OUAGADOUGOU (Reuters) - Des dizaines de civils sont morts la semaine dernière dans des violences intercommunautaires au Burkina Faso, a-t-on appris mercredi auprès des autorités.
Ces violences ont commencé dans la nuit du 31 mars, près de la localité d'Arbinda, dans la province de Soum, lorsqu'un dignitaire religieux et six membres de sa famille ont été tués par des hommes armés qui n'ont pas été identifiés, a dit le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), dans un communiqué.
"Dans la matinée du 1er avril, des actes de représailles ont été enregistrés dans la commune d’Arbinda. Ils ont été dirigés contre une communauté à la suite de l’assassinat du guide religieux", poursuit ce communiqué.
"Le bilan provisoire non encore officiel fait état d’une vingtaine de morts."
Dans la province voisine de Boulgou, les membres de la famille royale traditionnelle de Zoaga ont eux aussi été attaqués et neuf personnes ont péri, selon un bilan provisoire.
Ces violences ont commencé dans la nuit du 31 mars, près de la localité d'Arbinda, dans la province de Soum, lorsqu'un dignitaire religieux et six membres de sa famille ont été tués par des hommes armés qui n'ont pas été identifiés, a dit le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP, au pouvoir), dans un communiqué.
"Dans la matinée du 1er avril, des actes de représailles ont été enregistrés dans la commune d’Arbinda. Ils ont été dirigés contre une communauté à la suite de l’assassinat du guide religieux", poursuit ce communiqué.
"Le bilan provisoire non encore officiel fait état d’une vingtaine de morts."
Dans la province voisine de Boulgou, les membres de la famille royale traditionnelle de Zoaga ont eux aussi été attaqués et neuf personnes ont péri, selon un bilan provisoire.
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