Le 3 novembre, le ministère de l’Intérieur annonce qu’un « extrémiste » aurait participé au creusement d’un tunnel menant à la résidence de l’ambassadeur de France. Mais peu d’éléments matériels corroborent la thèse. « Que se passe-t-il à La Marsa ? » Cette question, reprise par les réseaux sociaux en début de soirée du 3 novembre, agite l’opinion.
La paisible bourgade en bord de mer est l’un des lieux les plus sécurisés du pays et abrite des personnalités de premier plan : dans ce périmètre, intellectuels, grandes fortunes et artistes côtoient enfants du cru et diplomates. Alors, quand l’artère principale, qui conduit à la résidence de l’ambassadeur de France et au bord de mer, se met à grouiller de forces sécuritaires, les riverains s’étonnent, mais ajoutent volontiers foi à la rumeur selon laquelle la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, est conviée à dîner par l’ambassadeur de France, André Parant.
Mais l’arrivée inopinée du président de la République, Kaïs Saïed, accompagné du ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, démontre qu’il n’en est rien : il se passe quelque chose à La Marsa et le déploiement de forces laisse supposer un événement grave. (Jeune Afrique)
La paisible bourgade en bord de mer est l’un des lieux les plus sécurisés du pays et abrite des personnalités de premier plan : dans ce périmètre, intellectuels, grandes fortunes et artistes côtoient enfants du cru et diplomates. Alors, quand l’artère principale, qui conduit à la résidence de l’ambassadeur de France et au bord de mer, se met à grouiller de forces sécuritaires, les riverains s’étonnent, mais ajoutent volontiers foi à la rumeur selon laquelle la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, est conviée à dîner par l’ambassadeur de France, André Parant.
Mais l’arrivée inopinée du président de la République, Kaïs Saïed, accompagné du ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine, démontre qu’il n’en est rien : il se passe quelque chose à La Marsa et le déploiement de forces laisse supposer un événement grave. (Jeune Afrique)