La maire communiste de Vénissieux a annoncé en début de semaine son intention de se présenter dans la même circonscription, malgré l'accord signé par son parti avec la France insoumise.
Le militant et ancien journaliste Taha Bouhafs a annoncé samedi 7 mai avoir été investi par la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), pour les élections législatives.
Dans un communiqué, il a confirmé que que la Nupas l'avait investi dans la 14e circonscription du Rhône (Vénissieux, Saint-Priest, Feyzin, Saint-Fons, Corbas, Solaize).
"C'est avec beaucoup de fierté que je vous annonce avoir été officiellement investi pour la Nouvelle union populaire pour être candidat aux législatives", a-t-il écrit, rappelant avoir "grandi dans un quartier populaire", vécu la précarité, "le racisme et les violences d'État". Il promet de lutter "pour des propositions fortes telles que l'augmentation du Smic à 1.400 euros net, le droite à une retraite digne avec un départ à 60 ans et la création d'une allocation d'autonomie de 1.063 euros par mois pour chaque jeune de 18 à 25 ans".
"Depuis quinze jours, la perspective de ma candidature suscite un déchaînement politique et médiatique orchestré notamment par l'extrême-droite et le pouvoir en place, a-t-il encore avancé. L'idée qu'une personne comme moi devienne député leur est insupportable : ce serait pour eux un bouleversement politique majeur."
Mardi, la maire communiste de Vénissieux, Michèle Picard, avait dénoncé en lui un "candidat parachuté" et annoncé son intention de se présenter dans cette même circonscription.
Taha Bouhafs s'était déjà présenté aux législatives, en 2017, en Isère.
Proche des mouvements pour les quartiers populaires et du comité Adama, créé après le décès d'Adama Traoré, Taha Bouhafs avait notamment filmé des images d'Alexandre Benalla en train de commettre des violences sur un couple pendant une manifestation le 1er mai 2018. Il avait par ailleurs été condamné pour délit d'injure publique à raison de l'origine, sur la syndicaliste policière Linda Kebbab.
Le militant et ancien journaliste Taha Bouhafs a annoncé samedi 7 mai avoir été investi par la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), pour les élections législatives.
Dans un communiqué, il a confirmé que que la Nupas l'avait investi dans la 14e circonscription du Rhône (Vénissieux, Saint-Priest, Feyzin, Saint-Fons, Corbas, Solaize).
"C'est avec beaucoup de fierté que je vous annonce avoir été officiellement investi pour la Nouvelle union populaire pour être candidat aux législatives", a-t-il écrit, rappelant avoir "grandi dans un quartier populaire", vécu la précarité, "le racisme et les violences d'État". Il promet de lutter "pour des propositions fortes telles que l'augmentation du Smic à 1.400 euros net, le droite à une retraite digne avec un départ à 60 ans et la création d'une allocation d'autonomie de 1.063 euros par mois pour chaque jeune de 18 à 25 ans".
"Depuis quinze jours, la perspective de ma candidature suscite un déchaînement politique et médiatique orchestré notamment par l'extrême-droite et le pouvoir en place, a-t-il encore avancé. L'idée qu'une personne comme moi devienne député leur est insupportable : ce serait pour eux un bouleversement politique majeur."
Mardi, la maire communiste de Vénissieux, Michèle Picard, avait dénoncé en lui un "candidat parachuté" et annoncé son intention de se présenter dans cette même circonscription.
Taha Bouhafs s'était déjà présenté aux législatives, en 2017, en Isère.
Proche des mouvements pour les quartiers populaires et du comité Adama, créé après le décès d'Adama Traoré, Taha Bouhafs avait notamment filmé des images d'Alexandre Benalla en train de commettre des violences sur un couple pendant une manifestation le 1er mai 2018. Il avait par ailleurs été condamné pour délit d'injure publique à raison de l'origine, sur la syndicaliste policière Linda Kebbab.