En Côte d’Ivoire, à l’instigation du Conseil national coton-anacarde (CCA), une cinquantaine d’équipementiers, transformateurs et structures d’appui, notamment l’Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB), se sont réunis au cours de ce mois de décembre à Yamoussoukro et ont créé une plateforme pour prendre part à l’émergence d’une véritable industrie locale de fabrication et de maintenance de matériels et équipements destinés à la transformation de l’anacarde.
Le Conseil a ouvert d’importants chantiers en vue de faciliter l’installation d’unités industrielles de transformation, notamment l’aménagement ce mois-ci de zones à Bondoukou et Korhogo, rapporte l’AIP.
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou et entend mettre un coup d’accélérateur sur la transformation de tous les produits et sous-produits de l’anacarde. «L’institution du Salon international des équipements et des technologies de l’anacarde (Sietta) sous l’impulsion du CCA, dont l’édition de 2020 n’a pas pu malheureusement se tenir du fait de la pandémie de la Covid 19, est la preuve de notre volonté de promouvoir la transformation locale par une politique de transfert progressif de technologie », a déclaré le directeur général du Conseil national coton-anacarde, Adama Coulibaly.
En mai dernier, un ingénieur agricole sénégalais avait annoncé un manque à gagner de 50 milliards de francs CFA équivalent à 30 000 tonnes d’anacarde au détriment des producteurs de la Casamance, région sud du Sénégal. Une perte due autant à l’absence d’industrie de transformation à travers le pays qu’à l’absence notable d’acheteurs étrangers en cette période de pandémie à coronavirus. (avec commodafrica.com)
https://www.impact.sn/Anacarde-en-Casamance-un-manque-a-gagner-potentiel-de-50-milliards-FCFA-pour-mevente_a20220.html
Le Conseil a ouvert d’importants chantiers en vue de faciliter l’installation d’unités industrielles de transformation, notamment l’aménagement ce mois-ci de zones à Bondoukou et Korhogo, rapporte l’AIP.
La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou et entend mettre un coup d’accélérateur sur la transformation de tous les produits et sous-produits de l’anacarde. «L’institution du Salon international des équipements et des technologies de l’anacarde (Sietta) sous l’impulsion du CCA, dont l’édition de 2020 n’a pas pu malheureusement se tenir du fait de la pandémie de la Covid 19, est la preuve de notre volonté de promouvoir la transformation locale par une politique de transfert progressif de technologie », a déclaré le directeur général du Conseil national coton-anacarde, Adama Coulibaly.
En mai dernier, un ingénieur agricole sénégalais avait annoncé un manque à gagner de 50 milliards de francs CFA équivalent à 30 000 tonnes d’anacarde au détriment des producteurs de la Casamance, région sud du Sénégal. Une perte due autant à l’absence d’industrie de transformation à travers le pays qu’à l’absence notable d’acheteurs étrangers en cette période de pandémie à coronavirus. (avec commodafrica.com)
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