« Abordant la consolidation de l’Etat de droit, de l’indépendance du pouvoir judiciaire, et la modernisation de la justice, le Chef de l’Etat demande au Gouvernement de poursuivre, en relation avec toutes les composantes de la justice, les actions exceptionnelles et sans précédent, d’amélioration de l’efficacité de notre système judiciaire, dans le respect scrupuleux de la déontologie, des règles et procédures prévues par la Constitution, ainsi que les textes législatifs et règlementaires en vigueur.
Ainsi, le Président de la République rappelle au Gouvernement les efforts importants consentis, depuis son accession à la magistrature suprême, pour faire de la modernisation du service public de la Justice, un pilier stratégique de la consolidation de notre démocratie et des performances de notre économie.
A cet effet, les réformes du code pénal et du code de procédure pénale, l’entrée en vigueur de la nouvelle organisation judiciaire, du statut des magistrats, des réformes du Conseil supérieur de la magistrature et de la Cour suprême, ont permis de mieux positionner notre appareil judiciaire dans son environnement national et international, marqué par des phénomènes nouveaux et des enjeux complexes.
C’est également dans cette perspective qu’il faut inscrire le recrutement d’un nombre important de magistrats et de greffiers, la construction, sur l’ensemble du territoire national d’infrastructures fonctionnelles et modernes, afin d’assurer aux acteurs de la justice des conditions optimales de travail, de rapprocher la justice des justiciables, et l’impératif de lancer, dans les meilleurs délais, les travaux de construction de la nouvelle Ecole nationale de la Magistrature et de celle des Avocats. »
Ainsi, le Président de la République rappelle au Gouvernement les efforts importants consentis, depuis son accession à la magistrature suprême, pour faire de la modernisation du service public de la Justice, un pilier stratégique de la consolidation de notre démocratie et des performances de notre économie.
A cet effet, les réformes du code pénal et du code de procédure pénale, l’entrée en vigueur de la nouvelle organisation judiciaire, du statut des magistrats, des réformes du Conseil supérieur de la magistrature et de la Cour suprême, ont permis de mieux positionner notre appareil judiciaire dans son environnement national et international, marqué par des phénomènes nouveaux et des enjeux complexes.
C’est également dans cette perspective qu’il faut inscrire le recrutement d’un nombre important de magistrats et de greffiers, la construction, sur l’ensemble du territoire national d’infrastructures fonctionnelles et modernes, afin d’assurer aux acteurs de la justice des conditions optimales de travail, de rapprocher la justice des justiciables, et l’impératif de lancer, dans les meilleurs délais, les travaux de construction de la nouvelle Ecole nationale de la Magistrature et de celle des Avocats. »