SEOUL (Reuters) - L'ex-présidente sud-coréenne Park Geun-hye, destituée pour trafic d'influence, a été arrêtée vendredi matin (heure de Séoul), rapporte l'agence sud-coréenne de presse Yonhap.
La cour centrale du district de Séoul a émis un mandat d'arrêt contre l'ancienne présidente, qui est accusée de corruption, d'abus de pouvoir, de coercition et de divulgation de secrets d'État, précise l'agence.
La destitution de l'ex-présidente, votée massivement par les députés début décembre, a été confirmée le 10 mars dernier par la Cour constitutionnelle du pays à l'unanimité de ses huit juges.
Park, qui est âgée de 65 ans, est accusée d'être à l'origine, avec son amie Choi Soon-sil, de pressions sur des conglomérats sud-coréens en vue d'obtenir des dons pour deux fondations soutenant sa politique.
Elle peut être maintenue en détention pour une période pouvant aller jusqu'à 20 jours.
La cour centrale du district de Séoul a émis un mandat d'arrêt contre l'ancienne présidente, qui est accusée de corruption, d'abus de pouvoir, de coercition et de divulgation de secrets d'État, précise l'agence.
La destitution de l'ex-présidente, votée massivement par les députés début décembre, a été confirmée le 10 mars dernier par la Cour constitutionnelle du pays à l'unanimité de ses huit juges.
Park, qui est âgée de 65 ans, est accusée d'être à l'origine, avec son amie Choi Soon-sil, de pressions sur des conglomérats sud-coréens en vue d'obtenir des dons pour deux fondations soutenant sa politique.
Elle peut être maintenue en détention pour une période pouvant aller jusqu'à 20 jours.