PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron a promis dimanche d'oeuvrer à réconcilier les Français et à réformer l'Europe, tout en assurant connaître l'ampleur des attentes à son égard.
Lors de ses deux premiers discours de président de la République, il s'est engagé à favoriser l'initiative économique pour empêcher qu'une France divisée finisse par se déchirer.
"Les Français ont choisi le 7 mai dernier l'espoir et l'esprit de conquête", a dit le huitième président de la Ve République après la passation de pouvoir avec François Hollande.
"Depuis des décennies, la France doute d'elle-même", a ajouté le vainqueur de la présidentielle face Marine Le Pen, dans un discours à l'Elysée, avant d'insister sur l'exigence du rassemblement, lors d'un discours à l'hôtel de ville de Paris.
"Je n'oublie pas les fractures qui parcourent notre pays, les colères qui se sont exprimées à de multiples égards, les doutes parfois", a-t-il déclaré. "Cette réconciliation de toute la France, ce sera le coeur de ma mission."
Pour surmonter ces divisions, "je ne céderai sur rien des engagements pris vis-à-vis des Français. Tout ce qui concourt à la vigueur de la France et à sa prospérité sera mis en oeuvre", a promis l'ancien ministre de l'Economie.
"LE TRAVAIL SERA LIBÉRÉ"
"Le travail sera libéré, les entreprises seront soutenues, l'initiative sera encouragée, la culture et l'éducation (...), la création et l'innovation seront au coeur de mon action."
"Le défi des cinq prochaines années sera d'empêcher que notre pays ne se défasse, en diffusant la réussite, en élargissant le champ des opportunités, en faisant en sorte (...) que la mondialisation et l'ouverture de notre pays profitent à chacun", a-t-il encore déclaré.
À la veille de sa rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin, il a également promis de réformer l'Europe.
"L'Europe dont nous avons besoin sera refondée et relancée", a-t-il dit. "Nous aurons besoin d'une Europe plus efficace, plus démocratique, plus politique car elle est l'instrument de notre puissance et de notre souveraineté, j'y oeuvrerai."
"Je sais que les Françaises et les Français en cette heure attendent beaucoup de moi. Ils ont raison car le mandat qu'ils me confient leur donnent sur moi le droit d'une exigence absolue, j'en suis pleinement conscient", a encore déclaré Emmanuel Macron.
"Rien ne sera concédé à la facilité, ni au compromis, rien n'affaiblira ma détermination, rien ne me fera renoncer à défendre (...) les intérêts supérieurs de la France. J'aurai dans le même temps la volonté constante de réconcilier et rassembler l'ensemble des Français", a-t-il promis.
Lors de ses deux premiers discours de président de la République, il s'est engagé à favoriser l'initiative économique pour empêcher qu'une France divisée finisse par se déchirer.
"Les Français ont choisi le 7 mai dernier l'espoir et l'esprit de conquête", a dit le huitième président de la Ve République après la passation de pouvoir avec François Hollande.
"Depuis des décennies, la France doute d'elle-même", a ajouté le vainqueur de la présidentielle face Marine Le Pen, dans un discours à l'Elysée, avant d'insister sur l'exigence du rassemblement, lors d'un discours à l'hôtel de ville de Paris.
"Je n'oublie pas les fractures qui parcourent notre pays, les colères qui se sont exprimées à de multiples égards, les doutes parfois", a-t-il déclaré. "Cette réconciliation de toute la France, ce sera le coeur de ma mission."
Pour surmonter ces divisions, "je ne céderai sur rien des engagements pris vis-à-vis des Français. Tout ce qui concourt à la vigueur de la France et à sa prospérité sera mis en oeuvre", a promis l'ancien ministre de l'Economie.
"LE TRAVAIL SERA LIBÉRÉ"
"Le travail sera libéré, les entreprises seront soutenues, l'initiative sera encouragée, la culture et l'éducation (...), la création et l'innovation seront au coeur de mon action."
"Le défi des cinq prochaines années sera d'empêcher que notre pays ne se défasse, en diffusant la réussite, en élargissant le champ des opportunités, en faisant en sorte (...) que la mondialisation et l'ouverture de notre pays profitent à chacun", a-t-il encore déclaré.
À la veille de sa rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin, il a également promis de réformer l'Europe.
"L'Europe dont nous avons besoin sera refondée et relancée", a-t-il dit. "Nous aurons besoin d'une Europe plus efficace, plus démocratique, plus politique car elle est l'instrument de notre puissance et de notre souveraineté, j'y oeuvrerai."
"Je sais que les Françaises et les Français en cette heure attendent beaucoup de moi. Ils ont raison car le mandat qu'ils me confient leur donnent sur moi le droit d'une exigence absolue, j'en suis pleinement conscient", a encore déclaré Emmanuel Macron.
"Rien ne sera concédé à la facilité, ni au compromis, rien n'affaiblira ma détermination, rien ne me fera renoncer à défendre (...) les intérêts supérieurs de la France. J'aurai dans le même temps la volonté constante de réconcilier et rassembler l'ensemble des Français", a-t-il promis.
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