À la veille du sommet extraordinaire de l'organisation régionale SADC sur la crise humanitaire et sécuritaire à Cabo Delgado, le président du Mozambique, Filipe Nyusi s'est exprimé ce mercredi 7 avril dans un discours diffusé à la télévision. « Ceux qui viendront de l'étranger ne seront pas là pour nous remplacer, ils viendront en soutien. Il ne s'agit pas d'une quelconque fierté, mais de souveraineté », a déclaré le président mozambicain.
Par ses propos, le président Nyusi rappelle sa position depuis le début de la crise : pas de bottes étrangères sur notre sol. Le seul soutien accepté jusqu'à présent est celui d'hélicoptères de sociétés de sécurité privées sud-africaines ou encore la formation de forces spéciales par des partenaires étrangers, comme les États-Unis ou le Portugal. Depuis les premières attaques en 2017, le président mozambicain a toujours cherché à relativiser l'ampleur de la crise dans la province de Cabo Delgado. Tenant un discours d'une situation sous contrôle. (RFI)
Par ses propos, le président Nyusi rappelle sa position depuis le début de la crise : pas de bottes étrangères sur notre sol. Le seul soutien accepté jusqu'à présent est celui d'hélicoptères de sociétés de sécurité privées sud-africaines ou encore la formation de forces spéciales par des partenaires étrangers, comme les États-Unis ou le Portugal. Depuis les premières attaques en 2017, le président mozambicain a toujours cherché à relativiser l'ampleur de la crise dans la province de Cabo Delgado. Tenant un discours d'une situation sous contrôle. (RFI)