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« Le FMI approuve sans débat la deuxième revue du programme ICPE avec le Sénégal » (ministère des Finances)

Samedi 9 Janvier 2021

Abdoulaye Daouda Diallo, ministre des Finances et du Budget
Abdoulaye Daouda Diallo, ministre des Finances et du Budget
« Le Conseil d’Administration du Fonds Monétaire International (FMI) a favorablement conclu le mardi 5 janvier 2021 la deuxième revue du programme économique appuyé par l’Instrument de coordination de la politique économique (ICPE), suivant la procédure de non-objection, c'est-à-dire sans réunion formelle des membres du Conseil.  Le FMI salue ainsi les bonnes performances économiques et financières réalisées dans l’exécution du programme.
 
Cette décision exceptionnelle traduit la confiance accordée au Sénégal dans la mise en œuvre satisfaisante de l’ICPE. Pour 2020, en dépit de la crise sanitaire et économique, l’année a connu une activité intense, à telle enseigne que :
 
les objectifs de recouvrement des recettes budgétaires sont à ce jour atteints voire dépassés ;
les dépenses publiques sont payées à un rythme satisfaisant ;
les principaux indicateurs quantitatifs de gestion sont atteints : cible de déficit budgétaire, plancher des recettes fiscales, plafond des instances de paiement, plancher des dépenses sociales, encours de la dette publique ;
les relations avec les partenaires techniques et financiers sont au beau fixe, comme l’atteste le résultat concluant de la deuxième revue de l’ICPE ;
les entreprises bénéficient d’un soutien optimal de la part de l’Etat, ce qui nous a permis, de limiter les effets néfastes générés par la Covid-19 sur notre économie.
 
Ainsi, après la première revue concluante du programme ICPE en juillet dernier, le Conseil d’Administration du FMI décerne  de nouveau un satisfecit au Sénégal en dépit de l’impact significatif de la pandémie à coronavirus (COVID-19) sur l’activité économique. Le Président de la République a pris des mesures rigoureuses de riposte dans le cadre du Programme de résilience économique et sociale (PRES) avec l’apparition de l’épidémie au Sénégal.
 
La décision relative à la conclusion de cette deuxième revue concluante du programme ICPE sera effective à compter du mardi 12 janvier 2021. » 
 
Le Ministère des Finances et du Budget
Dakar, le 07 janvier 2021
 
Nombre de lectures : 147 fois


1.Posté par Me François JURAIN le 12/01/2021 18:01
Le FMI est un organisme, pas une banque.
La banque mondiale est une banque, soumise aux notations des organismes de notation sur le plan mondial. C'est bien d'ailleurs à cause de cela que la banque mondiale ne veut pas effacer la dette des pays africains, au risque de voir sa note baisser.
Le FMI a donc tout intérêt à encenser son travail, car il ne risque rien.
Nous verrons ce qu'en dit la banque mondiale: il est fort possible qu'elle soit moins enthousiaste…
Car enfin, avoir le même taux d'analphabétisme après neuf ans de pouvoir et de soit disant réformes engagées à coup de milliards, personnellement, je n'appelle pas cela une victoire, mais un echec.
Avoir, après neuf années de règne sans partage, le même taux de gens vivant sous le seuil de pauvreté, il faut vraiment être fonctionnaire au FMI pour applaudir des deux mains!
Alors, au bal des faux culs, MACRON n'est pas le plus mauvais danseur: il embouche la trompette de Macky SALL, pour réclamer à corps et à cri l'effacement de la dette des pays africains, sachant très bien que la banque mondiale n'acceptera jamais, pour les raisons invoquées plus haut
La réalité, elle est très simple à constater de visu: tous les milliards de dollars déversés sur l'Afrique, par les diverses banques, mondiales ou pas, ont servi en grande partie à alimenter les caisses noires des différents dirigeants, le clientélisme, et la corruption. Chacun voit son intérêt à sa porte, et il urge, pour le reste du monde, de rétablir un ordre nouveau. L'Afrique n'y a pas sa place, car elle n'a jamais su y trouver sa place, ou plutôt on ne lui a jamais laissé trouver sa place. C'est pour cela qu'à la tête des 54 pays africains, se trouve un dictateur, à qui le reste du monde lui délivre un certificat protecteur, avec droit de piller, voler son peuple et les deniers publics, les droits humains, ect...Quand aux peuples, et bien, qu'ils se débrouillent, mais en AFRIQUE, il faut savoir que les fauteuils de président sont des fauteuils qui prennent racine, avec la complicité du reste du monde. Et pour ceux qui n'auraient pas compris, il leur est vivement conseillé de relire l'histoire des pays d'afrique et d'en tirer les leçons qui s'imposent! N'est ce pas Monsieur SONKO! bon courage à vous:si un conseil pouvez vous être donné, c'est de faie suivre régulièrement une formation continue et efficace à vos gardes du corps, on ne sait jamais, un accident est vite arrivé à ceux qui ne veulent pas comprendre, que vouloir imposer une saine justice, une égalité des chance, traquer la corruption endémique, ect...est un exercice périlleux, et ce n'est pas Thoas SANKARA, par exemple, qui me démentira.
Me François JURAIN

2.Posté par Me François JURAIN le 12/01/2021 18:06
Le FMI est un organisme, pas une banque.
La banque mondiale est une banque, soumise aux notations des organismes de notation sur le plan mondial. C'est bien d'ailleurs à cause de cela que la banque mondiale ne veut pas effacer la dette des pays africains, au risque de voir sa note baisser.
Le FMI a donc tout intérêt à encenser son travail, car il ne risque rien.
Nous verrons ce qu'en dit la banque mondiale: il est fort possible qu'elle soit moins enthousiaste…
Car enfin, avoir le même taux d'analphabétisme après neuf ans de pouvoir et de soit disant réformes engagées à coup de milliards, personnellement, je n'appelle pas cela une victoire, mais un echec.
Avoir, après neuf années de règne sans partage, le même taux de gens vivant sous le seuil de pauvreté, il faut vraiment être fonctionnaire au FMI pour applaudir des deux mains!
Alors, au bal des faux culs, MACRON n'est pas le plus mauvais danseur: il embouche la trompette de Macky SALL, pour réclamer à corps et à cri l'effacement de la dette des pays africains, sachant très bien que la banque mondiale n'acceptera jamais, pour les raisons invoquées plus haut
La réalité, elle est très simple à constater de visu: tous les milliards de dollars déversés sur l'Afrique, par les diverses banques, mondiales ou pas, ont servi en grande partie à alimenter les caisses noires des différents dirigeants, le clientélisme, et la corruption. Chacun voit son intérêt à sa porte, et il urge, pour le reste du monde, de rétablir un ordre nouveau. L'Afrique n'y a pas sa place, car elle n'a jamais su y trouver sa place, ou plutôt on ne lui a jamais laissé trouver sa place. C'est pour cela qu'à la tête des 54 pays africains, se trouve un dictateur, à qui le reste du monde lui délivre un certificat protecteur, avec droit de piller, voler son peuple et les deniers publics, les droits humains, ect...Quand aux peuples, et bien, qu'ils se débrouillent, mais en AFRIQUE, il faut savoir que les fauteuils de président sont des fauteuils qui prennent racine, avec la complicité du reste du monde. Et pour ceux qui n'auraient pas compris, il leur est vivement conseillé de relire l'histoire des pays d'afrique et d'en tirer les leçons qui s'imposent! N'est ce pas Monsieur SONKO! bon courage à vous:si un conseil pouvez vous être donné, c'est de faie suivre régulièrement une formation continue et efficace à vos gardes du corps, on ne sait jamais, un accident est vite arrivé à ceux qui ne veulent pas comprendre, que vouloir imposer une saine justice, une égalité des chance, traquer la corruption endémique, ect...est un exercice périlleux, et ce n'est pas Thoas SANKARA, par exemple, qui me démentira. Mais admiration et courage à ceux qui refusent de marcher tête basse et poches pleines: l'honneur est une vertu qui, en ce moment, est très dévaluée, surtout au Sénégal depuis neuf années, mais c'est un peu comme à la bourse: il faut acheter les valeurs décotées, car elles finissent toujours par remonter!
Me François JURAIN
Me François JURAIN

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