Si à l’heure actuelle, le gouvernement est constitué de 41 postes (ministres, ministres délégués et secrétaires d’Etat), ce nombre devrait tomber drastiquement dans le cas d’une réélection d’Emmanuel Macron.
Le président-candidat aurait ainsi confié à ses proches vouloir quinze ministres en fonction uniquement. Et ce, sans aucun secrétaire d’Etat ou ministre délégué. Pour remédier à leur absence, Emmanuel Macron envisage de confier des missions plus précises à des sortes de hauts commissariats qui agiront sur des thématiques comme la réforme des retraites ou des projets comme la reconstruction de Notre-Dame de Paris.
Contenter chaque sensibilité
Afin de préciser les intentions d'Emmanuel Macron, un proche du Président a expliqué à Europe 1 que "le général Georgelin, actuellement à la tête de l'établissement public chargé de la restauration de la cathédrale, aurait tout à fait pu être nommé haut-commissaire".
Mais Emmanuel Macron devra jouer à l’équilibriste afin de contenter chaque sensibilité lui ayant apporté son soutien ces dernières semaines. Sans quoi il pourrait se retrouver embêté par l’apparition de dissensions au lendemain de la nomination de son potentiel futur gouvernement.
Le président-candidat aurait ainsi confié à ses proches vouloir quinze ministres en fonction uniquement. Et ce, sans aucun secrétaire d’Etat ou ministre délégué. Pour remédier à leur absence, Emmanuel Macron envisage de confier des missions plus précises à des sortes de hauts commissariats qui agiront sur des thématiques comme la réforme des retraites ou des projets comme la reconstruction de Notre-Dame de Paris.
Contenter chaque sensibilité
Afin de préciser les intentions d'Emmanuel Macron, un proche du Président a expliqué à Europe 1 que "le général Georgelin, actuellement à la tête de l'établissement public chargé de la restauration de la cathédrale, aurait tout à fait pu être nommé haut-commissaire".
Mais Emmanuel Macron devra jouer à l’équilibriste afin de contenter chaque sensibilité lui ayant apporté son soutien ces dernières semaines. Sans quoi il pourrait se retrouver embêté par l’apparition de dissensions au lendemain de la nomination de son potentiel futur gouvernement.
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