APA – Dakar (Sénégal) - La Côte d’Ivoire et le Sénégal figurent parmi les économies ‘’les plus performantes’’ du continent, selon un communiqué de la Banque mondiale publié ce jeudi.
Le Sénégal escompte cette année un taux de croissance avoisinant les 6% tandis que la Côte d’Ivoire mise sur un taux de croissance de 8,5% en fin d'exercice 2016, indique-t-on.
La dernière édition d’Africa’s Pulse, une publication semestrielle de la Banque mondiale lancée ce jour constate que la croissance s’est effondrée dans de nombreux pays, exceptés l’Ethiopie, le Rwanda et la Tanzanie qui affichent toujours en moyenne des taux annuels supérieurs à 6 pour cent.
‘’Il ressort de notre analyse que les pays qui s’en sortent le mieux sont également ceux qui disposent d’un cadre de gestion macroéconomique plus solide et d’une réglementation plus favorable aux activités commerciales.
« Leurs exportations sont aussi plus diversifiées et leurs institutions plus efficaces», a dit l’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, Albert Zeufack, cité par le communiqué.
Le rapport souligne en outre un ralentissement continu du taux de croissance de l’Afrique subsaharienne se situant à 1,6 pour cent en 2016, après avoir ralenti à 3 pour cent l’an dernier, soit son niveau le plus bas depuis 20 ans.
Ces contreperformances s’expliquent, selon la Banque, par les difficultés économiques rencontrées par les principales économies de la région.
Le Sénégal escompte cette année un taux de croissance avoisinant les 6% tandis que la Côte d’Ivoire mise sur un taux de croissance de 8,5% en fin d'exercice 2016, indique-t-on.
La dernière édition d’Africa’s Pulse, une publication semestrielle de la Banque mondiale lancée ce jour constate que la croissance s’est effondrée dans de nombreux pays, exceptés l’Ethiopie, le Rwanda et la Tanzanie qui affichent toujours en moyenne des taux annuels supérieurs à 6 pour cent.
‘’Il ressort de notre analyse que les pays qui s’en sortent le mieux sont également ceux qui disposent d’un cadre de gestion macroéconomique plus solide et d’une réglementation plus favorable aux activités commerciales.
« Leurs exportations sont aussi plus diversifiées et leurs institutions plus efficaces», a dit l’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique, Albert Zeufack, cité par le communiqué.
Le rapport souligne en outre un ralentissement continu du taux de croissance de l’Afrique subsaharienne se situant à 1,6 pour cent en 2016, après avoir ralenti à 3 pour cent l’an dernier, soit son niveau le plus bas depuis 20 ans.
Ces contreperformances s’expliquent, selon la Banque, par les difficultés économiques rencontrées par les principales économies de la région.
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