campagne électorale débute le samedi 9 mars 2024 à00 heure pour se terminer le vendredi 22 mars 2024 à minuit. »  

 

« 15 jours pour convaincre », affiche Le Quotidien, qui note également que le Conseil constitutionnel a mis fin au début de polémique sur la date de l’élection.

Sud Quotidien confirme en rapportant les rendez-vous fixés par le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) aux candidats pour les enregistrements de leurs premiers messages dans les locaux de la Radio-télévisoon sénégalaise (Rts).

 

Selon 24 Heures, « Le Cnra fixe les règles du jeu avec un temps d’antenne de 3 minutes par candidat » et par jour. 

  

Pour Enquete, la campagne électorale sera dure pour les prétendants au fauteuil présidentiel dont la plupart devront faire face à de gros problèmes d’organisation. « Le casse-tête des candidats », écrit le journal.

 

« En sus de l’effet de surprise, les candidats sont confrontés au défi des moyens et du temps. A moins de vingt jours du scrutin, il n’ y a aucune lisibilité dans (leurs) agendas. »

 

Après la dissolution du gouvernement intervenue mardi 6 mars, des organisations politiques et de la société civile remettent sur la table une vieille doléance relative à l’organisation du scrutin : « Le choix d’une personnalité neutre et indépendante ». Dans Vox Populi, le F24 veut un ministre de l’intérieur non membre du parti présidentiel et qui ait la confiance de toutes les parties prenantes. 

 

Le journal Libération signale par ailleurs, ce qui pourrait avoir été un énorme débat collatéral de la crise institutionnelle et électorale déclenchée par le décalage de la présidentielle au 24 mars. « Fête de l’indépendance : le défilé du 4 avril annulé », annonce Libération

Selon la plateforme Ma Revue de Presse
« toutes les manifestations publiques y afférentes sont annulées sur l'ensemble du territoire national. Seule une levée des couleurs au Palais est prévue. »

 

A l’honneur !!! Comme chaque 8-MARS, les femmes du monde sont inévitablement à l’honneur dans la presse du jour, dominantes à souhait ! 

 

« Le pouvoir change de camp », constate Sud Quotidien qui fait un focus sur « le long chemin parsemé d’embûches » qui a précédé les « conquîtes et acquis des femmes sénégalaises ». 

 

Femme, médecin et syndicaliste, la ministre de la Santé Marie Khémess Ngom Ndiaye est à la Une de L’AS. Le journal dresse son portrait qui en fait « Un modèle de résilience et de performance ».

Dans Le Témoin Quotidien, c’est la candidate Anta Babacar Ngom qui est á l’honneur en tant que « Porte-voix des femmes dans la couse présidentielle ». 

 

« Les Linguères de Pastef toujours résilientes », c’est le choix de Yoor-Yoor Bi qui présente aux lecteurs Ndèye Fatou Fall dite Falla Fleur et Maimouna Dièye, maire de Patte d’Oie, toutes deux anciennes prisonnières élargies.   

 

A travers des « Voix précieuses » Bés Bi Le jour zoome sur des femmes de médias ayant des histoires à partager et/ou à connaître, de récentes à anciennes. 

 

« Maimouna Ndour Faye et Absa Hane : agressées mais pas vaincues. » Oumy Régina Sambou : « une histoire de drague m’a fait arrêter mes chroniques judiciaires. » Aminatou Mouhamed Diop : « Ma convocation à la Dic (Division des investigations criminelles, police judiciaire) et mon enfant à allaiter. » 

Annette Mbaye D’Erneville : au-delà de la journaliste. Nafissatou Diouf : du journalisme à la politique. [IMPACT.SN]

 
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