762 millions de dollars de bénéfices pour la compagnie aérienne Emirates. Une performance en hausse de 124% par rapport au dernier exercice. Le chiffre d’affaires, lui, est en hausse de 9% grâce aux revenus tirés du fret : 25,2 milliards de dollars. C’est là un des faits majeurs à retenir des résultats financiers 2017-2018 clos le 31 mars dernier et publiés par le transporteur de Dubai à travers un communiqué reçu à Impact ce jour.
Pour le Groupe Emirates qui a réalisé un chiffre d’affaires de 27,2 milliards de dollars, ajoute la même source, c’est la 30e année consécutive de rentabilité avec un bénéfice de 1,1 milliard de dollars», une croissance de l’activité considérée comme «robuste», ce qui a permis de verser des dividendes de 545 millions de dollars à Investment Corporation of Dubai, le fonds souverain des Emirats arabes unis (EAU).
Les résultats sont tout aussi reluisants pour la Dubai national air transport association (Dnata), avec un bénéfice de 359 millions de dollars sur l’exercice considéré. Le pôle du Groupe dédié à la fourniture de services aéroportuaires (restauration dans les avions, fret, manutention au sol, etc.). a réalisé un «chiffre d’affaires record» de 3,6 milliards de dollars dont 68% sont réalisés à l’international.
Ceci a été rendu possible grâce notamment à l’acquisition d’Air Logistix aux Etats-Unis qui a ouvert des perspectives sur le fret américain, «l’expansion des capacités de manutention de fret avec de nouveaux entrepôts et équipements» au niveau de grands aéroports européens comme Gatwick (Londres), Schiphol (Amsterdam) et Adélaïde (Australie). Pour la restauration, les installations construites à Dublin (Irelande) et Melbourne (Australie) ont également contribué à consolider les progrès du Groupe Emirati.
Réagissant à ces résultats, le PDG d’Emirates airline et du Groupe s’est réjoui que l’entreprise possède des capacités à «répondre aux défis de chaque cycle économique avec agilité, sans jamais perdre de vue l’avenir.» Dans un environnement mondial ultra-concurrentiel, le Cheikh Ahmed Bin Said Al Maktoum fait remarquer:
«Développer nos activités et augmenter notre chiffre d’affaires ne nous a pas empêché de renforcer notre maîtrise stricte des coûts. A l’échelle du Groupe, nous avons poursuivi la mise en œuvre de plusieurs initiatives de restructuration et optimisation de nos opérations de back-office qui ont permis le renouvellement de nos technologies, systèmes et processus. En 2017-2018, nous avons ralenti nos recrutements et réorganisé notre façon de travailler, et ainsi gagné en productivité tout en réduisant l’augmentation de nos frais de personnel.»
Aujourd’hui, la compagnie Emirates dispose d’une flotte de 268 aéronefs y compris des acquisitions nouvelles de 8 Airbus A380 et 9 Boeing 777-300ER faites grâce aux bons résultats de l’exercice précédent.
A rappeler que le Groupe émirati, avec plus de 80 filiales à travers le monde, a baissé de 2% ses effectifs qui sont au nombre de 103 363 personnes appartenant à 160 nationalités différentes, selon le communiqué cité plus haut.
Pour le Groupe Emirates qui a réalisé un chiffre d’affaires de 27,2 milliards de dollars, ajoute la même source, c’est la 30e année consécutive de rentabilité avec un bénéfice de 1,1 milliard de dollars», une croissance de l’activité considérée comme «robuste», ce qui a permis de verser des dividendes de 545 millions de dollars à Investment Corporation of Dubai, le fonds souverain des Emirats arabes unis (EAU).
Les résultats sont tout aussi reluisants pour la Dubai national air transport association (Dnata), avec un bénéfice de 359 millions de dollars sur l’exercice considéré. Le pôle du Groupe dédié à la fourniture de services aéroportuaires (restauration dans les avions, fret, manutention au sol, etc.). a réalisé un «chiffre d’affaires record» de 3,6 milliards de dollars dont 68% sont réalisés à l’international.
Ceci a été rendu possible grâce notamment à l’acquisition d’Air Logistix aux Etats-Unis qui a ouvert des perspectives sur le fret américain, «l’expansion des capacités de manutention de fret avec de nouveaux entrepôts et équipements» au niveau de grands aéroports européens comme Gatwick (Londres), Schiphol (Amsterdam) et Adélaïde (Australie). Pour la restauration, les installations construites à Dublin (Irelande) et Melbourne (Australie) ont également contribué à consolider les progrès du Groupe Emirati.
Réagissant à ces résultats, le PDG d’Emirates airline et du Groupe s’est réjoui que l’entreprise possède des capacités à «répondre aux défis de chaque cycle économique avec agilité, sans jamais perdre de vue l’avenir.» Dans un environnement mondial ultra-concurrentiel, le Cheikh Ahmed Bin Said Al Maktoum fait remarquer:
«Développer nos activités et augmenter notre chiffre d’affaires ne nous a pas empêché de renforcer notre maîtrise stricte des coûts. A l’échelle du Groupe, nous avons poursuivi la mise en œuvre de plusieurs initiatives de restructuration et optimisation de nos opérations de back-office qui ont permis le renouvellement de nos technologies, systèmes et processus. En 2017-2018, nous avons ralenti nos recrutements et réorganisé notre façon de travailler, et ainsi gagné en productivité tout en réduisant l’augmentation de nos frais de personnel.»
Aujourd’hui, la compagnie Emirates dispose d’une flotte de 268 aéronefs y compris des acquisitions nouvelles de 8 Airbus A380 et 9 Boeing 777-300ER faites grâce aux bons résultats de l’exercice précédent.
A rappeler que le Groupe émirati, avec plus de 80 filiales à travers le monde, a baissé de 2% ses effectifs qui sont au nombre de 103 363 personnes appartenant à 160 nationalités différentes, selon le communiqué cité plus haut.
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