Après un périple à Nioro, Darou Salam, Kaolack, entre autres étapes, le candidat de la coalition « Madické-2019 » a fait une déclaration à Touba Ndorong, une localité dont il a rappelé l’attachement au Parti démocratique sénégalais (Pds) et notamment à l’ancien président Abdoulaye Wade. Un thème central a dominé l’adresse de Me Madické Niang: l’éducation, la formation et l’emploi.
Devant le khalife des lieux, il a fait part de sa volonté d’établir la corrélation entre les formations des jeunes et les exigences professionnelles des employeurs, sans laquelle la courbe du chômage ne pourrait pas être inversée. D’où sa volonté de « venir en aide » aux diplômés par des offres de formation destinées à leur faciliter l’accès au marché du travail.
A ce propos, le théoricien du programme « Jamma ak kheweul » a déploré le facteur de blocage que constitue l’hyper-domination (« 80% ») des filières littéraires alors que le développement économique du pays a besoin « des innovations technologiques » aujourd’hui disponibles à travers le monde. En guise d’exemple, le candidat à la présidence sénégalaise dit ne pas comprendre pourquoi les fourchettes et les cuillères continuent d’être importées.
Dans le même ordre d’idée, Me Madické Niang a souligné devant le khalife la nécessité pour les jeunes des daaras (ndlr : écoles coraniques) d’apprendre un métier durant leur apprentissage islamique. Pour marquer sa disponibilité dans ce sens, il a promis de porter l’enveloppe financière de l’Education nationale à 40% du budget national.
Par ailleurs, le transfuge du Parti démocratique sénégalais a dénoncé la tendance prise par « certains » de s’attribuer des « titres fonciers » en parlant de leurs fiefs politiques. « C’est irresponsable », a-t-il souligné. Il faisait référence au candidat sortant Macky Sall qui avait considéré le Fouta comme son « titre foncier », juste pour dire que le vote des populations lui était déjà acquis.
Devant le khalife des lieux, il a fait part de sa volonté d’établir la corrélation entre les formations des jeunes et les exigences professionnelles des employeurs, sans laquelle la courbe du chômage ne pourrait pas être inversée. D’où sa volonté de « venir en aide » aux diplômés par des offres de formation destinées à leur faciliter l’accès au marché du travail.
A ce propos, le théoricien du programme « Jamma ak kheweul » a déploré le facteur de blocage que constitue l’hyper-domination (« 80% ») des filières littéraires alors que le développement économique du pays a besoin « des innovations technologiques » aujourd’hui disponibles à travers le monde. En guise d’exemple, le candidat à la présidence sénégalaise dit ne pas comprendre pourquoi les fourchettes et les cuillères continuent d’être importées.
Dans le même ordre d’idée, Me Madické Niang a souligné devant le khalife la nécessité pour les jeunes des daaras (ndlr : écoles coraniques) d’apprendre un métier durant leur apprentissage islamique. Pour marquer sa disponibilité dans ce sens, il a promis de porter l’enveloppe financière de l’Education nationale à 40% du budget national.
Par ailleurs, le transfuge du Parti démocratique sénégalais a dénoncé la tendance prise par « certains » de s’attribuer des « titres fonciers » en parlant de leurs fiefs politiques. « C’est irresponsable », a-t-il souligné. Il faisait référence au candidat sortant Macky Sall qui avait considéré le Fouta comme son « titre foncier », juste pour dire que le vote des populations lui était déjà acquis.
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