New York (awp/afp) - L'euro, toujours fragilisé par les inquiétudes relatives au budget italien, reculait mercredi face à un dollar qui profitait pour sa part d'indicateurs encourageants sur l'économie américaine.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique valait 1,1514 dollar, contre 1,1548 dollar mardi soir. La monnaie unique avait entamé la séance européenne en hausse, après cinq séances de baisse d'affilée, portée par des informations de médias italiens affirmant que le pays pourrait revoir sa prévision de déficit public à la baisse pour satisfaire Bruxelles.
Dans l'espoir de calmer les marchés et les inquiétudes de la Commission européenne et de certains pays européens, le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte, a confirmé que Rome s'était résolu à abaisser sa prévision de déficit public.
"Le rapport déficit/PIB sera l'année prochaine de 2,4% mais baissera les années suivantes à 2,1% en 2020 et en 2021 il sera de 1,8%", a-t-il promis lors d'une conférence de presse.
"Cette nouvelle a quelque peu allégé les inquiétudes sur le fait que l'Italie est en train d'atteindre un point de non-retour", a souligné Konstantinos Anthis, analyste pour ADS Securities.
Mais "ce n'est vraiment pas suffisant pour atténuer les inquiétudes pour de bon", a ajouté Lee Hardman, analyste pour MUFG.
Pour Craig Erlam, de Oanda, la crise italienne "reflète un risque très réel que le public devienne plus eurosceptique", entrainant de nouvelles spéculations sur l'appartenance du pays à la zone euro.
La monnaie unique a aussi été lestée, selon les analystes de Wells Fargo, par l'annonce d'une baisse inattendue des ventes au détail dans la zone euro en août.
Le billet vert de son côté a bénéficié de deux indicateurs de bonne tenue.
Sur l'emploi d'une part, avec la forte augmentation des embauches dans le secteur privé en septembre aux Etats-Unis, avec 230.000 nouveaux emplois.
Sur l'activité dans les services d'autres part, l'indice ISM montrant que la croissance du secteur s'était accélérée plus que prévu.
Ces données solides confortent l'intention de la Réserve fédérale de poursuivre la remontée de ses taux d'intérêt, de bon augure pour le dollar.
La livre britannique, de son côté, n'a pas particulièrement réagi au discours de la Première ministre, Theresa May, qui a appelé son camp à l'unité.
Vers 19H00 GMT, l'euro grimpait légèrement face au yen, à 131,61 yens pour un euro, contre 131,23 mardi soir.
Le dollar montait face à la devise japonaise, à 114,30 yens, contre 113,65 yens mardi à 21H00 GMT.
L'once d'or valait 1.198,82 dollars, contre 1.203,34 dollars mardi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise ne s'échangeait pas pour cause de semaine fériée en Chine continentale. Elle avait fini vendredi à 15H30 GMT à 6,8688 yuans pour un dollar.
Le bitcoin s'échangeait à 6.427,40 dollars, contre 6.524,30 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique valait 1,1514 dollar, contre 1,1548 dollar mardi soir.
Dans l'espoir de calmer les marchés et les inquiétudes de la Commission européenne et de certains pays européens, le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte, a confirmé que Rome s'était résolu à abaisser sa prévision de déficit public.
"Le rapport déficit/PIB sera l'année prochaine de 2,4% mais baissera les années suivantes à 2,1% en 2020 et en 2021 il sera de 1,8%", a-t-il promis lors d'une conférence de presse.
"Cette nouvelle a quelque peu allégé les inquiétudes sur le fait que l'Italie est en train d'atteindre un point de non-retour", a souligné Konstantinos Anthis, analyste pour ADS Securities.
Mais "ce n'est vraiment pas suffisant pour atténuer les inquiétudes pour de bon", a ajouté Lee Hardman, analyste pour MUFG.
Pour Craig Erlam, de Oanda, la crise italienne "reflète un risque très réel que le public devienne plus eurosceptique", entrainant de nouvelles spéculations sur l'appartenance du pays à la zone euro.
La monnaie unique a aussi été lestée, selon les analystes de Wells Fargo, par l'annonce d'une baisse inattendue des ventes au détail dans la zone euro en août.
Le billet vert de son côté a bénéficié de deux indicateurs de bonne tenue.
Sur l'emploi d'une part, avec la forte augmentation des embauches dans le secteur privé en septembre aux Etats-Unis, avec 230.000 nouveaux emplois.
Sur l'activité dans les services d'autres part, l'indice ISM montrant que la croissance du secteur s'était accélérée plus que prévu.
Ces données solides confortent l'intention de la Réserve fédérale de poursuivre la remontée de ses taux d'intérêt, de bon augure pour le dollar.
La livre britannique, de son côté, n'a pas particulièrement réagi au discours de la Première ministre, Theresa May, qui a appelé son camp à l'unité.
Vers 19H00 GMT, l'euro grimpait légèrement face au yen, à 131,61 yens pour un euro, contre 131,23 mardi soir.
Le dollar montait face à la devise japonaise, à 114,30 yens, contre 113,65 yens mardi à 21H00 GMT.
L'once d'or valait 1.198,82 dollars, contre 1.203,34 dollars mardi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise ne s'échangeait pas pour cause de semaine fériée en Chine continentale. Elle avait fini vendredi à 15H30 GMT à 6,8688 yuans pour un dollar.
Le bitcoin s'échangeait à 6.427,40 dollars, contre 6.524,30 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
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