LONDRES (Reuters) - Les dirigeants britanniques, français et allemands estiment que l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien est le meilleur moyen d'empêcher Téhéran d'acquérir des armes nucléaires, annonce dimanche un communiqué du bureau de la Première ministre britannique.
Theresa May a eu des entretiens téléphoniques avec le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel lors desquels les trois principales puissances européennes, signataires de l'accord de Vienne, ont été d'accord pour dire que le texte pourrait être amendé et élargi pour que la question des missiles balistiques de Téhéran soit par exemple abordée.
Le président américain Donald Trump, qui n'a cessé de critiquer l'accord de juillet 2015, qui encadre les activités nucléaires de l'Iran en échange de la levée de certaines sanctions, a donné aux signataires jusqu'au 12 mai pour "réparer les affreuses erreurs" de ce texte, faute de quoi il refusera de prolonger l'assouplissement des sanctions américaines contre la République islamique.
Les trois dirigeants européens "se sont engagés à continuer à travailler en étroite collaboration, ainsi qu'avec les Etats-Unis, sur la manière d'aborder les difficultés posées par l'Iran - y compris ces questions qu'un nouvel accord pourrait couvrir", lit-on dans le communiqué britannique.
Theresa May a eu des entretiens téléphoniques avec le président français Emmanuel Macron et la chancelière allemande Angela Merkel lors desquels les trois principales puissances européennes, signataires de l'accord de Vienne, ont été d'accord pour dire que le texte pourrait être amendé et élargi pour que la question des missiles balistiques de Téhéran soit par exemple abordée.
Le président américain Donald Trump, qui n'a cessé de critiquer l'accord de juillet 2015, qui encadre les activités nucléaires de l'Iran en échange de la levée de certaines sanctions, a donné aux signataires jusqu'au 12 mai pour "réparer les affreuses erreurs" de ce texte, faute de quoi il refusera de prolonger l'assouplissement des sanctions américaines contre la République islamique.
Les trois dirigeants européens "se sont engagés à continuer à travailler en étroite collaboration, ainsi qu'avec les Etats-Unis, sur la manière d'aborder les difficultés posées par l'Iran - y compris ces questions qu'un nouvel accord pourrait couvrir", lit-on dans le communiqué britannique.






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