Des proches ont fait état lundi "d'exécutions sommaires" par les forces de l'ordre burkinabè, au sujet de la mort de douze personnes interpellées pour "suspicion de faits de terrorisme". Le 13 mai, le procureur de Fada N'Gourma (est du Burkina Faso),
Judicael Kadéba, avait annoncé la mort dans la nuit de 12 personnes parmi 25 ayant été arrêtées pour "suspicion de faits de terrorisme", dans leurs cellules de la gendarmerie à Tanwalbougou (est), et l'ouverture d'une enquête confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de Fada N'Gourma.
Ces allégations avaient aussitôt été réfutées par le Collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) qui avait exigé une "enquête spéciale et la saisie de la justice internationale". (AFP)
Judicael Kadéba, avait annoncé la mort dans la nuit de 12 personnes parmi 25 ayant été arrêtées pour "suspicion de faits de terrorisme", dans leurs cellules de la gendarmerie à Tanwalbougou (est), et l'ouverture d'une enquête confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de Fada N'Gourma.
Ces allégations avaient aussitôt été réfutées par le Collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) qui avait exigé une "enquête spéciale et la saisie de la justice internationale". (AFP)







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