| 05/11/2025 | 579 vues
Au Cameroun, des civils armés contre Boko Haram 22/10/2021
Pour maximiser la protection des populations, des milliers de jeunes Camerounais se réunissent en comités de vigilance pour protéger leurs villages des assauts des combattants de la secte islamiste Boko Haram. Bien qu'encouragés par les autorités, ces comités de vigilance, qui n'ont pas de statut reconnu, dépendent des populations pour payer leurs services. (DW)
L'opposition zimbabwéenne dénonce une nouvelle attaque visant son leader 22/10/2021
Le principal parti d'opposition au Zimbabwe a dénoncé mercredi une nouvelle attaque contre son leader, Nelson Chamisa, sorti indemne après avoir été visé la veille par des tirs alors qu'il se trouvait dans sa voiture après un meeting politique. "Une embuscade a été montée. Des coups de feu ont été tirés et une balle est venue se loger dans le siège arrière gauche où il est normalement assis", a déclaré Tendai Biti, vice-président de l'Alliance du Mouvement pour le changement démocratique (MDC-Alliance), pendant une conférence de presse à Harare.
Avant l'attaque, une douzaine de voitures sans plaque ont suivi le convoi de M. Chamisa, qui quittait la ville de Mutare (est), a-t-elle ajouté. Le parti avait dénoncé une précédente attaque la semaine dernière. Le convoi de M. Chamisa avait été bombardé de pierres dans la ville de Masvingo (sud). Le parti au pouvoir, le Zanu-PF, est "derrière ces attaques", a fustigé M. Biti. "Ils passent à la vitesse supérieure, ils font monter la pression parce qu'ils ont peur des élections générales de 2023". (AFP)
Avant l'attaque, une douzaine de voitures sans plaque ont suivi le convoi de M. Chamisa, qui quittait la ville de Mutare (est), a-t-elle ajouté. Le parti avait dénoncé une précédente attaque la semaine dernière. Le convoi de M. Chamisa avait été bombardé de pierres dans la ville de Masvingo (sud). Le parti au pouvoir, le Zanu-PF, est "derrière ces attaques", a fustigé M. Biti. "Ils passent à la vitesse supérieure, ils font monter la pression parce qu'ils ont peur des élections générales de 2023". (AFP)
RDC: au moins 16 civils tués par des ADF à Beni 22/10/2021
Au moins seize civils ont été tués dans la nuit de mercredi à jeudi par des rebelles du groupe Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région de Beni dans l'est de la République démocratique du Congo, selon des sources locales. "Au moins 16 civils ont été tués hier soir dans les villages de Mayele, Kalembo et Toya (territoire de Beni, Nord-Kivu). Les ADF sont soupçonnées", a annoncé sur twitter le groupe d'experts du Baromètre sécuritaire de Kivu (KST).
Le bilan de ce massacre mené par "l'ennemi ADF (est de) 18 personnes tuées et plus d'une dizaine de personnes portées disparues", a déclaré de son côté à l'AFP Maleki Mulala, coordonnateur de la société civile locale. Toutes les "18 personnes dont quatre femmes ont été tuées par balle", a-t-il indiqué, en déplorant l'attitude de "notre armée qui n'a pas poursuivi l’ennemi jusqu'à présent".
"En pleine patrouille de combats au village Kakembo à plus ou moins 5 kilomètres de la cité de Bulongo, les Forces armées de la République démocratique du Congo se sont affrontées avec un groupe de terroristes ADF/MTM", a déclaré le capitaine Antony Mualushayi, porte-parole de l'armée dans la région de Beni. Depuis le mois de mai, le Nord-Kivu et la province voisine de l'Ituri sont sous état de siège, une mesure exceptionnelle pour lutter contre les groupes armés, notamment les ADF. Les autorités civiles y ont été remplacées par des officiers militaires et policiers. (AFP)
Le bilan de ce massacre mené par "l'ennemi ADF (est de) 18 personnes tuées et plus d'une dizaine de personnes portées disparues", a déclaré de son côté à l'AFP Maleki Mulala, coordonnateur de la société civile locale. Toutes les "18 personnes dont quatre femmes ont été tuées par balle", a-t-il indiqué, en déplorant l'attitude de "notre armée qui n'a pas poursuivi l’ennemi jusqu'à présent".
"En pleine patrouille de combats au village Kakembo à plus ou moins 5 kilomètres de la cité de Bulongo, les Forces armées de la République démocratique du Congo se sont affrontées avec un groupe de terroristes ADF/MTM", a déclaré le capitaine Antony Mualushayi, porte-parole de l'armée dans la région de Beni. Depuis le mois de mai, le Nord-Kivu et la province voisine de l'Ituri sont sous état de siège, une mesure exceptionnelle pour lutter contre les groupes armés, notamment les ADF. Les autorités civiles y ont été remplacées par des officiers militaires et policiers. (AFP)
Au Soudan, une journée de manifestation cruciale pour la transition démocratique 22/10/2021
La journée s’annonce déterminante pour la transition soudanaise, avec des mobilisations pro-civils et pro-militaires prévues jeudi. Des appels au calme ont été lancés et le général Abdel Fattah al-Burhane, à la tête des autorités intérimaires, a réitéré son attachement à la transition démocratique amorcée il y a deux ans. Khartoum peut-elle être le terrain d’une possible épreuve de force entre camps rivaux au Soudan ?
Les partisans du régime militaire tiennent un sit-in devant le palais présidentiel depuis ce week-end, tandis que les pro-civils appellent, jeudi 21 octobre, à une manifestation dans les rues de la capitale soudanaise. L'union sacrée qui avait prévalu entre eux, en 2019, contre Omar el-Béchir, semble avoir fait long feu. Insistant pour la première fois sur "le partenariat entre civils et militaires", le général Abdel Fattah al-Burhane a semblé, mercredi soir, vouloir rassurer la Britannique Vicky Ford, en charge de l'Afrique pour la diplomatie de la Grande-Bretagne, ancienne puissance coloniale toujours influente au Soudan. (France24 avec AFP)
Les partisans du régime militaire tiennent un sit-in devant le palais présidentiel depuis ce week-end, tandis que les pro-civils appellent, jeudi 21 octobre, à une manifestation dans les rues de la capitale soudanaise. L'union sacrée qui avait prévalu entre eux, en 2019, contre Omar el-Béchir, semble avoir fait long feu. Insistant pour la première fois sur "le partenariat entre civils et militaires", le général Abdel Fattah al-Burhane a semblé, mercredi soir, vouloir rassurer la Britannique Vicky Ford, en charge de l'Afrique pour la diplomatie de la Grande-Bretagne, ancienne puissance coloniale toujours influente au Soudan. (France24 avec AFP)
Régions des Grands Lacs : l’ONU appelle à consolider les acquis et s’attaquer aux défis 22/10/2021
La région des Grands Lacs d'Afrique se situe à la croisée des chemins et il est plus que jamais nécessaire de consolider ses progrès ainsi que de s’attaquer fermement aux défis qui persistent, a déclaré mercredi devant le Conseil de sécurité l’Envoyé spécial des Nations Unies pour cette région.
Sur le front politique, Huang Xia s’est félicité de l’« accélération des efforts d’ouverture et de rapprochement avec un ensemble de gestes politiques et symboliques encourageants » qui ont porté des fruits dans des domaines aussi divers que la sécurité, le commerce, les infrastructures, les transports, les ressources naturelles et l’énergie.
Il a cité en exemple les rencontres bilatérales entre le Président de la République démocratique du Congo (RDC) et ses homologues du Burundi, du Kenya, du Rwanda et de l’Ouganda; les différentes tournées entreprises dans la région par le Président du Burundi et la Présidente de la Tanzanie; ainsi que l’engagement constant du Président de l’Angola, président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), à soutenir les efforts de réconciliation nationale en République centrafricaine, aux côtés de ses pairs. (ONU Info)
Sur le front politique, Huang Xia s’est félicité de l’« accélération des efforts d’ouverture et de rapprochement avec un ensemble de gestes politiques et symboliques encourageants » qui ont porté des fruits dans des domaines aussi divers que la sécurité, le commerce, les infrastructures, les transports, les ressources naturelles et l’énergie.
Il a cité en exemple les rencontres bilatérales entre le Président de la République démocratique du Congo (RDC) et ses homologues du Burundi, du Kenya, du Rwanda et de l’Ouganda; les différentes tournées entreprises dans la région par le Président du Burundi et la Présidente de la Tanzanie; ainsi que l’engagement constant du Président de l’Angola, président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL), à soutenir les efforts de réconciliation nationale en République centrafricaine, aux côtés de ses pairs. (ONU Info)
Nigeria: un an après le massacre de Lagos, où en est la justice ? 20/10/2021
Un an après la tuerie de Lekki, le bilan réel de la répression du mouvement #EndSars demeure incertain. Plusieurs centaines de manifestants seraient toujours détenus à Lagos selon les représentants de la société civile. Le mouvement avait débuté pour dénoncer les violences d'une unité de police spécialisée, la SARS, accusée de multiples abus des droits humains.
Les manifestations s'étaient étendues à tout le sud du Nigeria avant d'être réprimées avec violence. Au moins 56 personnes trouvèrent la mort. Un hommage est prévu mercredi sur les lieux du drame du 20 octobre 2020, malgré les mises en garde des autorités, qui n'ont pas autorisé ce rassemblement. Celui-ci prendra la forme d'une procession de voitures flanquées du drapeau nigérian, pour éviter de possibles arrestations en masse.
D'autres rassemblements sont prévus, notamment à Abuja, la capitale fédérale, où les manifestants avaient été agressés à plusieurs reprises par des bandes armées de couteaux et de bâtons ou brutalement dispersés par les forces de sécurité. (RFI)
Les manifestations s'étaient étendues à tout le sud du Nigeria avant d'être réprimées avec violence. Au moins 56 personnes trouvèrent la mort. Un hommage est prévu mercredi sur les lieux du drame du 20 octobre 2020, malgré les mises en garde des autorités, qui n'ont pas autorisé ce rassemblement. Celui-ci prendra la forme d'une procession de voitures flanquées du drapeau nigérian, pour éviter de possibles arrestations en masse.
D'autres rassemblements sont prévus, notamment à Abuja, la capitale fédérale, où les manifestants avaient été agressés à plusieurs reprises par des bandes armées de couteaux et de bâtons ou brutalement dispersés par les forces de sécurité. (RFI)
RDC: de nombreuses violations des droits humains dénoncées dans un rapport cinglant 20/10/2021
La situation des droits de l’Homme demeure préoccupante en République démocratique du Congo, en dépit de la « volonté politique » exprimée par les autorités. Cette fois, c’est une institution étatique qui sort de son silence en dénonçant détentions arbitraires, tortures, violations des droits politiques, économiques et sociaux en 2020. La Commission nationale des droits de l’Homme (CNDH) a présenté son rapport, mardi 19 octobre à Kinshasa. Il fera prochainement l’objet d’un débat à l’Assemblée.
Un chiffre prédomine dans le rapport de la CNDH : au moins 52 000 violations des droits de l’Homme enregistrées par des plaintes. Un chiffre qui recense essentiellement des violations subies par les détenus des maisons carcérales. Benoît Mwamba, président du CNDH, est lui-même ébahi : « Nous avons montré comment la justice pose problème dans ce pays en termes de mauvaises pratiques qui aboutissent à des violations des droits de l’Homme.
Est-ce que c’est normal qu’on puisse surpeupler des prisons avec des faits bénins, civils, avec des gens sans dossiers ? Est-ce qu’il est normal qu’on puisse avoir des mauvaises conditions dans des prisons en rapport à ce que l’État donne ? Est-ce normal qu'il y ait des kwashiorkorés (personnes victimes du syndrome de malnutrition par carence en protéines, ndlr), des malnutris ? » (RFI)
Un chiffre prédomine dans le rapport de la CNDH : au moins 52 000 violations des droits de l’Homme enregistrées par des plaintes. Un chiffre qui recense essentiellement des violations subies par les détenus des maisons carcérales. Benoît Mwamba, président du CNDH, est lui-même ébahi : « Nous avons montré comment la justice pose problème dans ce pays en termes de mauvaises pratiques qui aboutissent à des violations des droits de l’Homme.
Est-ce que c’est normal qu’on puisse surpeupler des prisons avec des faits bénins, civils, avec des gens sans dossiers ? Est-ce qu’il est normal qu’on puisse avoir des mauvaises conditions dans des prisons en rapport à ce que l’État donne ? Est-ce normal qu'il y ait des kwashiorkorés (personnes victimes du syndrome de malnutrition par carence en protéines, ndlr), des malnutris ? » (RFI)
Makalé, la capitale du Tigré, cible de frappes aériennes de l’armée éthiopienne 20/10/2021
Lundi 18 octobre, l’armée éthiopienne a mené des frappes aériennes sur Makalé, la capitale du Tigré, faisant au moins trois morts selon une source hospitalière. Le gouvernement avait dans un premier temps qualifié de « mensonge total » les informations de sources humanitaires, diplomatiques et médicales faisant état de bombardements, les premiers connus sur Makalé depuis le début du conflit dans le nord de l’Ethiopie, il y a presque un an.
Un média d’Etat a ensuite confirmé l’information, indiquant que des frappes aériennes avaient visé des cibles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF). L’agence Ethiopian Press a précisé que les frappes avaient touché des infrastructures de communication utilisées à Makalé par les rebelles du TPLF, affirmant que des « mesures pour empêcher des victimes civiles » avaient été appliquées. …
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « profondément inquiet d’une escalade du conflit » par la voix de son porte-parole, Stéphane Dujarric. Il a appelé toutes les parties à éviter de cibler des civils et a réitéré son appel à l’arrêt des hostilités. Le département d’Etat américain, par la voix de son porte-parole Ned Price, a appelé « toutes les parties à cesser immédiatement les hostilités » et « à entrer en négociations sans conditions pour un cessez-le-feu stable ». (Le Monde avec AFP)
Un média d’Etat a ensuite confirmé l’information, indiquant que des frappes aériennes avaient visé des cibles du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF). L’agence Ethiopian Press a précisé que les frappes avaient touché des infrastructures de communication utilisées à Makalé par les rebelles du TPLF, affirmant que des « mesures pour empêcher des victimes civiles » avaient été appliquées. …
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « profondément inquiet d’une escalade du conflit » par la voix de son porte-parole, Stéphane Dujarric. Il a appelé toutes les parties à éviter de cibler des civils et a réitéré son appel à l’arrêt des hostilités. Le département d’Etat américain, par la voix de son porte-parole Ned Price, a appelé « toutes les parties à cesser immédiatement les hostilités » et « à entrer en négociations sans conditions pour un cessez-le-feu stable ». (Le Monde avec AFP)
Libye: l’UA en mission de «conciliation» à deux mois de l'élection présidentielle 20/10/2021
Une délégation de l'Union africaine débute, ce mardi 19 octobre 2021, une visite d'une semaine à la rencontre des principaux acteurs politiques de l'est à l'ouest du pays. Mandatée par le président congolais Denis Sassou-Nguesso, cette délégation d'une dizaine de membres doit notamment évaluer si les conditions sont réunies pour la tenue du scrutin du 24 décembre. …
Cette délégation ira également au Caire et à Tunis à la rencontre des Libyens de la diaspora, avec en point d'orgue une visite à Brazzaville pour livrer ses conclusions au président Sassou-Nguesso. Des conclusions qui devraient servir de trame au prochain sommet sur la Libye à Paris, le 12 novembre. (RFI)
Cette délégation ira également au Caire et à Tunis à la rencontre des Libyens de la diaspora, avec en point d'orgue une visite à Brazzaville pour livrer ses conclusions au président Sassou-Nguesso. Des conclusions qui devraient servir de trame au prochain sommet sur la Libye à Paris, le 12 novembre. (RFI)
Eswatini : l'ONU appelle au respect des droits des enfants 19/10/2021
L'ONU se dit préoccupée par la situation à Eswatini. Antonio Guterres a exhorté le gouvernement à veiller à ce que les forces de sécurité agissent conformément aux normes internationales en matière de droits humains. Les autorités ont fermé les écoles après que les élèves ont rejoint les manifestations de la société civile qui continue d'appeler à plus de liberté et de démocratie.
Les transports publics ont été ralentis par les manifestations, et la police est accusée d'avoir réprimée au mois de juin et juillet dernier des protestations du même ordre, 28 personnes auraient été tuées. Deux députés qui ont pris part à ces manifestations arrêtées en juillet doivent comparaître devant le tribunal pour terrorisme. (AfricaNews)
Les transports publics ont été ralentis par les manifestations, et la police est accusée d'avoir réprimée au mois de juin et juillet dernier des protestations du même ordre, 28 personnes auraient été tuées. Deux députés qui ont pris part à ces manifestations arrêtées en juillet doivent comparaître devant le tribunal pour terrorisme. (AfricaNews)
L’ONU et des artistes africains produisent une chanson pour attirer l’attention sur la crise au Sahel 14/10/2021
Les Nations Unies se joignent à des artistes sahéliens de renommée internationale afin de produire ‘The Sahel Song’, une composition vocale et instrumentale de cinq minutes, pour attirer l'attention sur la crise actuelle au Sahel et sur la résilience de ses populations. Ce lundi, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) et les artistes sahéliens Vieux Farka Touré (Mali), Amadou et Mariam (Mali), Oumy Gueye (Sénégal), Tal National (Niger), Songhoy Blues (Mali) et Bassekou Kouyate (Mali) ont lancé cette chanson.
Cette composition attire l'attention sur la crise au Sahel, tout en mettant en valeur le riche patrimoine musical de la région, précise OCHA dans un communiqué de presse. La crise au Sahel est l'une des urgences qui se développent le plus rapidement dans le monde. Cette année, près de 29 millions de personnes ont besoin d'une assistance et d'une protection, soit 5 millions de personnes de plus que l'année dernière. (ONU Info)
Cette composition attire l'attention sur la crise au Sahel, tout en mettant en valeur le riche patrimoine musical de la région, précise OCHA dans un communiqué de presse. La crise au Sahel est l'une des urgences qui se développent le plus rapidement dans le monde. Cette année, près de 29 millions de personnes ont besoin d'une assistance et d'une protection, soit 5 millions de personnes de plus que l'année dernière. (ONU Info)
RDC : dans les Virunga, une chocolaterie survit aux rebelles ADF 14/10/2021
Il faut être escorté par des militaires si l'on veut se déplacer dans la ville de Mutwanga, dans l'est de la République démocratique du Congo. Les rebelles des Forces démocratiques alliées ADF, ont tué près de mille personnes ici l'année dernière. Le parc national des Virunga est plus célèbre pour ses gorilles. Mais dans ces infrastructures, une chocolaterie a vu le jour où les montagnes Rwenzori gardent la frontière avec l'Ouganda.
Virunga Origins Chocolates produit le cacao des producteurs locaux pour éviter la contrebande à la frontière. L'entreprise tente de montrer qu'une vie différente est possible, loin des conflits. Malgré l’extrême violence et le manque d’infrastructures, le parc national des Virunga (PNVi) se bat pour faire tourner cette chocolaterie. Ses objectifs: transformer le cacao sur place pour lutter contre sa contrebande vers l'Ouganda voisin et créer des emplois pour lutter contre l'enrôlement dans les groupes armés. (AfricaNews)
Virunga Origins Chocolates produit le cacao des producteurs locaux pour éviter la contrebande à la frontière. L'entreprise tente de montrer qu'une vie différente est possible, loin des conflits. Malgré l’extrême violence et le manque d’infrastructures, le parc national des Virunga (PNVi) se bat pour faire tourner cette chocolaterie. Ses objectifs: transformer le cacao sur place pour lutter contre sa contrebande vers l'Ouganda voisin et créer des emplois pour lutter contre l'enrôlement dans les groupes armés. (AfricaNews)
Mozambique : la SADC prolonge son aide militaire contre les shebabs 10/10/2021
L'aide militaire régionale au Mozambique, dont le nord-est est confronté à des violences djihadistes depuis quatre ans, va se prolonger, ont annoncé mardi les pays d'Afrique australe réunis en sommet à Pretoria, sans préciser de durée exacte. "Nous allons tenir la promesse que nous avons faite et aider notre frère le Mozambique", a déclaré le président sud-africain Cyril Ramaphosa en clôture, alors que ce soutien militaire devait prendre fin le 15 octobre.
La Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), qui regroupe 16 Etats, a envoyé en juillet-août des soldats en soutien à l'armée mozambicaine. Cette mission (Sanim), dont le contingent n'a pas été dévoilé, avait été approuvée pour une période initiale de trois mois. Ce maintien a été décidé "pour poursuivre les opérations offensives contre les terroristes et les violences extrémistes afin de consolider la stabilité et la sécurité", a déclaré la SADC dans un communiqué. D'abord réticent à toute intervention militaire étrangère, le président mozambicain Filipe Nyusi a salué en juillet l'envoi par l'Afrique du Sud de 1 500 soldats. (AfricaNews avec AFP)
La Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), qui regroupe 16 Etats, a envoyé en juillet-août des soldats en soutien à l'armée mozambicaine. Cette mission (Sanim), dont le contingent n'a pas été dévoilé, avait été approuvée pour une période initiale de trois mois. Ce maintien a été décidé "pour poursuivre les opérations offensives contre les terroristes et les violences extrémistes afin de consolider la stabilité et la sécurité", a déclaré la SADC dans un communiqué. D'abord réticent à toute intervention militaire étrangère, le président mozambicain Filipe Nyusi a salué en juillet l'envoi par l'Afrique du Sud de 1 500 soldats. (AfricaNews avec AFP)
Guinée: la société civile veut sa place dans le futur Conseil national de transition 09/10/2021
Le pays attend toujours la nomination d’une ou d’un Premier ministre et de son gouvernement, ainsi que l’installation du Conseil national de transition. Cette chambre, qui fera office de Parlement durant cette période transitoire, devrait être composée de 81 membres représentant toutes les couches politiques et sociales de la Guinée.
Mais avec un nombre limité de sièges et un quota de 30% de femmes dans chaque groupe, la distribution des places fait déjà l’objet de désaccords. Notamment au sein des organisations de jeunesse.
Mais avec un nombre limité de sièges et un quota de 30% de femmes dans chaque groupe, la distribution des places fait déjà l’objet de désaccords. Notamment au sein des organisations de jeunesse.
Mali: l’ambassadeur de France convoqué par les autorités 09/10/2021
Le chef de la force française Barkhane a été reçu, mardi 5 octobre, par le ministre malien de la Défense, le colonel Sadio Camara, pour évoquer la poursuite de l’engagement français au Mali. L’objectif du général français était de rassurer sur la réorganisation du dispositif militaire en cours.
Au même moment, dans un autre bureau de la capitale malienne, la tonalité était très différente, puisque le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop convoquait l’ambassadeur de France, à la suite cette fois de propos tenus le matin même sur France Inter par Emmanuel Macron. … Pendant que cette bataille diplomatique se poursuit, sur le fond, c’est-à-dire sur les questions de défense, la France continue à jouer l’apaisement.
Cette fois, c’est le chef de la force Barkhane qui s’y est collé. Le général Laurent Michon a été reçu par le ministre malien de la Défense, le colonel Sadio Camara. Le général lui a rappelé, encore une fois, que si la réorganisation du dispositif militaire français devait s’achever d’ici à la fin de l’année, les soldats français demeuraient engagés au Mali et dans la région, avec 2 500 à 3 000 hommes.
Les bases qui quittent Barkhane dans le Nord, a-t-il aussi rappelé, font l’objet d’une transmission aux soldats maliens et aux casques bleus de la Minusma. Tous continueront à bénéficier d’un appui aérien et les opérations conjointes se poursuivront, a-t-il assuré également. Bref, la France n’« abandonne » pas le Mali « en plein vol », pour reprendre les termes du Premier ministre Choguel Maïga. (RFI)
Au même moment, dans un autre bureau de la capitale malienne, la tonalité était très différente, puisque le ministre malien des Affaires étrangères Abdoulaye Diop convoquait l’ambassadeur de France, à la suite cette fois de propos tenus le matin même sur France Inter par Emmanuel Macron. … Pendant que cette bataille diplomatique se poursuit, sur le fond, c’est-à-dire sur les questions de défense, la France continue à jouer l’apaisement.
Cette fois, c’est le chef de la force Barkhane qui s’y est collé. Le général Laurent Michon a été reçu par le ministre malien de la Défense, le colonel Sadio Camara. Le général lui a rappelé, encore une fois, que si la réorganisation du dispositif militaire français devait s’achever d’ici à la fin de l’année, les soldats français demeuraient engagés au Mali et dans la région, avec 2 500 à 3 000 hommes.
Les bases qui quittent Barkhane dans le Nord, a-t-il aussi rappelé, font l’objet d’une transmission aux soldats maliens et aux casques bleus de la Minusma. Tous continueront à bénéficier d’un appui aérien et les opérations conjointes se poursuivront, a-t-il assuré également. Bref, la France n’« abandonne » pas le Mali « en plein vol », pour reprendre les termes du Premier ministre Choguel Maïga. (RFI)
La Côte d'Ivoire lance en novembre le cinquième recensement de son histoire 08/10/2021
Combien y a-t-il d’habitants en Côte d’Ivoire ? Pour le savoir, le pays lance en novembre 2021 le cinquième recensement de son histoire. L’occasion de connaître la taille et la composition sociologique de sa population pour adapter notamment ses politiques publiques. Durant trois semaines, du 1er au 21 novembre 2021, 38 000 jeunes agents recenseurs recrutés cet été vont parcourir les rues, routes et pistes de Côte d’Ivoire.
Tablettes électroniques en main, ils frapperont à la porte de chaque maison, jusque dans les villages les plus reculés, pour récolter une série de renseignements. Retardées par le Covid-19, les opérations préparatoires sont enfin terminées, assure le gouvernement qui exhorte les populations à se prêter à l’exercice. Son porte-parole, Amadou Coulibaly : « C’est en fonction de votre démographie que l’on sait si vous avez besoin d’une école, d’un collègue, d’un centre de santé, d’une pompe à motricité humaine ou bien d’un système hydraulique villageois amélioré, ou tout simplement d’un château [d’eau]. » (RFI)
Tablettes électroniques en main, ils frapperont à la porte de chaque maison, jusque dans les villages les plus reculés, pour récolter une série de renseignements. Retardées par le Covid-19, les opérations préparatoires sont enfin terminées, assure le gouvernement qui exhorte les populations à se prêter à l’exercice. Son porte-parole, Amadou Coulibaly : « C’est en fonction de votre démographie que l’on sait si vous avez besoin d’une école, d’un collègue, d’un centre de santé, d’une pompe à motricité humaine ou bien d’un système hydraulique villageois amélioré, ou tout simplement d’un château [d’eau]. » (RFI)
Mali: dans le cercle de Niono, des attaques quasi quotidiennes 08/10/2021
L’inquiétante dégradation de la situation sécuritaire dans le cercle de Niono. Dans la région de Ségou au le centre du pays, ce cercle - équivalent d’un département - avait été le théâtre en mars dernier d’un accord de cessez-le-feu inédit, conclu entre les jihadistes de la Katiba Macina, liés à Aqmi (al-Qaïda au Maghreb islamique), et les chasseurs traditionnels dozos.
Mais depuis le début du mois de juillet, cet accord est rompu et depuis la fin du mois dernier, les attaques meurtrières redoublent d’intensité. Farabougou, Sokolo, Mariko, Songo, Dogofry… « On ne compte plus les attaques, on ne compte plus les morts, témoigne un élu local. C’est presque tous les jours. » Selon les sources locales interrogées - élus, notables, religieux -, la situation s’est particulièrement dégradée depuis la fin du mois de septembre, tous parlent de « plusieurs dizaines de morts » en quelques semaines, sans pouvoir être plus précis. (RFI)
Mais depuis le début du mois de juillet, cet accord est rompu et depuis la fin du mois dernier, les attaques meurtrières redoublent d’intensité. Farabougou, Sokolo, Mariko, Songo, Dogofry… « On ne compte plus les attaques, on ne compte plus les morts, témoigne un élu local. C’est presque tous les jours. » Selon les sources locales interrogées - élus, notables, religieux -, la situation s’est particulièrement dégradée depuis la fin du mois de septembre, tous parlent de « plusieurs dizaines de morts » en quelques semaines, sans pouvoir être plus précis. (RFI)
Les Archives de l’Etat et l’Africa Museum proposent un nouveau guide pour se repérer dans 20 km d’archives sur la période coloniale belge 01/10/2021
Il n’existait jusqu’ici aucun outil permettant d’identifier et de localiser toutes les sources disponibles relatives à la période coloniale belge. Les chercheurs et la société civile réclamaient une boussole pour faciliter l’accès aux archives. C’est désormais chose faite. Les Archives générales du royaume et l’Africa Museum ont publié un guide en deux volumes.
Ce sont deux livres de plus de 1000 pages chacun, qui permettent comme un GPS de se repérer dans 20 kilomètres d’archives sur les colonies belges, dans plus de 80 institutions de conservation en Belgique. Deux ‘pavés’ qui ont pour titre : "Belgique, Congo, Rwanda, Burundi. Guide des sources de l’histoire de la colonisation". Volume 1 et 2, édités chez Brepols. Ils sont vendus à 65 euros, à la boutique des Archives générales du Royaume. Mais surtout, on peut consulter le contenu de chaque volume sur les sites web des Archives de l’état www.arch.be et de l’éditeur www.brepolsonline.net. (RTBF)
Ce sont deux livres de plus de 1000 pages chacun, qui permettent comme un GPS de se repérer dans 20 kilomètres d’archives sur les colonies belges, dans plus de 80 institutions de conservation en Belgique. Deux ‘pavés’ qui ont pour titre : "Belgique, Congo, Rwanda, Burundi. Guide des sources de l’histoire de la colonisation". Volume 1 et 2, édités chez Brepols. Ils sont vendus à 65 euros, à la boutique des Archives générales du Royaume. Mais surtout, on peut consulter le contenu de chaque volume sur les sites web des Archives de l’état www.arch.be et de l’éditeur www.brepolsonline.net. (RTBF)
Ethiopie: jour d'élections dans trois régions, après plusieurs reports 30/09/2021
Les élections législatives dans trois régions d'Ethiopie se déroulent jeudi après plusieurs reports, dernière étape du scrutin avant que le Premier ministre Abiy Ahmed forme un nouveau gouvernement la semaine prochaine. Plus de sept millions d'électeurs doivent voter dans 47 circonscriptions parlementaires fédérales situées dans les régions de Somali, de Harari, et dans la région des Nations, Nationalités et Peuples du Sud (SNNP).
Les bureaux de vote étaient ouverts dans ces trois régions jeudi matin, a déclaré à l'AFP Solyana Shimeles, porte-parole de la commission électorale nationale. Le Parti de la Prospérité du Premier ministre est néanmoins d'ores et déjà assuré d'une majorité au parlement, après avoir remporté 410 des 436 sièges en jeu dans les circonscriptions où le vote s'est déroulé le 21 juin.
Les résultats du vote jeudi, qui ne devraient pas peser sur l'équilibre des pouvoirs au parlement, ne sont pas attendus avant le 10 octobre au plus tôt. Lors du scrutin, les électeurs pourront par ailleurs voter pour 108 sièges de conseils régionaux. Et dans le sud-ouest de l'Ethiopie, près de 900.000 électeurs sont appelés à se prononcer par referendum sur la création d'une onzième région. (Belga)
Les bureaux de vote étaient ouverts dans ces trois régions jeudi matin, a déclaré à l'AFP Solyana Shimeles, porte-parole de la commission électorale nationale. Le Parti de la Prospérité du Premier ministre est néanmoins d'ores et déjà assuré d'une majorité au parlement, après avoir remporté 410 des 436 sièges en jeu dans les circonscriptions où le vote s'est déroulé le 21 juin.
Les résultats du vote jeudi, qui ne devraient pas peser sur l'équilibre des pouvoirs au parlement, ne sont pas attendus avant le 10 octobre au plus tôt. Lors du scrutin, les électeurs pourront par ailleurs voter pour 108 sièges de conseils régionaux. Et dans le sud-ouest de l'Ethiopie, près de 900.000 électeurs sont appelés à se prononcer par referendum sur la création d'une onzième région. (Belga)
Tunisie : appels du pied pour sortir Kaïs Saïed de son (dangereux) isolement 30/09/2021
Plusieurs organisations, députés et partis appellent le chef de l’État à sortir de sa tour d’ivoire et à ouvrir des canaux de concertation afin que le coup de force constitutionnel du 25 juillet ne soit pas contre-productif. Kaïs Saïed a fait de son intransigeance affichée et de l’indépendance qu’elle est censée révéler une marque de fabrique pour gagner la confiance des électeurs.
Se tenant à distance des partis, des médias et longtemps de la diplomatie, le président tunisien a toujours avancé en solitaire. Jusqu’à surprendre aussi bien ses concitoyens – détracteurs comme sympathisants – que la communauté internationale avec son coup de force du 25 juillet dernier, qui a vu le limogeage du Premier ministre, le gel des travaux de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), la levée de l’immunité des députés, la dissolution de l’instance de lutte contre la corruption et la multiplication des mesures d’interdiction de quitter le territoire frappant le monde économique et politique. …
La peur d’un retour à une répression aveugle a conduit la classe politique et la société civile à lancer à Carthage une mise en garde. Plusieurs partis, dont Afek Tounes, Ettakatol et le Courant démocrate, ont déclaré que le décret 117 n’était pas conforme à la loi. Les risques de dérive autoritaire inquiètent au-delà des frontières, tant et si bien que le ministre tunisien des Affaires étrangères, Othman Jerandi s’est senti obligé, le 14 septembre, d’assurer devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU que la démocratie était un « choix irréversible ». Un élément de langage martelé depuis. (Jeune Afrique)
Se tenant à distance des partis, des médias et longtemps de la diplomatie, le président tunisien a toujours avancé en solitaire. Jusqu’à surprendre aussi bien ses concitoyens – détracteurs comme sympathisants – que la communauté internationale avec son coup de force du 25 juillet dernier, qui a vu le limogeage du Premier ministre, le gel des travaux de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), la levée de l’immunité des députés, la dissolution de l’instance de lutte contre la corruption et la multiplication des mesures d’interdiction de quitter le territoire frappant le monde économique et politique. …
La peur d’un retour à une répression aveugle a conduit la classe politique et la société civile à lancer à Carthage une mise en garde. Plusieurs partis, dont Afek Tounes, Ettakatol et le Courant démocrate, ont déclaré que le décret 117 n’était pas conforme à la loi. Les risques de dérive autoritaire inquiètent au-delà des frontières, tant et si bien que le ministre tunisien des Affaires étrangères, Othman Jerandi s’est senti obligé, le 14 septembre, d’assurer devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU que la démocratie était un « choix irréversible ». Un élément de langage martelé depuis. (Jeune Afrique)
Brèves
RESSOURCES...MARCHES...MONNAIES... - 03/12/2025
Wall Street termine en hausse, prévoit une baisse des taux
La Bourse de Paris atone, l'attention sur la Fed et l'Ukraine
La Bourse de Paris dans l'attente de nouvelles sur l'Ukraine et l'économie américaine
Les Bourses mondiales dans le vert après Thanksgiving
Vidéo à la Une
Vidéos
Eurovision 2026 : vive condamnation de la Türkiye, quatre pays se retirent après le maintien d’Israël
RDC et Rwanda: Trump préside une cérémonie de paix sur fond d'intenses combats
04/12/2025
Pays « pourri » Trump indigne les Somaliens
04/12/2025
Soupçons de Fraude : L’ancienne chef de la diplomatie européenne Mogherini relâchée après notification des charges
03/12/2025
La Türkiye vend pour la première fois des navires de guerre à un pays membre de l'OTAN et de l'UE
03/12/2025
Les derniers articles
Malgré les pressions américaines, Poutine entend bien continuer à livrer du pétrole à l'Inde
05/12/2025
-
Eurovision 2026 : vive condamnation de la Türkiye, quatre pays se retirent après le maintien d’Israël
05/12/2025
-
Alioune Sall annonce le déploiement d’antennes satellitaires pour connecter un million de Sénégalais à Internet
05/12/2025
-
RDC–Rwanda : Tshisekedi et Kagame scellent à Washington un accord « historique » pour la paix
04/12/2025
-
Dette cachée - Le FMI avance sur un nouveau prêt au Sénégal tout en enquêtant sur ses propres procédures de contrôle
04/12/2025
-
RDC: les combats se poursuivent au Sud-Kivu avant la rencontre entre les présidents congolais et rwandais
04/12/2025
-
OPINIONS & IDEES - 21/11/2025
2029 : l’unique obsession des frères siamois du pouvoir
Lettre ouverte à Pastef, au Président de la République et au Premier ministre (Par Diagne Fodé Roland)
21/11/2025
Il y a 108 ans, la Révolution communiste d'octobre 1917 : 10 jours ébranlèrent le monde
16/11/2025
Lettre ouverte : A M. El Malick Ndiaye, responsable politique au PASTEF, par ailleurs président de l’Assemblée Nationale (Par Me Wagane Faye)
16/11/2025
Du présidentialisme néocolonial au parlementarisme souverainiste populaire !
12/11/2025
Inscription à la newsletter






FRANCE


