Le chef de file des Insoumis a fustigé les virements de bord du président de la République autour de la crise sanitaire, entre "ultra-libéralisme" et "nationalisation" de main d'oeuvre.
A 11 jours du premier tour, Jean-Luc Mélenchon martèle son programme de "rupture" avec le libéralisme économique, prenant au passage pour cible Emmanuel Macron, dont il a déploré les louvoiements au cours de son quinquennat. Interrogé mercredi 30 mars à l'antenne de France Inter sur la conversion du chef de l'Etat au "quoi qu'il en coûte" pendant la crise sanitaire du Covid-19, le candidat de la France insoumise a ironisé : "C'est vraiment un des caméléons les plus extraordinaires qu'on ait jamais rencontré.
La veille, il était ultra-libéral, le lendemain, il nous dit quoi que ça coûte".
"Il fait quelque chose d'absolument inouï, nationaliser la main d'oeuvre! Il faut quand même oser le faire C'était dans une de mes fiches et j'avais dit à mes camarades 'Molo, on va pas nationaliser la main d'oeuvre'. Et c'est ce qui s'est fait pendant un mois. Ca a coûté une somme folle, et le lendemain, il avait à nouveau changé d'avis", a t-il jugé, mercredi 30 mars.
Porté par une dynamique positive dans les derniers sondages d'intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon a une nouvelle fois défendu son projet de "VIe République" et de "société d'entraide" où règne "l'harmonie entre les êtres humains et avec la nature".
Pour ce faire, il prévoit de convoquer une assemblée constituante pour une VIe République plus parlementaire et participative, planifier la "bifurcation écologique", décréter des mesures d'"urgence sociale", développer les services publics et taxer davantage les plus riches. (Orange)
A 11 jours du premier tour, Jean-Luc Mélenchon martèle son programme de "rupture" avec le libéralisme économique, prenant au passage pour cible Emmanuel Macron, dont il a déploré les louvoiements au cours de son quinquennat. Interrogé mercredi 30 mars à l'antenne de France Inter sur la conversion du chef de l'Etat au "quoi qu'il en coûte" pendant la crise sanitaire du Covid-19, le candidat de la France insoumise a ironisé : "C'est vraiment un des caméléons les plus extraordinaires qu'on ait jamais rencontré.
La veille, il était ultra-libéral, le lendemain, il nous dit quoi que ça coûte".
"Il fait quelque chose d'absolument inouï, nationaliser la main d'oeuvre! Il faut quand même oser le faire C'était dans une de mes fiches et j'avais dit à mes camarades 'Molo, on va pas nationaliser la main d'oeuvre'. Et c'est ce qui s'est fait pendant un mois. Ca a coûté une somme folle, et le lendemain, il avait à nouveau changé d'avis", a t-il jugé, mercredi 30 mars.
Porté par une dynamique positive dans les derniers sondages d'intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon a une nouvelle fois défendu son projet de "VIe République" et de "société d'entraide" où règne "l'harmonie entre les êtres humains et avec la nature".
Pour ce faire, il prévoit de convoquer une assemblée constituante pour une VIe République plus parlementaire et participative, planifier la "bifurcation écologique", décréter des mesures d'"urgence sociale", développer les services publics et taxer davantage les plus riches. (Orange)
PRÉSIDENTIELLE 2024
FRANCE
