Le S&P 500 et le Dow Jones ont progressé vendredi dans le cadre d'un rallye généralisé, les valeurs technologiques, financières et de santé étant les plus importantes, les investisseurs pariant sur une reprise qui devrait générer la croissance économique la plus rapide depuis 1984.
Le S&P 500 et le Dow ont terminé la semaine en hausse, les investisseurs rééquilibrant leurs portefeuilles à la fin du trimestre continuant d'acheter des actions susceptibles de bénéficier d'une économie en croissance, tout en ajoutant quelques actions technologiques en baisse.
Le Nasdaq a également terminé en hausse, les valeurs technologiques moins populaires ayant progressé, mais l'indice composite a enregistré sa deuxième baisse hebdomadaire consécutive.
Wall Street a bondi dans la dernière demi-heure de négociation, faisant grimper les trois indices de plus de 1 %. Le S&P 500 et le Dow Jones ont atteint des niveaux record à la clôture.
L'indice Russell 1000 Value, qui comprend les valeurs énergétiques, bancaires et industrielles, a gagné plus de 10 % cette année, surpassant son homologue, l'indice Russell 1000 Growth, qui se situe juste au-dessus du seuil de rentabilité pour l'année. (Graphique : Value vs Growth,)
Certains poids lourds de la technologie, comme Tesla Inc. et Alphabet Inc., la société mère de Google, ont reculé, mais Microsoft Corp. et Facebook Inc. ont suivi la tendance, contribuant à la hausse du S&P 500 et du Nasdaq.
"Il s'agit moins d'un abandon de la technologie que d'un mouvement qui témoigne d'un appétit plus large pour les actions, incluant à la fois la croissance et la valeur", a déclaré John Stoltzfus, stratège en chef des investissements chez Oppenheimer Asset Management à New York.
(Graphique : Flux de fonds dans les fonds américains de croissance et de valeur, ici
L'indice Dow Jones a gagné 453,4 points, soit 1,39 %, pour atteindre 33 072,88. Le S&P 500 a gagné 65,02 points, soit 1,66 %, à 3 974,54 et le Nasdaq Composite a ajouté 161,05 points, soit 1,24 %, à 13 138,73.
Pour la semaine, le S&P a augmenté d'environ 1,6 % et le Dow de 1,4 %, tandis que le Nasdaq a glissé de 0,6 %.
Le volume sur les bourses américaines a été de 12,23 milliards d'actions, contre une moyenne de 13,67 milliards pour l'ensemble de la session au cours des 20 derniers jours de bourse.
L Brands a bondi de 3,7 % après que le propriétaire de Victoria's Secret a relevé ses prévisions de bénéfices pour le trimestre en cours pour la deuxième fois ce mois-ci, car il bénéficie de la dépense par les consommateurs de leurs chèques de relance et de l'assouplissement des restrictions COVID-19.
La semaine dernière, la Réserve fédérale a relevé son estimation du PIB pour 2021, la faisant passer de 4,2 % à 6,5 %, et de nombreux économistes s'attendent à une croissance encore plus rapide, ce qui a suscité des craintes que l'économie ne s'emballe et oblige la Réserve fédérale à relever ses taux d'intérêt.
Le dollar s'est détendu mais est resté proche des sommets de quatre mois en raison de l'optimisme continu concernant l'économie américaine.
"Il a été difficile de restreindre nos prévisions de croissance aux États-Unis ces derniers mois. Nous avons revu nos estimations à la hausse presque aussi rapidement que nous les avons abaissées il y a un an", a déclaré Carl Tannenbaum, économiste en chef chez Northern Trust, lors du Reuters Global Markets Forum.
Les valeurs bancaires ont gagné 1,9 %, la Fed ayant déclaré qu'elle lèverait les restrictions fondées sur les revenus concernant les dividendes bancaires et les rachats d'actions pour "la plupart des entreprises" en juin, après sa prochaine série de tests de résistance.
Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans est passé à 1,66 %, soit un niveau inférieur à la hausse de 1,75 % enregistrée la semaine dernière, qui avait déclenché un mouvement de repli en raison des craintes d'inflation et d'une éventuelle hausse des taux de la Fed, ce que cette dernière s'est engagée à ne pas faire.
Le marché est préoccupé par le fait que la Fed soit soudainement obligée de resserrer ses taux alors qu'elle a répété qu'elle ne le ferait pas, a déclaré Marvin Loh, stratège macroéconomique mondial senior chez State Street Global Markets.
"La véritable inquiétude est que les choses surchauffent et que la Fed soit obligée de changer d'avis", a-t-il dit.
Les valeurs énergétiques ont bondi de 2,6 %, dans le sillage de la hausse des prix du brut, après qu'un porte-conteneurs géant bloquant le canal de Suez a suscité des craintes d'un resserrement de l'offre.
Dix des onze principaux secteurs du S&P ont progressé, seul l'indice des services de communication étant dans le rouge.
Nio Inc a chuté de 4,8 %, le fabricant chinois de véhicules électriques ayant annoncé qu'il allait interrompre la production pendant cinq jours ouvrables dans son usine de Hefei en raison d'une pénurie de puces à semi-conducteurs.
Les dernières données montrent que les dépenses de consommation aux États-Unis ont connu leur plus forte baisse en 10 mois en février, en raison de la vague de froid qui a frappé de nombreuses régions du pays et de l'affaiblissement de l'impulsion donnée par la deuxième série de mesures de relance, bien que cette baisse soit probablement temporaire.
Les émissions en hausse ont été plus nombreuses que les émissions en baisse sur le NYSE dans un rapport de 3,30 contre 1 ; sur le Nasdaq, le rapport était de 1,81 contre 1.
Le S&P 500 a enregistré 65 nouveaux sommets sur 52 semaines et aucun nouveau creux ; le Nasdaq Composite a enregistré 82 nouveaux sommets et 51 nouveaux creux. (Reuters)
Le S&P 500 et le Dow ont terminé la semaine en hausse, les investisseurs rééquilibrant leurs portefeuilles à la fin du trimestre continuant d'acheter des actions susceptibles de bénéficier d'une économie en croissance, tout en ajoutant quelques actions technologiques en baisse.
Le Nasdaq a également terminé en hausse, les valeurs technologiques moins populaires ayant progressé, mais l'indice composite a enregistré sa deuxième baisse hebdomadaire consécutive.
Wall Street a bondi dans la dernière demi-heure de négociation, faisant grimper les trois indices de plus de 1 %. Le S&P 500 et le Dow Jones ont atteint des niveaux record à la clôture.
L'indice Russell 1000 Value, qui comprend les valeurs énergétiques, bancaires et industrielles, a gagné plus de 10 % cette année, surpassant son homologue, l'indice Russell 1000 Growth, qui se situe juste au-dessus du seuil de rentabilité pour l'année. (Graphique : Value vs Growth,)
Certains poids lourds de la technologie, comme Tesla Inc. et Alphabet Inc., la société mère de Google, ont reculé, mais Microsoft Corp. et Facebook Inc. ont suivi la tendance, contribuant à la hausse du S&P 500 et du Nasdaq.
"Il s'agit moins d'un abandon de la technologie que d'un mouvement qui témoigne d'un appétit plus large pour les actions, incluant à la fois la croissance et la valeur", a déclaré John Stoltzfus, stratège en chef des investissements chez Oppenheimer Asset Management à New York.
(Graphique : Flux de fonds dans les fonds américains de croissance et de valeur, ici
L'indice Dow Jones a gagné 453,4 points, soit 1,39 %, pour atteindre 33 072,88. Le S&P 500 a gagné 65,02 points, soit 1,66 %, à 3 974,54 et le Nasdaq Composite a ajouté 161,05 points, soit 1,24 %, à 13 138,73.
Pour la semaine, le S&P a augmenté d'environ 1,6 % et le Dow de 1,4 %, tandis que le Nasdaq a glissé de 0,6 %.
Le volume sur les bourses américaines a été de 12,23 milliards d'actions, contre une moyenne de 13,67 milliards pour l'ensemble de la session au cours des 20 derniers jours de bourse.
L Brands a bondi de 3,7 % après que le propriétaire de Victoria's Secret a relevé ses prévisions de bénéfices pour le trimestre en cours pour la deuxième fois ce mois-ci, car il bénéficie de la dépense par les consommateurs de leurs chèques de relance et de l'assouplissement des restrictions COVID-19.
La semaine dernière, la Réserve fédérale a relevé son estimation du PIB pour 2021, la faisant passer de 4,2 % à 6,5 %, et de nombreux économistes s'attendent à une croissance encore plus rapide, ce qui a suscité des craintes que l'économie ne s'emballe et oblige la Réserve fédérale à relever ses taux d'intérêt.
Le dollar s'est détendu mais est resté proche des sommets de quatre mois en raison de l'optimisme continu concernant l'économie américaine.
"Il a été difficile de restreindre nos prévisions de croissance aux États-Unis ces derniers mois. Nous avons revu nos estimations à la hausse presque aussi rapidement que nous les avons abaissées il y a un an", a déclaré Carl Tannenbaum, économiste en chef chez Northern Trust, lors du Reuters Global Markets Forum.
Les valeurs bancaires ont gagné 1,9 %, la Fed ayant déclaré qu'elle lèverait les restrictions fondées sur les revenus concernant les dividendes bancaires et les rachats d'actions pour "la plupart des entreprises" en juin, après sa prochaine série de tests de résistance.
Le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans est passé à 1,66 %, soit un niveau inférieur à la hausse de 1,75 % enregistrée la semaine dernière, qui avait déclenché un mouvement de repli en raison des craintes d'inflation et d'une éventuelle hausse des taux de la Fed, ce que cette dernière s'est engagée à ne pas faire.
Le marché est préoccupé par le fait que la Fed soit soudainement obligée de resserrer ses taux alors qu'elle a répété qu'elle ne le ferait pas, a déclaré Marvin Loh, stratège macroéconomique mondial senior chez State Street Global Markets.
"La véritable inquiétude est que les choses surchauffent et que la Fed soit obligée de changer d'avis", a-t-il dit.
Les valeurs énergétiques ont bondi de 2,6 %, dans le sillage de la hausse des prix du brut, après qu'un porte-conteneurs géant bloquant le canal de Suez a suscité des craintes d'un resserrement de l'offre.
Dix des onze principaux secteurs du S&P ont progressé, seul l'indice des services de communication étant dans le rouge.
Nio Inc a chuté de 4,8 %, le fabricant chinois de véhicules électriques ayant annoncé qu'il allait interrompre la production pendant cinq jours ouvrables dans son usine de Hefei en raison d'une pénurie de puces à semi-conducteurs.
Les dernières données montrent que les dépenses de consommation aux États-Unis ont connu leur plus forte baisse en 10 mois en février, en raison de la vague de froid qui a frappé de nombreuses régions du pays et de l'affaiblissement de l'impulsion donnée par la deuxième série de mesures de relance, bien que cette baisse soit probablement temporaire.
Les émissions en hausse ont été plus nombreuses que les émissions en baisse sur le NYSE dans un rapport de 3,30 contre 1 ; sur le Nasdaq, le rapport était de 1,81 contre 1.
Le S&P 500 a enregistré 65 nouveaux sommets sur 52 semaines et aucun nouveau creux ; le Nasdaq Composite a enregistré 82 nouveaux sommets et 51 nouveaux creux. (Reuters)
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