Un deuxième et « dernier » avion affrété par Londres pour rapatrier environ 200 personnes, dont plus d’une centaine de Britanniques, se trouvant encore dans la province du Hubei, épicentre de l’épidémie de nouveau coronavirus, a atterri dimanche matin au Royaume-Uni.
L’avion, qui avait décollé de la ville de Wuhan à 03H20 locales (19H20 GMT), a atterri sur la base aérienne de Brize Norton, à environ 120 kilomètres à l’ouest de Londres.
Quelque 200 personnes se trouvaient à bord: 105 Britanniques et 95 ressortissants de pays européens et les membres de leur famille, ainsi que 13 membres du personnel du ministère et médical, selon le ministre britannique des Affaires étrangères Dominic Raab sur Twitter.
Un quatrième cas d’infection au coronavirus a aussi été confirmé au Royaume-Uni, qui avait été en « contact avec un cas confirmé précédemment » dans le pays, selon les autorités sanitaires. « Le virus a été transmis en France ».
En milieu de journée, une trentaine de nouveaux rapatriés sont arrivés à Istres (sud de la France) après avoir fait escale au Royaume-Uni. Il s’agit de la troisième vague de rapatriés arrivés en France depuis Hubei, après les quelque 180 personnes débarquées le 31 janvier et les 120 personnes ayant atterri à Istres le 2 février.
Vingt Allemands et leurs proches sont eux arrivés à Berlin après avoir été rapatriés de la base aérienne britannique à bord d’un appareil de la Bundeswehr, a annoncé le ministère allemand des Affaires étrangères.
Comme les rapatriés britanniques et français, ils seront placés en quarantaine pendant 14 jours, la durée maximale d’incubation du virus.
L’appareil de l’armée allemande a également transporté 17 autres ressortissants de pays européens, ainsi que leurs proches, qui doivent maintenant rejoindre le Luxembourg, les Pays-Bas, l’Autriche et la Roumanie par des vols spéciaux.
Londres avait auparavant conseillé aux quelque 30.000 Britanniques se trouvant en Chine de quitter le pays pour minimiser leur exposition au virus apparu en décembre, qui a fait 811 morts en Chine continentale, auxquels s’ajoutent un décès à Hong Kong et un autre aux Philippines.
Le bilan dépasse ainsi celui du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras) qui avait fait 774 morts dans le monde en 2002-2003.
En Chine continentale, le nombre de cas confirmés était dimanche de près de 37.200.
Le Royaume-Uni avait déjà rapatrié 94 Britanniques de Wuhan, dont 83 sur un premier vol affrété par les autorités britanniques, en coopération avec les autorités espagnoles, et 11 venus à bord d’un vol français cofinancé par l’Union européenne.
L’Allemagne a déjà de son côté rapatrié une centaine de ses resortissants.
L’avion, qui avait décollé de la ville de Wuhan à 03H20 locales (19H20 GMT), a atterri sur la base aérienne de Brize Norton, à environ 120 kilomètres à l’ouest de Londres.
Quelque 200 personnes se trouvaient à bord: 105 Britanniques et 95 ressortissants de pays européens et les membres de leur famille, ainsi que 13 membres du personnel du ministère et médical, selon le ministre britannique des Affaires étrangères Dominic Raab sur Twitter.
Un quatrième cas d’infection au coronavirus a aussi été confirmé au Royaume-Uni, qui avait été en « contact avec un cas confirmé précédemment » dans le pays, selon les autorités sanitaires. « Le virus a été transmis en France ».
En milieu de journée, une trentaine de nouveaux rapatriés sont arrivés à Istres (sud de la France) après avoir fait escale au Royaume-Uni. Il s’agit de la troisième vague de rapatriés arrivés en France depuis Hubei, après les quelque 180 personnes débarquées le 31 janvier et les 120 personnes ayant atterri à Istres le 2 février.
Vingt Allemands et leurs proches sont eux arrivés à Berlin après avoir été rapatriés de la base aérienne britannique à bord d’un appareil de la Bundeswehr, a annoncé le ministère allemand des Affaires étrangères.
Comme les rapatriés britanniques et français, ils seront placés en quarantaine pendant 14 jours, la durée maximale d’incubation du virus.
L’appareil de l’armée allemande a également transporté 17 autres ressortissants de pays européens, ainsi que leurs proches, qui doivent maintenant rejoindre le Luxembourg, les Pays-Bas, l’Autriche et la Roumanie par des vols spéciaux.
Londres avait auparavant conseillé aux quelque 30.000 Britanniques se trouvant en Chine de quitter le pays pour minimiser leur exposition au virus apparu en décembre, qui a fait 811 morts en Chine continentale, auxquels s’ajoutent un décès à Hong Kong et un autre aux Philippines.
Le bilan dépasse ainsi celui du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras) qui avait fait 774 morts dans le monde en 2002-2003.
En Chine continentale, le nombre de cas confirmés était dimanche de près de 37.200.
Le Royaume-Uni avait déjà rapatrié 94 Britanniques de Wuhan, dont 83 sur un premier vol affrété par les autorités britanniques, en coopération avec les autorités espagnoles, et 11 venus à bord d’un vol français cofinancé par l’Union européenne.
L’Allemagne a déjà de son côté rapatrié une centaine de ses resortissants.
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