Photo Dakaractu
Au point de presse qu’il a animé cet après-midi et consacré en particulier aux révélations explosives de la BBC sur les relations entre Aliou Sall et Franck Timis, le procureur de la République a appelé toutes les personnes détentrices d’informations, de documents et de pistes à prendre contact avec la Division des investigations criminelles (DIC) de la Police judiciaire.
Ces derniers se feront un plaisir de les accueillir et de s’entretenir avec elles. « Nous n’épargnerons personne », a-t-il promis, tout en mettant en jeu sa propre parole de maître des poursuites.
Serigne Bassirou Guèye a quasiment lancé un appel à témoins à tous les Sénégalais et à toutes personnes de nationalité étrangère – y compris Mayeni Jones, la journaliste de BBB auteure du documentaire qui a tout déclenché le 3 juin dernier – à apporter leur concours à la manifestation de la vérité dans cette affaire.
Il a cité les noms des principaux leaders d’opposition – Abdoul Mbaye, Mamadou Lamine Diallo, Thierno Alassane Sall – comme potentiels donneurs d’infos sur le dossier. « Nous ne comprendrons pas qu’ils ne puissent pas venir pas venir dire ce qu’ils savent », a-t-il ajouté. « Quand les faits seront établis, les coupables seront punis. Quand les faits ne seront pas établis, nous aviserons. »
Ces derniers se feront un plaisir de les accueillir et de s’entretenir avec elles. « Nous n’épargnerons personne », a-t-il promis, tout en mettant en jeu sa propre parole de maître des poursuites.
Serigne Bassirou Guèye a quasiment lancé un appel à témoins à tous les Sénégalais et à toutes personnes de nationalité étrangère – y compris Mayeni Jones, la journaliste de BBB auteure du documentaire qui a tout déclenché le 3 juin dernier – à apporter leur concours à la manifestation de la vérité dans cette affaire.
Il a cité les noms des principaux leaders d’opposition – Abdoul Mbaye, Mamadou Lamine Diallo, Thierno Alassane Sall – comme potentiels donneurs d’infos sur le dossier. « Nous ne comprendrons pas qu’ils ne puissent pas venir pas venir dire ce qu’ils savent », a-t-il ajouté. « Quand les faits seront établis, les coupables seront punis. Quand les faits ne seront pas établis, nous aviserons. »
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