Amacodou Diouf, président du CA de l'AHDIS
Après le report sine die de la reprise des cours initialement prévue ce 2 juin pour les élèves de classes d’examen, l’ONG Action humaine pour le développement intégré du Sénégal (AHDIS), en synergie avec des chercheurs en éducation de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Lois, proposent au gouvernement sénégalais un nouveau calendrier scolaire à quatre niveaux. Ce sont: le prolongement de l’année scolaire 2019-2020 jusqu’en novembre, le renforcement de la veille pédagogique par les cours à distance jusqu’en fin août et l’achèvement des programmes sur la période septembre-octobre. Ainsi, l’année scolaire 2020-2021 débuterait en novembre 2020.
« Si ces propositions sont appliquées, nous sommes en mesure d’affirmer qu’il n’y aura pas d'année blanche », a garanti Amacodou Diouf, président du conseil d’administration de l’AHDIS dans une déclaration parvenue ce jour à www.impact.sn.
Auparavant, l’ONG et ses partenaires avaient salué la décision du Président de la République de sursoir à la reprise des classes « car, comme nous l’avions dit, beaucoup de facteurs, y compris les risques élevés de contamination, militaient en faveur du report. »
« Si ces propositions sont appliquées, nous sommes en mesure d’affirmer qu’il n’y aura pas d'année blanche », a garanti Amacodou Diouf, président du conseil d’administration de l’AHDIS dans une déclaration parvenue ce jour à www.impact.sn.
Auparavant, l’ONG et ses partenaires avaient salué la décision du Président de la République de sursoir à la reprise des classes « car, comme nous l’avions dit, beaucoup de facteurs, y compris les risques élevés de contamination, militaient en faveur du report. »
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