Le vice-président Mike Pence aurait déclaré à Donald Trump qu'il n'avait pas le pouvoir d'annuler le résultat des élections - quelques heures à peine avant qu'il ne préside la ratification par le Congrès de la victoire de Joe Biden.
Mercredi, M. Pence doit assumer son rôle constitutionnel pour superviser une session conjointe du Congrès, au cours de laquelle la Chambre et le Sénat voteront pour confirmer formellement la victoire de M. Biden. Il marque la dernière étape du processus avant son investiture.
Mardi, alors que les électeurs géorgiens votaient pour sélectionner deux sénateurs, une décision qui déterminera quel parti contrôle le Sénat lorsque M. Biden entre à la Maison Blanche, M. Trump avait tweeté que son vice-président des quatre dernières années avait le pouvoir de «rejeter» des électeurs frauduleusement choisis ».
Les observateurs ont souligné que le tweet était erroné à plusieurs égards; il n'y a aucune preuve de fraude ou de corruption lors des élections de 2020, et les pouvoirs de M. Pence à la session conjointe du Congrès sont en grande partie cérémoniels. (Au Sénat, en revanche, il a le pouvoir de voter en cas d'égalité des voix.)
Le New York Times a rapporté que mardi, M. Pence a déclaré à M. Trump qu'il n'avait pas le pouvoir de bloquer le passage de M. Biden au bureau ovale.
Au cours d’un meeting de soutien aux deux candidats de Géorgie et vu sur la chaîne France24, Donald Trump avait subtilement appelé le « grand vice-président Mike Pence » à s’impliquer pour lui dans la certification de la victoire de Joe Biden par le Congrès américain. En ironisant, il avait indiqué que si Pence ne le soutenait pas, il l’aimerait toujours « mais un peu moins ». (The Independent avec impact.sn)
Mercredi, M. Pence doit assumer son rôle constitutionnel pour superviser une session conjointe du Congrès, au cours de laquelle la Chambre et le Sénat voteront pour confirmer formellement la victoire de M. Biden. Il marque la dernière étape du processus avant son investiture.
Mardi, alors que les électeurs géorgiens votaient pour sélectionner deux sénateurs, une décision qui déterminera quel parti contrôle le Sénat lorsque M. Biden entre à la Maison Blanche, M. Trump avait tweeté que son vice-président des quatre dernières années avait le pouvoir de «rejeter» des électeurs frauduleusement choisis ».
Les observateurs ont souligné que le tweet était erroné à plusieurs égards; il n'y a aucune preuve de fraude ou de corruption lors des élections de 2020, et les pouvoirs de M. Pence à la session conjointe du Congrès sont en grande partie cérémoniels. (Au Sénat, en revanche, il a le pouvoir de voter en cas d'égalité des voix.)
Le New York Times a rapporté que mardi, M. Pence a déclaré à M. Trump qu'il n'avait pas le pouvoir de bloquer le passage de M. Biden au bureau ovale.
Au cours d’un meeting de soutien aux deux candidats de Géorgie et vu sur la chaîne France24, Donald Trump avait subtilement appelé le « grand vice-président Mike Pence » à s’impliquer pour lui dans la certification de la victoire de Joe Biden par le Congrès américain. En ironisant, il avait indiqué que si Pence ne le soutenait pas, il l’aimerait toujours « mais un peu moins ». (The Independent avec impact.sn)
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