Deux bateaux transportant quelque 160 migrants ont été secourus samedi en Méditerranée après trois jours en mer, a annoncé une association humanitaire. Mais on est sans nouvelles d’un troisième bateau de migrants qui avait été signalé comme étant dans une situation «critique» en même temps que les deux autres, a indiqué cette association, Alarm Phone, une structure de volontaires qui alerte sur les cas de migrants en difficulté.
«Nous sommes heureux de confirmer que 2 des 3 bateaux en détresse ont été secourus et conduits vers Lampedusa après avoir été TROIS JOURS sans assistance», a tweeté Alarm Phone. Lampedusa est une petite île italienne située au sud de la Sicile. Les deux bateaux secourus transportaient environ 160 migrants, mais le sort du troisième, à bord duquel se trouvaient quelque 110 personnes et qui avait été repéré au sud-ouest de Malte, était inconnu, a indiqué Alarm Phone.
Vendredi en fin de journée, Alarm Phone avait signalé la présence de trois bateaux de migrants qui se trouvaient dans ou près des zones de recherche et de secours maritimes de l’Italie et de Malte. Les embarcations avaient été repérées par la voie aérienne par une autre organisation humanitaire, Sea-Watch, qui avait appelé deux navires marchands naviguant à proximité à porter secours aux migrants.
Samedi, Alarm Phone a déclaré que les forces armées maltaises et les garde-côtes italiens avaient refusé d’assister ces migrants ou de coordonner des opérations de secours de ces bateaux avec les navires marchands de passage.
Cette affirmation d’Alarm Phone n’a pas pu être confirmée de manière indépendante. Ni les forces maltaises ni les garde-côtes italiens n’ont répondu immédiatement à des demandes d’information par téléphone et par e-mail.
Avant que deux des trois navires ne soient secourus, Alarm Phone a déclaré que l’un d’eux, à bord duquel se trouvaient environ 60 personnes, commençait à prendre l’eau, et qu’environ 100 migrants se trouvant à bord de l’autre étaient sans eau potable et sans nourriture depuis deux jours.
Plus de 1200 migrants clandestins ont péri l’année dernière en tentant de gagner l’Europe en traversant la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Depuis janvier, environ 300 sont morts ou ont été portés disparus au cours de ces traversées périlleuses, selon l’OIM. (AFP)
«Nous sommes heureux de confirmer que 2 des 3 bateaux en détresse ont été secourus et conduits vers Lampedusa après avoir été TROIS JOURS sans assistance», a tweeté Alarm Phone. Lampedusa est une petite île italienne située au sud de la Sicile. Les deux bateaux secourus transportaient environ 160 migrants, mais le sort du troisième, à bord duquel se trouvaient quelque 110 personnes et qui avait été repéré au sud-ouest de Malte, était inconnu, a indiqué Alarm Phone.
Vendredi en fin de journée, Alarm Phone avait signalé la présence de trois bateaux de migrants qui se trouvaient dans ou près des zones de recherche et de secours maritimes de l’Italie et de Malte. Les embarcations avaient été repérées par la voie aérienne par une autre organisation humanitaire, Sea-Watch, qui avait appelé deux navires marchands naviguant à proximité à porter secours aux migrants.
Samedi, Alarm Phone a déclaré que les forces armées maltaises et les garde-côtes italiens avaient refusé d’assister ces migrants ou de coordonner des opérations de secours de ces bateaux avec les navires marchands de passage.
Cette affirmation d’Alarm Phone n’a pas pu être confirmée de manière indépendante. Ni les forces maltaises ni les garde-côtes italiens n’ont répondu immédiatement à des demandes d’information par téléphone et par e-mail.
Avant que deux des trois navires ne soient secourus, Alarm Phone a déclaré que l’un d’eux, à bord duquel se trouvaient environ 60 personnes, commençait à prendre l’eau, et qu’environ 100 migrants se trouvant à bord de l’autre étaient sans eau potable et sans nourriture depuis deux jours.
Plus de 1200 migrants clandestins ont péri l’année dernière en tentant de gagner l’Europe en traversant la Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Depuis janvier, environ 300 sont morts ou ont été portés disparus au cours de ces traversées périlleuses, selon l’OIM. (AFP)
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