Les Etats-Unis ont averti jeudi le régime de Nicolas Maduro que l’opposant Juan Guaido devait pouvoir rentrer en toute sécurité au Venezuela après sa visite à Washington.
« Nous espérons que le régime fera le calcul, surtout après ce voyage, que le soutien à Guaido est tel que toute action le visant se retournerait contre le régime », a déclaré Elliott Abrams, l’émissaire des Etats-Unis pour le Venezuela, à des journalistes.
Réélu le 5 janvier président de l’Assemblée nationale, seule institution vénézuélienne tenue par l’opposition, M. Guaido a rejeté l’interdiction de quitter le pays décidée à son encontre par les autorités loyales à M. Maduro.
Depuis Miami, le chef de l’opposition, reconnu par les Etats-Unis et plus d’une cinquantaine de pays comme président par intérim, avait annoncé samedi son retour imminent au Venezuela après une tournée internationale.
Interrogé sur les mesures auxquelles les Etats-Unis pourraient recourir pour s’assurer du retour en sécurité de M. Guaido, l’émissaire des Etats-Unis pour le Venezuela a simplement indiqué: « Nous sommes prêts ».
Juan Guaido, a rencontré jeudi le secrétaire d’Etat Mike Pompeo après été reçu mercredi à la Maison Blanche et avoir été « invité d’honneur » du discours de Donald Trump sur l’état de l’Union devant le Congrès, mardi à Washington.
Nicolas Maduro, à la tête du Venezuela depuis 2013, a été réélu pour un second mandat en 2018 à l’issue d’un scrutin boycotté par l’opposition qui en a rejeté les résultats, comme une grande partie de la communauté internationale.
Washington tente depuis des mois d’asphyxier le gouvernement vénézuélien avec des sanctions économiques contre ce pays aux immenses réserves pétrolières.
Le président vénézuélien, grand pourfendeur de « l’impérialisme nord-américain », martèle qu’il est « prêt pour la bagarre » et qu’il n’a aucunement l’intention de céder sa place.
« Nous espérons que le régime fera le calcul, surtout après ce voyage, que le soutien à Guaido est tel que toute action le visant se retournerait contre le régime », a déclaré Elliott Abrams, l’émissaire des Etats-Unis pour le Venezuela, à des journalistes.
Réélu le 5 janvier président de l’Assemblée nationale, seule institution vénézuélienne tenue par l’opposition, M. Guaido a rejeté l’interdiction de quitter le pays décidée à son encontre par les autorités loyales à M. Maduro.
Depuis Miami, le chef de l’opposition, reconnu par les Etats-Unis et plus d’une cinquantaine de pays comme président par intérim, avait annoncé samedi son retour imminent au Venezuela après une tournée internationale.
Interrogé sur les mesures auxquelles les Etats-Unis pourraient recourir pour s’assurer du retour en sécurité de M. Guaido, l’émissaire des Etats-Unis pour le Venezuela a simplement indiqué: « Nous sommes prêts ».
Juan Guaido, a rencontré jeudi le secrétaire d’Etat Mike Pompeo après été reçu mercredi à la Maison Blanche et avoir été « invité d’honneur » du discours de Donald Trump sur l’état de l’Union devant le Congrès, mardi à Washington.
Nicolas Maduro, à la tête du Venezuela depuis 2013, a été réélu pour un second mandat en 2018 à l’issue d’un scrutin boycotté par l’opposition qui en a rejeté les résultats, comme une grande partie de la communauté internationale.
Washington tente depuis des mois d’asphyxier le gouvernement vénézuélien avec des sanctions économiques contre ce pays aux immenses réserves pétrolières.
Le président vénézuélien, grand pourfendeur de « l’impérialisme nord-américain », martèle qu’il est « prêt pour la bagarre » et qu’il n’a aucunement l’intention de céder sa place.
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