Olivier Dussopt, ministre du Travail visé par une enquête du PNF pour "favoritisme"
L'enquête préliminaire pour prise illégale d'intérêt avait été ouverte contre Olivier Dussopt, à propos de deux lithographies du peintre Gérard Garouste qui lui avaient été offertes par une entreprise en 2017, alors qu'il était député-maire d'Annonay.
Le ministre du Travail visé par une enquête. Olivier Dussopt a annoncé, vendredi 3 février à l'AFP, que le parquet national financier (PNF) avait retenu l'infraction de "favoritisme" dans l'affaire de deux œuvres d'art reçues en cadeau en 2017. Dans une note de synthèse adressée à son avocat, "le parquet considère qu'il subsiste un seul grief, en l'occurrence une infraction formelle de favoritisme dans un marché public de 2009", a déclaré Olivier Dussopt, ajoutant qu'"aucune corruption" ne lui est reprochée.
Une enquête préliminaire pour prise illégale d'intérêt avait été ouverte contre Olivier Dussopt, à propos de deux lithographies du peintre Gérard Garouste qui lui avaient été offertes par une entreprise en 2017, alors qu'il était député-maire d'Annonay. L'enquête devait vérifier de possibles faits de "corruption" et de "prise illégale d'intérêt".
Deux lithographies offertes par un dirigeant d'entreprise
Dans sa déclaration à l'AFP vendredi soir, le ministre en première ligne sur la réforme contestée des retraites, indique que le PNF "a fait son travail et a procédé à une enquête et de multiples investigations qui ont fait émerger cinq griefs possibles". "Mes expressions orales et écrites ont largement convaincu le Parquet", qui "considère que quatre sur cinq de ces griefs n'ont aucune consistance et les a classés sans suite".
Ces deux lithographies avaient été offertes par un dirigeant local de la Saur, groupe français de traitement de l'eau, alors qu'un contrat était sur le point d'être conclu entre la ville d'Annonay (Ardèche) et cette entreprise. Le contrat, négocié depuis 2016, a été formellement signé six mois plus tard, le 1er juin 2017.
Olivier Dussopt avait alors expliqué n'avoir pas déclaré ces lithographies à la déontologue de l'Assemblée nationale, comme c'est requis pour tout cadeau de plus de 150 euros, car il "ignorait la valeur" des deux tableaux. Il les avait ensuite restitués.
Le ministre du Travail visé par une enquête. Olivier Dussopt a annoncé, vendredi 3 février à l'AFP, que le parquet national financier (PNF) avait retenu l'infraction de "favoritisme" dans l'affaire de deux œuvres d'art reçues en cadeau en 2017. Dans une note de synthèse adressée à son avocat, "le parquet considère qu'il subsiste un seul grief, en l'occurrence une infraction formelle de favoritisme dans un marché public de 2009", a déclaré Olivier Dussopt, ajoutant qu'"aucune corruption" ne lui est reprochée.
Une enquête préliminaire pour prise illégale d'intérêt avait été ouverte contre Olivier Dussopt, à propos de deux lithographies du peintre Gérard Garouste qui lui avaient été offertes par une entreprise en 2017, alors qu'il était député-maire d'Annonay. L'enquête devait vérifier de possibles faits de "corruption" et de "prise illégale d'intérêt".
Deux lithographies offertes par un dirigeant d'entreprise
Dans sa déclaration à l'AFP vendredi soir, le ministre en première ligne sur la réforme contestée des retraites, indique que le PNF "a fait son travail et a procédé à une enquête et de multiples investigations qui ont fait émerger cinq griefs possibles". "Mes expressions orales et écrites ont largement convaincu le Parquet", qui "considère que quatre sur cinq de ces griefs n'ont aucune consistance et les a classés sans suite".
Ces deux lithographies avaient été offertes par un dirigeant local de la Saur, groupe français de traitement de l'eau, alors qu'un contrat était sur le point d'être conclu entre la ville d'Annonay (Ardèche) et cette entreprise. Le contrat, négocié depuis 2016, a été formellement signé six mois plus tard, le 1er juin 2017.
Olivier Dussopt avait alors expliqué n'avoir pas déclaré ces lithographies à la déontologue de l'Assemblée nationale, comme c'est requis pour tout cadeau de plus de 150 euros, car il "ignorait la valeur" des deux tableaux. Il les avait ensuite restitués.
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