L’ancien garde du corps d’Emmanuel Macron affirme n’avoir jamais reçu formellement de lettre de licenciement, en dépit d’un entretien préalable après les révélations du Monde sur les violences du 1er mai. Néanmoins, il ne se considère plus comme étant toujours en mission pour l’Élysée.
« Non, je suis un élément extérieur qui veut du bien au mec [Macron – ndlr] qui lui a fait confiance. Aujourd’hui, ça peut paraître un peu dingue, j’aurais pu claquer la porte et passer à autre chose. Mais on continue à me solliciter, alors je continue à répondre. Je garde des liens. Cela dérange un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font comme si le président était sous curatelle. Ils lui font faire des conneries phénoménales. »
Aujourd’hui, Alexandre Benalla, 27 ans, ne retient plus ses coups contre le plus proche entourage du chef de l’État, un univers qu’il décrit comme peuplé de « technocrates » qui « appartiennent à une famille pire que la mafia, où tout le monde se tient, où tout le monde doit sa carrière à l’autre ».
Il cite nommément le directeur de cabinet du président, Patrick Strzoda, et le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, comme « archétypes des gens qui ne l’aident pas et lui font prendre des mauvaises décisions ».
« Ils sont dans le moule de ce système. Je suis désolé d’utiliser des mots que l’on entend d’ordinaire dans la bouche des extrêmes, mais c’est une réalité qui existe : un système technique et administratif qui déconnecte un mec – Macron – qui n’est déjà pas très connecté mais brillant. Mais quand vous êtes entourés de gens qui vous intoxiquent en permanence, ça finit par faire faire des bêtises. »
(https://www.mediapart.fr/journal/france/311218/alexandre-benalla-affirme-echanger-tres-regulierement-avec-emmanuel-macron)
« Non, je suis un élément extérieur qui veut du bien au mec [Macron – ndlr] qui lui a fait confiance. Aujourd’hui, ça peut paraître un peu dingue, j’aurais pu claquer la porte et passer à autre chose. Mais on continue à me solliciter, alors je continue à répondre. Je garde des liens. Cela dérange un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font comme si le président était sous curatelle. Ils lui font faire des conneries phénoménales. »
Aujourd’hui, Alexandre Benalla, 27 ans, ne retient plus ses coups contre le plus proche entourage du chef de l’État, un univers qu’il décrit comme peuplé de « technocrates » qui « appartiennent à une famille pire que la mafia, où tout le monde se tient, où tout le monde doit sa carrière à l’autre ».
Il cite nommément le directeur de cabinet du président, Patrick Strzoda, et le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, comme « archétypes des gens qui ne l’aident pas et lui font prendre des mauvaises décisions ».
« Ils sont dans le moule de ce système. Je suis désolé d’utiliser des mots que l’on entend d’ordinaire dans la bouche des extrêmes, mais c’est une réalité qui existe : un système technique et administratif qui déconnecte un mec – Macron – qui n’est déjà pas très connecté mais brillant. Mais quand vous êtes entourés de gens qui vous intoxiquent en permanence, ça finit par faire faire des bêtises. »
(https://www.mediapart.fr/journal/france/311218/alexandre-benalla-affirme-echanger-tres-regulierement-avec-emmanuel-macron)







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