La mise en service du Train express régional (TER) est l’objet d’une nouvelle date : avril 2020. C’est le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement qui l’a indiqué dans un entretien accordé à nos confrères du quotidien «L’Observateur» de ce jour. Selon Me Oumar Youm, «normalement, en avril 2020, on sera dans la phase effective de mise en service commerciale du Ter.»
La prudence des propos («normalement») est imputable à diverses contraintes et préalables à prendre en charge en amont. «A partir de décembre 2029, nous serons dans une phase de préparation de l’exploitation» de cette nouvelle infrastructure destinée, entre autres, à décongestionner la capitale en offrant un moyen de déplacement évolué aux populations. Cette phase «va prendre peut-être 4 à 5 mois en fonction des diligences qui doivent être apportées à cette préparation», a ajouté Oumar Youm.
L’ancien directeur de cabinet du président de la République fait ici référence à la «co-construction avec la Société d’exploitation du Ter (…) le programme d’organisation du transport». Cette phase comprend plusieurs niveaux : le plan du transport, le temps des trajets, la fréquence et la ponctualité des trains, le recrutement la formation du personnel, en plus de la mise en place des normes de sécurité et de sûreté sur toutes les lignes.
La date de mise en service ne semble donc pas si ferme que cela, elle pourrait même être repoussée à plus tard, si l’on suit bien les paroles d’Oumar Youm. «Un projet d’une telle envergure, avec ses implications technologiques, ses exigences de sécurité, pose souvent des problèmes dans l’exécution, et, en raison de sa complexité, peut avoir un effet sur les délais.»
Inauguré en janvier 2019 par le chef de l’Etat, à quelques jours de l’élection présidentielle de février, le Train express régional a coûté jusqu’ici 700 milliards de francs Cfa, a souligné le ministre Youm. Et «peut-être que ça va augmenter», a-t-il ajouté.
La prudence des propos («normalement») est imputable à diverses contraintes et préalables à prendre en charge en amont. «A partir de décembre 2029, nous serons dans une phase de préparation de l’exploitation» de cette nouvelle infrastructure destinée, entre autres, à décongestionner la capitale en offrant un moyen de déplacement évolué aux populations. Cette phase «va prendre peut-être 4 à 5 mois en fonction des diligences qui doivent être apportées à cette préparation», a ajouté Oumar Youm.
L’ancien directeur de cabinet du président de la République fait ici référence à la «co-construction avec la Société d’exploitation du Ter (…) le programme d’organisation du transport». Cette phase comprend plusieurs niveaux : le plan du transport, le temps des trajets, la fréquence et la ponctualité des trains, le recrutement la formation du personnel, en plus de la mise en place des normes de sécurité et de sûreté sur toutes les lignes.
La date de mise en service ne semble donc pas si ferme que cela, elle pourrait même être repoussée à plus tard, si l’on suit bien les paroles d’Oumar Youm. «Un projet d’une telle envergure, avec ses implications technologiques, ses exigences de sécurité, pose souvent des problèmes dans l’exécution, et, en raison de sa complexité, peut avoir un effet sur les délais.»
Inauguré en janvier 2019 par le chef de l’Etat, à quelques jours de l’élection présidentielle de février, le Train express régional a coûté jusqu’ici 700 milliards de francs Cfa, a souligné le ministre Youm. Et «peut-être que ça va augmenter», a-t-il ajouté.
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