Ibrahima lô, le directeur du Livre et de la Lecture
Au total, 365 ouvrages ont été édités entre 2019 et 2020 grâce au concours du fonds d’aide à l’édition, a révélé, mercredi, le directeur du Livre et de la Lecture Ibrahima Lo. ’’Pour les années 2019 et 2020, 365 titres ont été édités grâce au concours du fonds d’aide à l’édition’’, a-t-il dit.
Le Fonds d’aide à l’édition, mécanisme mis en place par l’Etat du Sénégal et doté d’un montant de 600 millions de francs CFA, a été créé en 2004 et rendu opérationnel en 2009.
Il permet de publier, de promouvoir l’édition et la formation des acteurs. Sa finalité est de soutenir l’édition en rendant le livre accessible aux citoyens dans les meilleures conditions, a expliqué Ibrahima Lo.
Selon lui, ’’les dotations du Fonds sont destinées à couvrir les projets et programmes orientés vers la satisfaction de ces deux finalités’’ A ce niveau, poursuit Lo, ’’il faut souligner que conformément aux contrats passés avec les éditeurs, un pourcentage de 10% du tirage est remis à la direction du livre et de la lecture’’.
Ces livres reçus sont utilisés pour les dotations dans les réseaux de lecture publique constitués des Centres de lecture et d’animation culturelle (Clac), des Bibliothèques régionales et d’autres structures partenaires notamment les bibliothèques universitaires, municipales et écoles supérieures de formation.
’’Il faut le reconnaître, l’Etat du Sénégal consent beaucoup de sacrifices dans l’édition et la lecture publique avec le concours par endroit d’un partenariat avec certaines collectivités locales qui prennent des initiatives appréciables’’, a salué le directeur du livre. Il a informé que les 17 centres de lecture et d’animation culturelle sont réhabilités et équipés en mobilier et en fonds documentaires grâce à ce soutien de l’Etat.
Pour Ibrahima Lo, c’est ce mécanisme d’accompagnement des professionnels du secteur qui vaut au Sénégal d’être cité en référence en Afrique de l’ouest.
’’C’est d’ailleurs pour cette raison que le Sénégal était invité à partager son expérience aux Etats généraux du livre en langue française tenus à Tunis du 22 au 24 septembre dernier. Nous sommes partants pour toute initiative locale ou sous régionale visant à booster le secteur’’, a-t-il fait part.
Selon Ibrahima Lo, pour que le livre puisse servir à éduquer, former et éveiller la conscience des masses, il faut qu’il soit accessible à ses lecteurs, ses utilisateurs. Pour y arriver, ’’il nous faut encourager la coédition et la réduction ou la suppression des taxes sur le livre et ses intrants’’. (Avec APS)
Le Fonds d’aide à l’édition, mécanisme mis en place par l’Etat du Sénégal et doté d’un montant de 600 millions de francs CFA, a été créé en 2004 et rendu opérationnel en 2009.
Il permet de publier, de promouvoir l’édition et la formation des acteurs. Sa finalité est de soutenir l’édition en rendant le livre accessible aux citoyens dans les meilleures conditions, a expliqué Ibrahima Lo.
Selon lui, ’’les dotations du Fonds sont destinées à couvrir les projets et programmes orientés vers la satisfaction de ces deux finalités’’ A ce niveau, poursuit Lo, ’’il faut souligner que conformément aux contrats passés avec les éditeurs, un pourcentage de 10% du tirage est remis à la direction du livre et de la lecture’’.
Ces livres reçus sont utilisés pour les dotations dans les réseaux de lecture publique constitués des Centres de lecture et d’animation culturelle (Clac), des Bibliothèques régionales et d’autres structures partenaires notamment les bibliothèques universitaires, municipales et écoles supérieures de formation.
’’Il faut le reconnaître, l’Etat du Sénégal consent beaucoup de sacrifices dans l’édition et la lecture publique avec le concours par endroit d’un partenariat avec certaines collectivités locales qui prennent des initiatives appréciables’’, a salué le directeur du livre. Il a informé que les 17 centres de lecture et d’animation culturelle sont réhabilités et équipés en mobilier et en fonds documentaires grâce à ce soutien de l’Etat.
Pour Ibrahima Lo, c’est ce mécanisme d’accompagnement des professionnels du secteur qui vaut au Sénégal d’être cité en référence en Afrique de l’ouest.
’’C’est d’ailleurs pour cette raison que le Sénégal était invité à partager son expérience aux Etats généraux du livre en langue française tenus à Tunis du 22 au 24 septembre dernier. Nous sommes partants pour toute initiative locale ou sous régionale visant à booster le secteur’’, a-t-il fait part.
Selon Ibrahima Lo, pour que le livre puisse servir à éduquer, former et éveiller la conscience des masses, il faut qu’il soit accessible à ses lecteurs, ses utilisateurs. Pour y arriver, ’’il nous faut encourager la coédition et la réduction ou la suppression des taxes sur le livre et ses intrants’’. (Avec APS)
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