Un ancien journaliste ougandais s'est tourné vers la culture du bambou comme "solution miracle" dans la lutte contre la dégradation de l'environnement. À quelque 65 kilomètres au nord de Kampala, la capitale de l'Ouganda, une forêt de bambous verdoyante a été créée par Andrew Ndawula Kalema, un ancien journaliste devenu agriculteur.
Kalema est passé du journalisme à la culture du bambou afin de contribuer à inverser la tendance à la dégradation de l'environnement dans ce pays d'Afrique de l'Est. En 2010, l'Ouganda comptait 6,93 millions d'hectares d'arbres, soit 29 % de sa superficie. En 2021, il perdra 49 000 hectares de couvert arboré, ce qui équivaut à 23,5 millions de tonnes d'émissions de dioxyde de carbone.
Selon le Fonds monétaire international (FMI), ce pays d'Afrique de l'Est a perdu plus d'un million d'hectares de couvert végétal, soit près d'un tiers de la superficie totale du pays. (AfricaNews/AP)
Kalema est passé du journalisme à la culture du bambou afin de contribuer à inverser la tendance à la dégradation de l'environnement dans ce pays d'Afrique de l'Est. En 2010, l'Ouganda comptait 6,93 millions d'hectares d'arbres, soit 29 % de sa superficie. En 2021, il perdra 49 000 hectares de couvert arboré, ce qui équivaut à 23,5 millions de tonnes d'émissions de dioxyde de carbone.
Selon le Fonds monétaire international (FMI), ce pays d'Afrique de l'Est a perdu plus d'un million d'hectares de couvert végétal, soit près d'un tiers de la superficie totale du pays. (AfricaNews/AP)