La vaccination contre la COVID-19 deviendra obligatoire « d’ici mi-septembre » pour tous les membres des forces armées américaines, a annoncé lundi le secrétaire à la Défense Lloyd Austin dans une note adressée aux employés du Pentagone.
Le président Joe Biden a déclaré dans un communiqué « fortement soutenir » cette décision, affirmant qu’il partageait avec M. Austin « un engagement immuable pour s’assurer que nos troupes aient tous les outils nécessaires afin d’effectuer leur travail aussi sûrement que possible ».
Le département de la Défense emploie 2,5 millions de soldats d’active et de la Garde nationale. Parmi eux, seulement un peu plus de la moitié sont partiellement ou totalement vaccinés contre la COVID-19, selon les chiffres du Pentagone, contre 58,7 % au sein de la population.
Certains hauts responsables américains s’inquiètent ainsi de l’impact que le virus pourrait potentiellement avoir sur les troupes et les opérations de combat.
Fin juillet, Joe Biden avait demandé à l’armée de réfléchir à « comment et quand » ajouter le vaccin contre la COVID-19 à la liste des vaccins obligatoires pour les troupes.
La Maison-Blanche avait fait savoir au même moment que des millions d’employés fédéraux devraient soit être vaccinés, soit se plier à une série de contraintes.
Plus de la moitié (50,1 %) de la population américaine est désormais entièrement vaccinée contre la COVID-19, selon les autorités sanitaires des États-Unis, alors que le pays subit depuis plusieurs semaines une flambée de l’épidémie liée au variant Delta.
La campagne de vaccination de masse a été menée tambour battant par l’administration Biden dès sa prise de fonctions. Mais après un pic début avril, le rythme des immunisations quotidiennes avait fortement baissé.
L’objectif fixé par Joe Biden d’au moins 70 % d’adultes ayant reçu au moins une injection n’a finalement été atteint qu’en début de semaine dernière, avec près d’un mois de retard.
Le nombre de vaccinations a toutefois légèrement rebondi depuis début juillet. (AFP)
Le président Joe Biden a déclaré dans un communiqué « fortement soutenir » cette décision, affirmant qu’il partageait avec M. Austin « un engagement immuable pour s’assurer que nos troupes aient tous les outils nécessaires afin d’effectuer leur travail aussi sûrement que possible ».
Le département de la Défense emploie 2,5 millions de soldats d’active et de la Garde nationale. Parmi eux, seulement un peu plus de la moitié sont partiellement ou totalement vaccinés contre la COVID-19, selon les chiffres du Pentagone, contre 58,7 % au sein de la population.
Certains hauts responsables américains s’inquiètent ainsi de l’impact que le virus pourrait potentiellement avoir sur les troupes et les opérations de combat.
Fin juillet, Joe Biden avait demandé à l’armée de réfléchir à « comment et quand » ajouter le vaccin contre la COVID-19 à la liste des vaccins obligatoires pour les troupes.
La Maison-Blanche avait fait savoir au même moment que des millions d’employés fédéraux devraient soit être vaccinés, soit se plier à une série de contraintes.
Plus de la moitié (50,1 %) de la population américaine est désormais entièrement vaccinée contre la COVID-19, selon les autorités sanitaires des États-Unis, alors que le pays subit depuis plusieurs semaines une flambée de l’épidémie liée au variant Delta.
La campagne de vaccination de masse a été menée tambour battant par l’administration Biden dès sa prise de fonctions. Mais après un pic début avril, le rythme des immunisations quotidiennes avait fortement baissé.
L’objectif fixé par Joe Biden d’au moins 70 % d’adultes ayant reçu au moins une injection n’a finalement été atteint qu’en début de semaine dernière, avec près d’un mois de retard.
Le nombre de vaccinations a toutefois légèrement rebondi depuis début juillet. (AFP)







FRANCE


