MARSEILLE (Reuters) - Jean-Luc Mélenchon a annoncé jeudi deux manifestations à Marseille, les 14 et 19 avril prochains, contre Emmanuel Macron, formant le voeu qu'elles marquent le départ d'"une mobilisation générale" contre les réformes gouvernementales.
"Le président des riches a décidé de nous affronter, nous ripostons. Nous allons voir qui aura le dernier mot. Si nous avons la sagesse de nous fédérer dans tout le pays comme nous le faisons à Marseille, le dernier mot nous reviendra", a déclaré le député de La France insoumise lors d'une conférence de presse.
"A ceux qui me disent que je rêve d’un mai 68 avec un sourire en biais, je réponds que oui c’est un beau rêve. Je préfère mon beau rêve aux cauchemars qui sont en train de se déployer. Cela ferait vraiment un coup de frais sur le pays que de voir balayer le régime politique qui est en train de se mettre en place", a ajouté l'élu des Bouches-du-Rhône.
L'ancien candidat à la présidentielle était entouré d'un collectif rassemblant notamment les représentants locaux du Parti communiste, du NPA, du Parti de gauche, de la CGT, FSU, Sud Solidaires, de l'Unef, d'Attac ou encore du Mouvement pour la paix.
Evoquant les grèves à la SNCF contre la réforme de l'entreprise publique, Jean-Luc Mélenchon a affirmé que "toute cette souffrance" émanait des "visions idéologiques fumeuses du pouvoir".
"Le président des riches a décidé de nous affronter, nous ripostons. Nous allons voir qui aura le dernier mot. Si nous avons la sagesse de nous fédérer dans tout le pays comme nous le faisons à Marseille, le dernier mot nous reviendra", a déclaré le député de La France insoumise lors d'une conférence de presse.
"A ceux qui me disent que je rêve d’un mai 68 avec un sourire en biais, je réponds que oui c’est un beau rêve. Je préfère mon beau rêve aux cauchemars qui sont en train de se déployer. Cela ferait vraiment un coup de frais sur le pays que de voir balayer le régime politique qui est en train de se mettre en place", a ajouté l'élu des Bouches-du-Rhône.
L'ancien candidat à la présidentielle était entouré d'un collectif rassemblant notamment les représentants locaux du Parti communiste, du NPA, du Parti de gauche, de la CGT, FSU, Sud Solidaires, de l'Unef, d'Attac ou encore du Mouvement pour la paix.
Evoquant les grèves à la SNCF contre la réforme de l'entreprise publique, Jean-Luc Mélenchon a affirmé que "toute cette souffrance" émanait des "visions idéologiques fumeuses du pouvoir".
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