Doha - Qatar Petroleum, géant énergétique détenu par l'Etat du Qatar, a signé dimanche un accord pour acquérir 30% des filiales d'Exxon Mobil en Argentine.
L'accord, le premier de Qatar Petroleum en Argentine, a été signé formellement lors d'une cérémonie dans un palace de Doha par les dirigeants des deux compagnies.
"Nous sommes heureux de parvenir à un accord avec Exxon, un partenaire stratégique avec lequel nous avons une longue histoire", a déclaré Saad Sherida Al-Kaabi, le PDG de Qatar Petroleum.
Andrew Swiger, vice-président d'Exxon, a estimé que l'accord "mettait en valeur" l'engagement de sa compagnie pour développer ses ressources en Argentine.
Aucun évaluation du montant de l'accord n'a été communiquée.
Les filiales concernées sont basées dans le bassin de Neuquen, dans le centre de l'Argentine, une zone connue pour ses ressources en gaz et en schiste bitumeux.
Cette annonce intervient un an après le déclenchement de la crise du Golfe: le 5 juin 2017, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte avaient rompu leurs relations avec le Qatar, l'accusant entre autres de soutenir des groupes extrémistes, ce que Doha dément.
L'accord, le premier de Qatar Petroleum en Argentine, a été signé formellement lors d'une cérémonie dans un palace de Doha par les dirigeants des deux compagnies.
"Nous sommes heureux de parvenir à un accord avec Exxon, un partenaire stratégique avec lequel nous avons une longue histoire", a déclaré Saad Sherida Al-Kaabi, le PDG de Qatar Petroleum.
Andrew Swiger, vice-président d'Exxon, a estimé que l'accord "mettait en valeur" l'engagement de sa compagnie pour développer ses ressources en Argentine.
Aucun évaluation du montant de l'accord n'a été communiquée.
Les filiales concernées sont basées dans le bassin de Neuquen, dans le centre de l'Argentine, une zone connue pour ses ressources en gaz et en schiste bitumeux.
Cette annonce intervient un an après le déclenchement de la crise du Golfe: le 5 juin 2017, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte avaient rompu leurs relations avec le Qatar, l'accusant entre autres de soutenir des groupes extrémistes, ce que Doha dément.
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