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Billet du jour: Tyrans et salauds

Samedi 11 Août 2018

C’est une constante de l’Histoire : quand des «badoolos» accèdent au pouvoir et se rendent compte subitement de l’étendue de leur nouvelle puissance, ils enfreignent toutes les lois, tous les règlements, toutes les civilités, et sombrent dans la démesure sans frontières. Ceci s’adresse aux autorités parvenues aux commandes de Notre pays en avril 2012 et qui estiment devoir faire de nous des sous-citoyens.
 
Les pratiques instaurées sous la direction et la responsabilité du président Macky Sall sont fondamentalement détestables, notamment en ce qui concerne le respect des droits élémentaires des citoyens sénégalais. Elles ont muselé et rétréci les libertés constitutionnelles des Sénégalais au nom d’une litanie de mensonges indignes des pires dictatures.

Les militants politiques soucieux d’exercer leurs droits en souffrent depuis plus de six ans. Des leaders de mouvements, partis et associations en pâtissent sans raison. Au nom de quoi ? De l’intolérance, de l’arrogance et de la suffisance de groupuscules politiciens antagoniques ayant soudé leurs intérêts et leur avenir autour d’un homme qui n’aurait jamais dû être plus qu’un chef de quartier, selon un de ses partisans qui se fait tout petit. Par exemple, le ministère de la Culture interdit (par procuration) le Grand Théâtre aux "ennemis" alors que des dizaines de manifestations politiques (pro régime évidemment) s'y tiennent.
 
Heureusement, l’histoire a une autre constante: ceux qui défient ses lois finissent toujours ou souvent dans des poubelles d’une...histoire parallèle.
 
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