La présidente d'Île-de-France a remporté l'investiture LR ce samedi face à son concurrent, partisan d'une droite plus dure, Éric Ciotti.
Les Républicains tiennent enfin leur candidat pour 2022. Et c'est une candidate en l'occurrence: Valérie Pécresse a remporté ce samedi le congrès Les Républicains (LR), et portera les couleurs de son parti lors de la prochaine présidentielle, selon nos informations.
Avec 60,95% des voix, la présidente de la région Île-de-France a remporté l'investiture face au député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, qui a récolté 39,05% des suffrages, a confirmé le président du parti Christian Jacob quelques minutes après.
Avec 25% des voix au premier tour, Valérie Pécresse était distancée de très peu par son rival (25,6%). Mais elle a rapidement reçu le soutien de Xavier Bertrand et de Michel Barnier, deux poids lourds de la droite, éliminés de peu au premier tour (22,4% et 23,9% respectivement) et faisait depuis office de favorite.
Le président LR du Sénat Gérard Larcher ainsi que le patron des députés LR, Damien Abad, avaient aussi apporté leur soutien à la femme politique, provoquant l'ire de son adversaire.
Ce dernier avait estimé que "la neutralité" des instances du parti n'était pas respectée et dénoncé une "attitude contraire à l'esprit de notre groupe et de notre famille politique". (BFMTV)
Les Républicains tiennent enfin leur candidat pour 2022. Et c'est une candidate en l'occurrence: Valérie Pécresse a remporté ce samedi le congrès Les Républicains (LR), et portera les couleurs de son parti lors de la prochaine présidentielle, selon nos informations.
Avec 60,95% des voix, la présidente de la région Île-de-France a remporté l'investiture face au député des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, qui a récolté 39,05% des suffrages, a confirmé le président du parti Christian Jacob quelques minutes après.
Avec 25% des voix au premier tour, Valérie Pécresse était distancée de très peu par son rival (25,6%). Mais elle a rapidement reçu le soutien de Xavier Bertrand et de Michel Barnier, deux poids lourds de la droite, éliminés de peu au premier tour (22,4% et 23,9% respectivement) et faisait depuis office de favorite.
Le président LR du Sénat Gérard Larcher ainsi que le patron des députés LR, Damien Abad, avaient aussi apporté leur soutien à la femme politique, provoquant l'ire de son adversaire.
Ce dernier avait estimé que "la neutralité" des instances du parti n'était pas respectée et dénoncé une "attitude contraire à l'esprit de notre groupe et de notre famille politique". (BFMTV)
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