Les éléments du Groupement d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) à l’œuvre dans la région de Ziguinchor ont procédé ce week-end à une vague d’arrestations et placé en garde à vue quelques vingt deux personnes. Une opération qui entre dans le cadre de la traque lancée contre les auteurs potentiels du meurtre de quatorze coupeurs de bois survenu samedi 6 janvier dans la forêt classée de Boffa-Bayotte.
Selon nos informations, un journaliste considéré comme membre où à tout le moins proche du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) figure au nombre des prises effectuées par les gendarmes appuyés par l’armée et la police sénégalaises. Il s’agit de René Capin Bassène, dont certaines sources indiquent qu’il serait un des animateurs d’un site d’information du Mfdc, «Le journal du pays.»
Mais selon nos confrères de L’Observateur citant des membres de sa famille, Bassène n’est ni militant du Mfdc, ni même partie prenante dans la crise casamançaise. D’après Odile Coly, épouse de notre confrère arrêté citée par le quotidien du Groupe Futurs Médias, les gendarmes ont débarqué chez eux à 5h30 du matin en escaladant le mur de la maison.
«Nous n’avons pas ouvert parce que nous ne savions pas qui étaient ces personnes qui ne cessaient de taper à notre porte… Ils ont emporté des documents et nos deux portables. Nos enfants, mon beau-père, sont très affectés» par la scène. «Mon mari n’est pas un criminel», a plaidé Odile Coly.
Les soupçons qui pèsent sur ses épaules sont très graves, indiquent plusieurs sources, car les services de sécurité en ont déjà fait un présumé commanditaire des meurtres de Boffa-Bayotte sur la base d’éléments qui seraient en leur possession. On lui reproche d’être, entre autres, l’auteur d’un communiqué du mouvement irrédentiste appelant les populations de Ziguinchor à ne pas sortir à partir de certaines heures…
René Capin Bassène est un ancien collaborateur de plusieurs groupes de presse dont Walfadjri et Futurs Médias. On le dit proche de César Atoute Badiate, le chef d’une des principales factions du Mfdc. A en croire notre confrère Mamadou Papo Mané, correspondant local de Walf Quotidien depuis une quinzaine d’années, «son interpellation dans une telle affaire a fini de provoquer la surprise au sein d’une corporation qui se bat quotidiennement pour contribuer au retour de la stabilité dans cette partie sud du Sénégal.»
Selon nos informations, un journaliste considéré comme membre où à tout le moins proche du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) figure au nombre des prises effectuées par les gendarmes appuyés par l’armée et la police sénégalaises. Il s’agit de René Capin Bassène, dont certaines sources indiquent qu’il serait un des animateurs d’un site d’information du Mfdc, «Le journal du pays.»
Mais selon nos confrères de L’Observateur citant des membres de sa famille, Bassène n’est ni militant du Mfdc, ni même partie prenante dans la crise casamançaise. D’après Odile Coly, épouse de notre confrère arrêté citée par le quotidien du Groupe Futurs Médias, les gendarmes ont débarqué chez eux à 5h30 du matin en escaladant le mur de la maison.
«Nous n’avons pas ouvert parce que nous ne savions pas qui étaient ces personnes qui ne cessaient de taper à notre porte… Ils ont emporté des documents et nos deux portables. Nos enfants, mon beau-père, sont très affectés» par la scène. «Mon mari n’est pas un criminel», a plaidé Odile Coly.
Les soupçons qui pèsent sur ses épaules sont très graves, indiquent plusieurs sources, car les services de sécurité en ont déjà fait un présumé commanditaire des meurtres de Boffa-Bayotte sur la base d’éléments qui seraient en leur possession. On lui reproche d’être, entre autres, l’auteur d’un communiqué du mouvement irrédentiste appelant les populations de Ziguinchor à ne pas sortir à partir de certaines heures…
René Capin Bassène est un ancien collaborateur de plusieurs groupes de presse dont Walfadjri et Futurs Médias. On le dit proche de César Atoute Badiate, le chef d’une des principales factions du Mfdc. A en croire notre confrère Mamadou Papo Mané, correspondant local de Walf Quotidien depuis une quinzaine d’années, «son interpellation dans une telle affaire a fini de provoquer la surprise au sein d’une corporation qui se bat quotidiennement pour contribuer au retour de la stabilité dans cette partie sud du Sénégal.»
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