Le leader de la France insoumise a accusé le chef de l'Etat de vouloir débuter son quinquennat par un coup de force au matin, de la troisième manifestation contre la réforme des retraites.
Jean-Luc Mélenchon a appelé le chef de l'Etat à se montrer "raisonnable" mardi 7 avril à Paris, avant que s'élance le cortège parisien contre la réforme des retraites. "Il essaie de tenir bon mais sauf s'il est devenu totalement autoritaire, dans une démocratie, il faut que quelqu'un soit raisonnable et c'est forcément lui qui doit le devenir puisque c'est lui qui a la responsabilité d'avoir créé de toute pièce ce conflit", a déclaré le leader de la France insoumise face aux journalistes.
"Il essaie de commencer son quinquennat par un coup de force en montrant que c'est lui le patron. Il s'en va chercher une réforme des retraites, cruelle, injuste, qui ne sert à rien parce que les comptes ne sont pas en déséquilibre au point qu'il faille infliger deux années de plus de travail aux gens", a poursuivi le troisième homme de la présidentielle.
"Il est mal placé pour donner des leçons"
Selon lui, "on n'est pas dans une séquence purement sociale où on réglerait un problème social. (...) Un homme tout seul décide d'imposer de force l'idée que c'est lui qui commande en tout et pour tout. Il vient reprocher au régime des retraites un déficit en 2030 de 3 % et c'est lui l'homme qui organise tous les ans dans le budget de l'état un déficit de 20 %. Il est mal placé pour donner des leçons", a-t-il réagi.
Jean-Luc Mélenchon, cette semaine sera "la grande semaine", avec la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites et une autre journée de manifestations prévue samedi par les syndicats. "C'est maintenant que vous avez une situation qui est assez exceptionnelle, puisque se combinent la mobilisation de rue (...) avec la bataille parlementaire", a-t-il ajouté.
Le débat sur le projet de réforme des retraites a débuté lundi à l'Assemblée nationale, où le gouvernement ne dispose pas d'une majorité absolue.
Jean-Luc Mélenchon a appelé le chef de l'Etat à se montrer "raisonnable" mardi 7 avril à Paris, avant que s'élance le cortège parisien contre la réforme des retraites. "Il essaie de tenir bon mais sauf s'il est devenu totalement autoritaire, dans une démocratie, il faut que quelqu'un soit raisonnable et c'est forcément lui qui doit le devenir puisque c'est lui qui a la responsabilité d'avoir créé de toute pièce ce conflit", a déclaré le leader de la France insoumise face aux journalistes.
"Il essaie de commencer son quinquennat par un coup de force en montrant que c'est lui le patron. Il s'en va chercher une réforme des retraites, cruelle, injuste, qui ne sert à rien parce que les comptes ne sont pas en déséquilibre au point qu'il faille infliger deux années de plus de travail aux gens", a poursuivi le troisième homme de la présidentielle.
"Il est mal placé pour donner des leçons"
Selon lui, "on n'est pas dans une séquence purement sociale où on réglerait un problème social. (...) Un homme tout seul décide d'imposer de force l'idée que c'est lui qui commande en tout et pour tout. Il vient reprocher au régime des retraites un déficit en 2030 de 3 % et c'est lui l'homme qui organise tous les ans dans le budget de l'état un déficit de 20 %. Il est mal placé pour donner des leçons", a-t-il réagi.
Jean-Luc Mélenchon, cette semaine sera "la grande semaine", avec la troisième journée de mobilisation contre la réforme des retraites et une autre journée de manifestations prévue samedi par les syndicats. "C'est maintenant que vous avez une situation qui est assez exceptionnelle, puisque se combinent la mobilisation de rue (...) avec la bataille parlementaire", a-t-il ajouté.
Le débat sur le projet de réforme des retraites a débuté lundi à l'Assemblée nationale, où le gouvernement ne dispose pas d'une majorité absolue.







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