Pourra-t-on dire à la suite de la conférence de Dakar de ce 2 décembre sur le thème « Développement durable et dette soutenable : trouver le juste équilibre » qu'il y a eu un avant et un après ?
La question mérite d'être posée alors que la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, l'Organisation pour la coopération et le développement économique sans oublier les agences de notation ont été mis à l'index par des chefs d'État et hauts responsables politiques africains pour leur responsabilité dans la perception que l'on a de leur pays sur leur gouvernance économique et sur les risques encourus dès lors qu'on entre en affaires avec eux.
Premier espace de concrétisation de ce duel : les marchés financiers nourris par les informations données par ces organisations, lesquelles jouent en défaveur de l'Afrique quant à l'appréciation du risque, donc à l'accord donné ou pas à un prêt, au taux appliqué et à la durée appliquée à ce prêt quand il est accordé. (Le Point)
La question mérite d'être posée alors que la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, l'Organisation pour la coopération et le développement économique sans oublier les agences de notation ont été mis à l'index par des chefs d'État et hauts responsables politiques africains pour leur responsabilité dans la perception que l'on a de leur pays sur leur gouvernance économique et sur les risques encourus dès lors qu'on entre en affaires avec eux.
Premier espace de concrétisation de ce duel : les marchés financiers nourris par les informations données par ces organisations, lesquelles jouent en défaveur de l'Afrique quant à l'appréciation du risque, donc à l'accord donné ou pas à un prêt, au taux appliqué et à la durée appliquée à ce prêt quand il est accordé. (Le Point)