«La dette ? Quelle dette ? » C’est par cette interrogation que le président de la République a balayé «les sirènes» et «les colporteurs de mauvais aloi» qui mettent en cause la politique d’endettement du Sénégal. « Nous ne nous sommes pas endettés pour faire du fonctionnement ou pour entretenir des politiciens. Nous nous sommes endettés justement pour les accès universels», s’est défendu le chef de l’Etat à l’ouverture du Panel organisé par les cadres de son parti.
«Les populations des zones frontalières devront-elles attendre 50 ans pour avoir de l’électricité, de l’eau potable, avoir accès à la santé ? Le Sénégal devait-il renoncer à prendre en charge l’exploitation de ses ressources et en tirer le meilleur profit ? », s’est-il encore interrogé. «Voilà la question ! »
Appelant les cadres Apr à être «fiers de ce que nous faisons», le président Sall a dit «assumer» la politiquement d’endettement du Sénégal. «Quel est le pays au monde qui ne s’endette pas pour son développement ? Que l’on me donne un exemple, un seul. Cela n’existe pas…»
«Les populations des zones frontalières devront-elles attendre 50 ans pour avoir de l’électricité, de l’eau potable, avoir accès à la santé ? Le Sénégal devait-il renoncer à prendre en charge l’exploitation de ses ressources et en tirer le meilleur profit ? », s’est-il encore interrogé. «Voilà la question ! »
Appelant les cadres Apr à être «fiers de ce que nous faisons», le président Sall a dit «assumer» la politiquement d’endettement du Sénégal. «Quel est le pays au monde qui ne s’endette pas pour son développement ? Que l’on me donne un exemple, un seul. Cela n’existe pas…»
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