Le président, qui a mis un terme aux tumultueuses années Zuma en Afrique du Sud pourrait-il démissionner à cause d’une histoire de dollars dérobés dans un canapé ? « Toutes les options sont sur la table », a confirmé Vincent Magwenya, le porte-parole du chef de l’Etat sud-africain, Cyril Ramaphosa, jeudi 1er décembre, au terme d’une folle journée de rumeurs.
La veille, le président déjà donné vainqueur de l’élection à la présidence de l’ANC, le parti au pouvoir, qui doit se dérouler dans quinze jours, a vu son avenir politique s’assombrir brutalement avec la publication du rapport d’une commission indépendante mandatée par le Parlement ouvrant la voie à une procédure de destitution.
Englué dans une mystérieuse affaire de cambriolage passé sous silence dont il feint d’ignorer la gravité depuis des mois, Cyril Ramaphosa est soupçonné d’avoir violé la Constitution ainsi qu’une loi contre la corruption. Alors que les appels à la démission se multiplient, le président sud-africain a fait savoir, par la voie de son porte-parole, qu’il consultait largement au sein de son parti afin de déterminer « la meilleure des options, non pas pour lui, mais pour l’intérêt du pays ».
Jeudi, la rumeur d’une démission imminente de ce réformateur élu sur la promesse d’en finir avec la corruption endémique qui a marqué le mandat de son prédécesseur, Jacob Zuma, a provoqué une baisse du cours du rand, la monnaie sud-africaine. (Le Monde)
La veille, le président déjà donné vainqueur de l’élection à la présidence de l’ANC, le parti au pouvoir, qui doit se dérouler dans quinze jours, a vu son avenir politique s’assombrir brutalement avec la publication du rapport d’une commission indépendante mandatée par le Parlement ouvrant la voie à une procédure de destitution.
Englué dans une mystérieuse affaire de cambriolage passé sous silence dont il feint d’ignorer la gravité depuis des mois, Cyril Ramaphosa est soupçonné d’avoir violé la Constitution ainsi qu’une loi contre la corruption. Alors que les appels à la démission se multiplient, le président sud-africain a fait savoir, par la voie de son porte-parole, qu’il consultait largement au sein de son parti afin de déterminer « la meilleure des options, non pas pour lui, mais pour l’intérêt du pays ».
Jeudi, la rumeur d’une démission imminente de ce réformateur élu sur la promesse d’en finir avec la corruption endémique qui a marqué le mandat de son prédécesseur, Jacob Zuma, a provoqué une baisse du cours du rand, la monnaie sud-africaine. (Le Monde)







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