Après le commissaire Sangaré des Parcelles-Assainies, c’est le colonel Issa Diack, ancien tout puissant Chef de la Section de recherches de la gendarmerie nationale a été relevé de ses fonctions. Et ce, rapporte-t-on, pour manquement dans l'exécution du service.
Par cette sanction inattendue qui le frappe, le colonel Issa Diack aura été le commandant de la Légion de gendarmerie d'intervention (LGI) le plus éphémère de toute la maréchaussée. Un poste qu’il n’aura occupé que durant deux semaines avant que tombe la sanction du Haut commandement de la gendarmerie nationale. Selon nos informations, le colonel Diack est désormais affecté à la gendarmerie nationale comme adjoint au Général Mamadou Diouf.
Sur les circonstances du limogeage du colonel Diack, nos agents de renseignement infiltrés (ARI) font état d’une « action isolée » qui aurait été menée par l'intéressé, « à l'insu de sa hiérarchie ». C'était dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 août 2019. Alors qu’il était supposer procéder uniquement au maintien de l'ordre en tant que commandant de la LGI, il aurait pris unilatéralement l'initiative de poursuivre des trafiquants de drogue. Au finish, selon toujours nos sources aux longues oreilles, il n'a pu prouver que les suspects avaient de la drogue par devers eux-mêmes. L'opération aurait mal tourné, incitant la hiérarchie à prendre une mesure d’éloignement à son encontre.
Réputé intègre, compétent et intraitable, le colonel Issa Diack a dirigé la puissante et redoutable Section de recherches de la gendarmerie nationale. Un service de la police judiciaire par lequel est passée une belle brochette d’hommes et de femmes en tous genres dans le cadre d’enquêtes ouvertes par le procureur de la République.
Et c’est justement en regard des qualités mentionnées ci-dessus et qui sont les siennes que l’objet de son limogeage laisse la porte ouverte à de nombreuses interrogations… (source: Tribune)
Par cette sanction inattendue qui le frappe, le colonel Issa Diack aura été le commandant de la Légion de gendarmerie d'intervention (LGI) le plus éphémère de toute la maréchaussée. Un poste qu’il n’aura occupé que durant deux semaines avant que tombe la sanction du Haut commandement de la gendarmerie nationale. Selon nos informations, le colonel Diack est désormais affecté à la gendarmerie nationale comme adjoint au Général Mamadou Diouf.
Sur les circonstances du limogeage du colonel Diack, nos agents de renseignement infiltrés (ARI) font état d’une « action isolée » qui aurait été menée par l'intéressé, « à l'insu de sa hiérarchie ». C'était dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 août 2019. Alors qu’il était supposer procéder uniquement au maintien de l'ordre en tant que commandant de la LGI, il aurait pris unilatéralement l'initiative de poursuivre des trafiquants de drogue. Au finish, selon toujours nos sources aux longues oreilles, il n'a pu prouver que les suspects avaient de la drogue par devers eux-mêmes. L'opération aurait mal tourné, incitant la hiérarchie à prendre une mesure d’éloignement à son encontre.
Réputé intègre, compétent et intraitable, le colonel Issa Diack a dirigé la puissante et redoutable Section de recherches de la gendarmerie nationale. Un service de la police judiciaire par lequel est passée une belle brochette d’hommes et de femmes en tous genres dans le cadre d’enquêtes ouvertes par le procureur de la République.
Et c’est justement en regard des qualités mentionnées ci-dessus et qui sont les siennes que l’objet de son limogeage laisse la porte ouverte à de nombreuses interrogations… (source: Tribune)
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