Par Khaly Moustapha LEYE
Versant droit du couloir de la mort, ce dimanche… C'est parti le coup d'envoi est donné et les options se précisent. Ce dimanche, à 18 heures précises le dépouillement va se faire, les représentants du bureau électoral vont procéder au comptage des voix recueillies et exprimée par les électeurs et électrices pour chacun des candidats. Par ci on dira Idy en exhumation son bulletin ailleurs ce sera Macky, puis Sonko et par là Madické Niang ou Issa Sall en donnant par voix obtenues le nombre de suffrages exprimés.
Ainsi cette foutue élection aura donc eu lieu contrairement aux cieux et craintes avérées justes réelles ou fictives des appelants au boycott - report et ceux du boycott - sabotage. C'est dire que la République se tient bien droite dans ses bottes et que rien ne vacille comme tous les républicains sont d'accords avec les démocrates autour de la gestion consensuelle de la sphère du pouvoir. Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil circulez il n'y a rien à voir au Sénégal si ce n'est la paix tout est bien qui finit bien Cassandre cassez- vous! Soit et admettons. Mais dans le cas échéant quel aveuglement alors ? Oh, de quelle grande cécité politique est aussi frappée cette classe politique pour n'avoir pas vu venir ? Quoi donc? Le phénomène du couloir de la mort qui a plané tout au long de la campagne spectre de la violence globale généralisée et radicalisant. À son versant droit gauche sud et Nord sans le vouloir de la mort nulle échappatoire. On leur dira "barrage totalement défendu de franchir".
C'est ce moment fatidique si craint qui motivait l'appel au boycott-report à décembre de la présidentielle parce qu'au vu de la nature des actes de violences apparus il y a une lecture à faire qui expliquerait bien d'événements postérieurs à l'élection qui vont apparaître comme inédits et surprenants. Le but de la sociologie étant de prévoir un pronostic après un diagnostic établi, il n'est que tôt affirmé de notre part que point clash sociétal il n'y aura. Là n'est pas la problématique. Celle se concentre dans la question suivante : que vont devenir nous mêmes et nos enfants sans nous mêmes dans un futur proche après la constatation de tant de maux et périls dans la société et tous ces actes types natures et genres de violences exercés en notre sein entre nous par nous mêmes sur les autres et les autres sur nous mêmes ? En quelque sorte la guerre de tous contre tous lorsque patriotes et rewmistes seront opposés au 2ème tour de cette présidentielle avec l'arbitrage des républicains hétéroclites au pouvoir qui se chercheraient en cherchant à sauver leur tête car ayant perdu dès le 1er tour; et la guerre des dieux de la politique si c'est le pouvoir qui l'emporte dès le 1er tour au détriment des 25 recalés et des repêchés au nombre de 4.
Ce scénario n'est pas une fiction politique de voir le Sénégal et le Nigeria devenir cibles en vue de la prochaine offensive de l'international et de la déstabilisation. On ne s'étonnera donc pas qu'à la faveur d'une complication électorale les gens en soient venus aux mains avec des armes portées dans l'intention notoire de nuire volontairement à autrui. Une scène qu'on a malheureusement fait vivre à nos confrères journalistes à Tambacounda quand des émeutiers s'en sont pris à des caravaniers politiques.
constatation de tant de maux et périls dans la société
Pas besoin d'être plus clair si nous nous comprenons déjà fort bien quant à la suite des émeutes nées ou provoquées ci et là et surtout le déroulement du prochain futur virtuel contentieux postélectoral apparu dans ces deux pays citadelles imprenables en zone Cedeao encore à l'abri des coups de boutoir de la frénésie des multinationales nouvelles agences vrp des armées occidentales elles mêmes centrales de recrutement et de formation d'éléments des groupes tactiques opérationnelles transformés groupes djihadistes autrement dit les ramifications du bokko Haram au Sahel.
Ce versant droit du couloir de la mort à la présidentielle de février 2019 au Sénégal et au Nigeria dans l'espace Cedeao ne peut pas apparaître précipice chez nous du seul fait des causes pro domo de Khalifa Sall maire de Dakar révoqué et Karim Wade ancien candidat à la mairie de Dakar ancien ministre du ciel et de la terre actuel candidat en cassation à cette présidentielle devant on ne sait encore qu'elle nouvelle juridiction ce 4 mars et ce pour sa participation à une élection prévue pour se tenir scrutin après demain à compter de ce vendredi 22 février dernier jour de campagne électorale donc à moins de 48 heures du vote du dimanche 24 février 2019.
Toutes choses restant égales par ailleurs le lieu d'apparition d'un phénomène n'est pas son seul lieu d'explication avec son corollaire de milices urbaines de parti loubards et de groupes para militaires armés séparatistes en sédition rebelles régionalistes et intégristes barbus irrédentistes. Nous pouvons encore boycotter dans les délais en la forme et la manière : "ferme".
PS : L'auteur, illustre anonyme, acteur conscient et militant panafricaniste engagé pour la paix civile et sociale au nom de l'intérêt supérieur de la nation. Le correcteur, "bax baxa".
Khaly-Mous (Ras Staf)
Consultant correcteur de presse/+221.7785066 12/+221.703009172 cradif.bgom@hotmailcom,
Versant droit du couloir de la mort, ce dimanche… C'est parti le coup d'envoi est donné et les options se précisent. Ce dimanche, à 18 heures précises le dépouillement va se faire, les représentants du bureau électoral vont procéder au comptage des voix recueillies et exprimée par les électeurs et électrices pour chacun des candidats. Par ci on dira Idy en exhumation son bulletin ailleurs ce sera Macky, puis Sonko et par là Madické Niang ou Issa Sall en donnant par voix obtenues le nombre de suffrages exprimés.
Ainsi cette foutue élection aura donc eu lieu contrairement aux cieux et craintes avérées justes réelles ou fictives des appelants au boycott - report et ceux du boycott - sabotage. C'est dire que la République se tient bien droite dans ses bottes et que rien ne vacille comme tous les républicains sont d'accords avec les démocrates autour de la gestion consensuelle de la sphère du pouvoir. Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil circulez il n'y a rien à voir au Sénégal si ce n'est la paix tout est bien qui finit bien Cassandre cassez- vous! Soit et admettons. Mais dans le cas échéant quel aveuglement alors ? Oh, de quelle grande cécité politique est aussi frappée cette classe politique pour n'avoir pas vu venir ? Quoi donc? Le phénomène du couloir de la mort qui a plané tout au long de la campagne spectre de la violence globale généralisée et radicalisant. À son versant droit gauche sud et Nord sans le vouloir de la mort nulle échappatoire. On leur dira "barrage totalement défendu de franchir".
C'est ce moment fatidique si craint qui motivait l'appel au boycott-report à décembre de la présidentielle parce qu'au vu de la nature des actes de violences apparus il y a une lecture à faire qui expliquerait bien d'événements postérieurs à l'élection qui vont apparaître comme inédits et surprenants. Le but de la sociologie étant de prévoir un pronostic après un diagnostic établi, il n'est que tôt affirmé de notre part que point clash sociétal il n'y aura. Là n'est pas la problématique. Celle se concentre dans la question suivante : que vont devenir nous mêmes et nos enfants sans nous mêmes dans un futur proche après la constatation de tant de maux et périls dans la société et tous ces actes types natures et genres de violences exercés en notre sein entre nous par nous mêmes sur les autres et les autres sur nous mêmes ? En quelque sorte la guerre de tous contre tous lorsque patriotes et rewmistes seront opposés au 2ème tour de cette présidentielle avec l'arbitrage des républicains hétéroclites au pouvoir qui se chercheraient en cherchant à sauver leur tête car ayant perdu dès le 1er tour; et la guerre des dieux de la politique si c'est le pouvoir qui l'emporte dès le 1er tour au détriment des 25 recalés et des repêchés au nombre de 4.
Ce scénario n'est pas une fiction politique de voir le Sénégal et le Nigeria devenir cibles en vue de la prochaine offensive de l'international et de la déstabilisation. On ne s'étonnera donc pas qu'à la faveur d'une complication électorale les gens en soient venus aux mains avec des armes portées dans l'intention notoire de nuire volontairement à autrui. Une scène qu'on a malheureusement fait vivre à nos confrères journalistes à Tambacounda quand des émeutiers s'en sont pris à des caravaniers politiques.
constatation de tant de maux et périls dans la société
Pas besoin d'être plus clair si nous nous comprenons déjà fort bien quant à la suite des émeutes nées ou provoquées ci et là et surtout le déroulement du prochain futur virtuel contentieux postélectoral apparu dans ces deux pays citadelles imprenables en zone Cedeao encore à l'abri des coups de boutoir de la frénésie des multinationales nouvelles agences vrp des armées occidentales elles mêmes centrales de recrutement et de formation d'éléments des groupes tactiques opérationnelles transformés groupes djihadistes autrement dit les ramifications du bokko Haram au Sahel.
Ce versant droit du couloir de la mort à la présidentielle de février 2019 au Sénégal et au Nigeria dans l'espace Cedeao ne peut pas apparaître précipice chez nous du seul fait des causes pro domo de Khalifa Sall maire de Dakar révoqué et Karim Wade ancien candidat à la mairie de Dakar ancien ministre du ciel et de la terre actuel candidat en cassation à cette présidentielle devant on ne sait encore qu'elle nouvelle juridiction ce 4 mars et ce pour sa participation à une élection prévue pour se tenir scrutin après demain à compter de ce vendredi 22 février dernier jour de campagne électorale donc à moins de 48 heures du vote du dimanche 24 février 2019.
Toutes choses restant égales par ailleurs le lieu d'apparition d'un phénomène n'est pas son seul lieu d'explication avec son corollaire de milices urbaines de parti loubards et de groupes para militaires armés séparatistes en sédition rebelles régionalistes et intégristes barbus irrédentistes. Nous pouvons encore boycotter dans les délais en la forme et la manière : "ferme".
PS : L'auteur, illustre anonyme, acteur conscient et militant panafricaniste engagé pour la paix civile et sociale au nom de l'intérêt supérieur de la nation. Le correcteur, "bax baxa".
Khaly-Mous (Ras Staf)
Consultant correcteur de presse/+221.7785066 12/+221.703009172 cradif.bgom@hotmailcom,
PRÉSIDENTIELLE 2024
FRANCE
